Le programme « Petites Villes de Demain », lancé le 1er octobre 2020, permet aux villes de moins de 20 000 habitants désignées par les préfets de bénéficier d’un soutien spécifique de l’État et de ses partenaires pour élaborer et mettre en œuvre leurs projets de revitalisation. Partie intégrante du Plan de relance, ce programme vise à conforter le rôle structurant de ces villes dans le développement des territoires ruraux.
Il s’agit globalement pour les plus de 1 500 villes retenues tant en métropole qu’ici d’une enveloppe budgétaire de 3 milliards d’euros sur 5 ans dont 250 millions d’euros uniquement consacrés à l’ingénierie des collectivités qui présenteront des projets dans le cadre de ce programme national.
Concernant la Cirest, les quatre communes retenues sont Salazie, Bras-Panon, la Plaine-des-Palmistes et Sainte-Rose. Rappelons que Saint-André bénéficie du dispositif « Action cœur de ville ».
Autre dispositif auquel peuvent prétendre les communes suivant des conditions bien précises, c’est l’Opération de revitalisation de territoire (ORT). C’est un outil visant une requalification d’ensemble d’un centre-ville dont elle facilite la rénovation du parc de logements, de locaux commerciaux et artisanaux, et plus globalement le tissu urbain, pour créer un cadre de vie attractif propice au développement à long terme du territoire.
Des programmes qui tombent à point nommés pour les communes de la Cirest présidée par Patrice Selly. Un territoire dont les élus, notamment les maires, se félicitent de ces crédits qui vont leur permettre de développer leurs collectivités dans le cadre du partenariat Etat-Communes/EPCI/CDC (Caisse des dépôts et de consignation).
D’où la présence cet après-midi, dans la salle de réunion de la Cirest à Saint-Benoit, de la présence du préfet Jacques Billant, représentant de l’Etat et d’Eric Lombard, directeur général de la CDC, actuellement en visite dans notre département pour la signature des conventions s’inscrivant dans le cadre des programmes « Petites Villes de Demain » et « d’Opération de revitalisation du territoire ».
C’est Patrice Selly, maire de Saint-Benoit et président de la Cirest, qui a d’abord présenté les grandes lignes de ces conventions.
Il a aussitôt passé la parole au préfet, qui a expliqué le rôle de l’Etat par rapport à ces dispositifs.
Les maires Joé Bédier (Saint-André), Jeannick Atchapa (Bras-Panon), Stéphane Fouassin (Salazie), Johnny Payet (Plaine-des-Palmistes) et Michel Vergoz (Sainte-Rose) ont à tour de rôle souligné tout le bien qu’ils pensent de ces programmes nationaux et, surtout, les avantages attendus dans l’intérêt de leurs collectivités. Ils ont d’ailleurs donné quelques exemples de projets pour lesquels ils espèrent pouvoir bénéficier des crédits de ces dispositifs.
Ouais avec sa langue de bois ce maire hypocrite y joue bien la comédie la ville y avance mais a z habitant marmite les vide un super marché la point la.bas cossa y avance ou rêve
Zenfoussa continuer à envoûtre de ça mon commune Y avance quand ou passe Ste Rose regarde t’a voir
moin mi aimerais bien savoir pourquoi st benoit lé pa siter car st une ville fantôme
Léchage du uq du préfet en perspective, pour le maire de Sainte-Rose, avec sa langue tellement fourbe il pourrait faire toute la préfecture.