///

La Ville de Saint-Pierre s’engage contre les violences sexistes et sexuelles au travail (Vidéo-Photos)

1 min de lecture
4

Ce 27 novembre, à la base nautique de Terre-Sainte, la ville de Saint-Pierre a rassemblé employés, responsables et citoyens pour une matinée dédiée à la lutte contre les violences sexistes et sexuelles (VSS) au travail. Portée par la Direction des Ressources Humaines, cette initiative s’inscrit dans une démarche proactive de sensibilisation, de réflexion et d’action.

Sous le thème « Comprendre, réfléchir et agir », les participants ont été invités à explorer des sujets cruciaux à travers des ateliers interactifs . Ces ateliers avaient pour objectif :

  • Identifier les mécanismes du sexisme et leurs impacts ;
  • Questionner ses propres pratiques pour mieux agir ;
  • Proposer des solutions concrètes pour créer un environnement respectueux.

Un engagement fort pour l’égalité professionnelle

Lors d’une entrevue réalisée sur place, Fabienne Caro, directrice générale adjointe des services en charge des ressources humaines à la mairie de Saint-Pierre, a expliqué :

« Aujourd’hui, nous organisons une journée de lutte contre les violences sexistes et sexuelles au travail, qui s’inscrit également dans le cadre de la Journée internationale de lutte contre les violences sexistes et sexuelles du 25 novembre. »

Elle a souligné que cet événement s’intègre dans le plan d’égalité professionnelle de la ville , renouvelé cette année. Ce plan intègre des actions concrètes pour prévenir les violences sexistes et sexuelles et promouvoir un climat de respect au travail.

Fabienne Caro a également insisté sur l’importance de la pédagogie :

« Nous avons voulu que ce soit ludique, autour d’ateliers, d’expressions et de jeux, pour que chacun puisse comprendre ce qu’est le sexisme, comment le détecter et surtout comment lutter contre. »

Un message clair : agir, prévenir et former

À travers cette initiative, Saint-Pierre réaffirme que les violences sexistes et sexuelles n’ont pas leur place, ni au travail ni ailleurs. La ville s’engage à anciens ses agents pour mieux prévenir et agir face à ces situations.

Une matinée marquée par l’espoir d’un changement durable, portée par une mobilisation collective.

4 Commentaires

  1. Y revient à dire est ce que lo bande fanm faut couvre à zot de la tête aux pieds ? Un fanm lé bien « roulée » elle y peut pas montre ses atouts ? Un fanm lé conçue avec des formes et lo zom y reste pas insensibles à tout ça. Ek l’affaire mazan la dit faut la mentalité lo zom y change zot regard su la gente féminine y doit être tout autre si lo boug y veut déclare son flamme à un tantine qui « botte » à li comment li aborde lo tantine sans qui fait à li un procès ? Tout ce qui arrive en ce moment y dépasse l’entendement. Avant tous ces dérapages nous té pas coma entre collègues. Zom comme fanm la toujours casse la blague salace té en reste à là. Entre ado à l’école la toujours eu jeux d’main. C’est des pti approche amoureuse. Plus qui ça va la frontière entre lo zom ek fanm y y creuse de plus en plus. La méfiance fine fait son nid dans cet enfer moderne où nous lé dépasser par toute les inventions high-tech.

Laisser un commentaire

Your email address will not be published.

Article précédent

La Plaine des Palmistes : dégradation de la qualité de l’eau dans plusieurs quartiers

Article suivant

Indignation au Plate Saint-Leu : un acte de maltraitance animale provoque l’émotion

Free Dom