Bras Panon : en pleine alerte rouge, ils tentent de mettre le feu au local poubelle

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C’est un internaute qui nous tenait informé de cette scène hallucinante dont il a été témoin cette nuit. En pleine alerte rouge, il a vu deux individus tentant de mettre le feu au local poubelle de son immeuble.

« Il s’agit de deux jeunes de moins de 15 ans, ils ont carrément voulu mettre le feu dans le local poubelle de la cité « Fleur d’hibiscus », un groupe de logements sociaux de Bras-Panon. J’ai entendu le bruit de ma fenêtre et je les ai fait fuir. Il y avait déjà de la fumée, j’ai récupéré la bouteille d’essence dont ils se sont servis et j’ai appelé la gendarmerie. Ces derniers sont venus très vite effectuer une ronde, mais n’ont pas retrouvé les deux jeunes »

Cet internaute nous indique aussi que les deux individus feraient partie d’une petite bande « connue de la ville, qui prend régulièrement pour cible ces blocs d’immeuble, avec occupation nocturne du parking, dégradation des voitures, musique forte le soir, allés et venues en mini quad et motos. Que font leurs parents, surtout en alerte rouge« , s’interroge-t-il.

Après publication de notre article, l’auditeur indique : « Le bailleur social Semac a réagi. Des enquêteurs passent d’appartement en appartement pour interroger le voisinage. Ils sont en relation avec la gendarmerie. Ces enfants et leurs parents irresponsables font beaucoup de grabuges depuis plus de 6 ans. »

 

11 Commentaires

  1. Qu’ils profitent bien.
    Encore un mois et la fête sera terminée, le laxisme des 40 dernières années sera scellé. Les pleurs de douleur et les larmes de rage vont changer de camp.
    Fini de nourrir, de loger et d’équiper des nids de parasites.Sans argent donné sans aucune contrepartie, ces populations vont manifester, réclamer sans succès et se mettre à…piller.
    Le retour à leur terroir sera la seule alternative pour eux. Ceux qui ne travaillent pas n’auront plus leur place sur le territoire français.Les fainéants réunionnais ont de la chance, par l’Histoire ce sont des « français de papier » et continueront à pleurnicher auprès des élus locaux pour « in place gratte-le-ki » la commune, comme Môman, Papa, Tontons, Matantes, Cousins et Cousines… Et La Réunion d’ici 20 ans sera dans le même état que les Antilles françaises : les investisseurs ont fuit, l’emploi privé local périclite. Seules sont à l’abri du besoin les clans familiaux des élus (tous les Césaire,…) ou proches des élus.

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