Le réveillon de fin d’année a longtemps été une célébration pleine de vie, de rires, et de partage. C’était le temps où les « grandes tablées » réunissaient toute la famille, où le cari mijotait dans la marmite commune, et où les enfants jouaient à cache-cache sous les letchis. Le son des pétards et des maloya animait les nuits étoilées, et chacun, voisins comme proches, contribuait à faire de ce moment une fête mémorable.
Mais aujourd’hui, ces souvenirs d’un temps lontan semblent bien loin. Les réveillons modernes, marqués par des soirées entre petits groupes ou même en solitaire, font écho à une époque où la convivialité cède parfois sa place à l’individualisme.
Alors, qu’en pensez-vous ? La magie d’autrefois vous manque-t-elle ?
Cette question est au cœur de notre baromètre du jour. Regrettez-vous cette époque où tout le monde se réunissait pour passer la fin d’année ensemble ? Que gardez-vous en mémoire des réveillons lontan ? Et surtout, que faudrait-il pour retrouver ce goût de fête partagé ?
Vos avis et réactions au 02.62.99.12.00
Avant on étaient pauvres mais on appréciaient beaucoup ce qu’on avait, ont mangeaient beaucoup de bredes, la viande c’était une fois le dimanche, mais ce qu’on mangeait étaient vraiment bon , des bons produits, des poulets élevés dans la cour , du bon boudin et saucisse qu’on faisaient griller sur la braise. On marchaient tous avec un chapeau et on se faisait beau pour allez à la messe le dimanche, nos parents veillaient à ce qu’on soient respectueux vis à vis des voisins ou autres, les maisons restaient ouvertes tout le temps et il n’y avait pas de voleur , Nous étions heureux à l’approche de Noël car on savais qu’on allait recevoir un cadeaux pourtant ce n’était que 3 bonbons dans nos savates que le père Noël nous laissait avec beaucoup d’amour , aujourd’hui nous avons à manger tant qu’on veut, mais il n’y à plus ce silence à table quand ont appréciaient notre maigre et bon repas. On entend plus les mêmes sons des pilons comme autrefois, l’odeur de la bonne viande dans la marmite , et ce silence d’appréciation pendant nos repas.Souvent le riz crouté dans le fond de la marmite nous servait de goûter de 4 heures , les parent rajoutait de l’eau, un oignons coupé et un peu de sel et on se mettait à plusieurs pour apprécier ce bouillon. Nous étions pauvre mais heureux .