Avec la chute du régime de Bachar al-Assad, Abou Mohammad al-Joulani, leader du groupe HTS, émerge comme l’homme fort du pays. Ancien djihadiste ayant combattu en Irak en 2003, il s’est fait connaître pour ses liens avec Al-Qaïda et son rôle dans la guerre civile syrienne. Désormais à la tête de la Syrie, il adopte une approche plus modérée, cherchant à apaiser les tensions tout en consolidant son pouvoir.
Le chef de HTS, longtemps controversé pour les exactions de ses combattants, voit sa tête mise à prix par le FBI. Cependant, il tente de se réinventer : son image s’adoucit et son discours évolue, marquant un changement de stratégie. Lors d’une rencontre avec le Premier ministre syrien sortant, il a insisté sur la nécessité de maintenir l’ancien gouvernement pour une transition ordonnée, soulignant une volonté de stabilité.
Malgré ces efforts, l’avenir de la Syrie reste incertain, notamment pour les minorités comme les Kurdes et les chrétiens, dont le sort sous son autorité suscite des inquiétudes. La capacité d’al-Joulani à stabiliser le pays après des années de guerre civile demeure une question cruciale.
Mi espère que la modération de ses propos le sera aussi dans ses actions !!!! Les Syriens ont besoins de paix après toutes ces années de cauchemar !!! une pensée particulière pour les enfants…..
Mi espère que la modération de ses propos le sera aussi dans ses actions !!!! Les Syriens ont besoins de paix après toutes ces années de cauchemar !!! une pensée particulière pour les enfants…..
Ils ont viré Al Assad, médecin ophtalmologue formé en Grande Betagne pour le remplacer par un terroriste d’Al Qaïda! Et ils en sont fiers!