Ce lundi 3 février 2025, François Bayrou a utilisé à deux reprises l’article 49.3 de la Constitution pour faire passer sans vote le budget 2025 de l’État et celui de la Sécurité sociale.
Le budget de l’État :
Le Premier ministre a engagé la responsabilité de son gouvernement pour garantir l’adoption d’un budget qu’il juge « indispensable » au bon fonctionnement de l’État.
Le budget de la Sécurité sociale :
Quelques heures plus tard, il a récidivé pour le PLFSS, mettant en avant une augmentation de 4 milliards d’euros pour les hôpitaux.
Motions de censure :
La France insoumise a déposé une motion, soutenue par les communistes et les écologistes. Le Parti socialiste, en revanche, a refusé de voter la censure, provoquant des tensions avec LFI. Le Rassemblement National annoncera sa décision mercredi.
Ce double recours au 49.3 souligne les divisions politiques et la difficulté du gouvernement à obtenir une majorité à l’Assemblée nationale. Les jours à venir seront cruciaux pour François Bayrou et son gouvernement.
Après la dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024 par le Président de la République Emmanuel Macron et les résultats des législatives qui avaient suivi, la France avait continué de patauger dans l’instabilité politique. Le premier gouvernement post-législatives de juillet 2024, dirigé par Michel Barnier, n’avait tenu que trois mois avant d’être renversé par une motion de censure déposée par La France Insoumise et votée par le Parti Socialiste et le Rassemblement National lors de la discussion du budget.
Le gouvernement Bayrou s’apprêtait, à compter de ce lundi 3 février 2025, à vivre des moments difficiles à l’Assemblée nationale dans le cadre de l’examen et du vote du budget 2025.
Pour ce budget, le Premier ministre François Bayrou avait déjà fait savoir son intention d’utiliser l’article 49.3 de la Constitution. Ce mécanisme permettait de faire adopter le budget de l’État et celui de la Sécurité sociale pour 2025 sans passer par un vote parlementaire. Cette décision était motivée par l’absence de majorité à l’Assemblée nationale et la nécessité d’adopter ces budgets rapidement.
L’article 49.3 permettait au gouvernement de faire passer un texte sans vote, mais exposait également l’exécutif à une motion de censure. En réaction, le parti La France Insoumise avait annoncé le dépôt d’une motion, soutenue par les communistes et les écologistes. Le Parti Socialiste n’avait pas encore arrêté sa position, tandis que le Rassemblement National n’avait pas non plus précisé s’il soutiendrait la motion.
Le budget 2025 visait à réduire le déficit public à 5,4 % du PIB, conformément aux engagements pris auprès de l’Union européenne. Il prévoyait des mesures telles que des augmentations d’impôts et des réductions de dépenses. François Bayrou avait introduit certaines concessions, notamment en augmentant les dépenses pour la santé et l’environnement, et en annulant des coupes prévues dans l’éducation, afin de rallier le soutien des socialistes.
La discussion du budget avait débuté ce lundi à l’Assemblée nationale, suivie par le débat sur la motion de censure qui devait avoir lieu, probablement, mercredi. L’issue de cette motion devait déterminer la stabilité du gouvernement Bayrou et l’adoption de ce budget crucial pour la nation.
notre dirigeant de l’Elysée est reconnu comme un psychopathe par de nombreux spécialistes…
j’en déduis que tous les politiques qui œuvrent pour ce président déviant et détraqué sont aussi des psychopathes
« il y a une plainte contre X de déposé
Aux motifs de :
1. Usurpation d’identité.
2. Crime de faux par représentant de l’État.
3. Usage de faux.
4. Atteinte sexuelle et viol sur mineur par personne ayant autorité.
5. Mariage illégal.
6. Usurpation de fonctions.
7. Escroquerie au jugement.
8. Crime d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.
Partie civile
M. Christian Cotten, psychosociologue retraité, 75020 PARIS, 06 17 40 38 05.
Ayant pour avocats :
Maître Fabrizio S. Nucera Giampaolo, ROMA TORINO – ITALIE.
Maître Philippe Fortabat-Labatut. Paris et Saint-Sébastien (Espagne).
1. En substance
Un homme, né le 11 février 1945 à Amiens, aujourd’hui âgé de 79 ans, du nom de Jean-Michel Trogneux, usurpe depuis le milieu des années 1980 l’identité de sa plus jeune sœur Brigitte Trogneux, née le 13 avril 1953 à Amiens et aujourd’hui disparue depuis 1960 et ce en se présentant lui-même comme femme.
Cet homme dispose depuis plusieurs décennies de documents officiels d’identité, qu’il utilise et qui lui ont été fournis par des dépositaires de l’autorité publique ayant ainsi commis des faux criminels.
En septembre 1992, alors qu’il exerce le métier de professeur de français dans un collège-lycée d’Amiens, cet homme, se présentant comme femme en se faisant appeler Brigitte Trogneux, alors âgé de 47 ans, rencontre le jeune Emmanuel Macron, né le 21 décembre 1977 à Amiens et initie une relation de couple avec lui, alors que celui-ci n’est âgé que de 14 ans.
Ce fait constitue une atteinte sexuelle et un viol sur mineur, par un adulte ayant autorité et plus de cinq ans de différence d’âge. Ni les agents de l’État ni les autres adultes ayant connaissance de cette situation ne la dénonceront aux autorités compétentes comme la loi leur en fait obligation.
En 2007, M. Jean-Michel Trogneux contracte officiellement mariage avec M. Emmanuel Macron, alors même que le mariage entre deux personnes du même sexe n’est autorisé par la loi que depuis 2013. Ce mariage est donc illégal, nul et non avenu.
Depuis cette date, M. Jean-Michel Trogneux se présente comme « Brigitte Trogneux, épouse Macron » et bientôt, depuis 2017, comme l’épouse du Président de la République française, ce qui constitue formellement une usurpation de fonctions punie par la loi. Il déclare demeurer au Palais de l’Élysée, 55 rue du faubourg Saint-Honoré, 75008 PARIS.
En juin puis septembre 2024, M. Jean-Michel Trogneux se fait représenter devant la 17e chambre correctionnelle du Tribunal Judiciaire de Paris sous la double identité de Jean-Michel Trogneux et de Brigitte Macron, aux fins d’obtenir des dommages et intérêts des prévenues qu’il a poursuivies en diffamation. Ce fait constitue une escroquerie au jugement.
Cette affaire d’usurpation d’identité, faux et usage de faux, corruption de mineur, mariage illégal puis usurpation de fonctions et escroquerie au jugement est désormais connue par les autorités étatiques de la plupart des pays de la planète.
Ce dossier offre ainsi à plusieurs États qui y ont intérêt le moyen d’exercer un chantage et d’imposer pressions et exigences économiques et politiques à l’État français, qui portent gravement atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation et met en cause la vie même de sa population.
Les citoyens et électeurs français sont victimes directes de cet ensemble de tromperies, crimes et délits tout particulièrement depuis 2017, lorsque M. Emmanuel Macron, que l’on considèrera comme victime de l’emprise psychologique de M. Jean-Michel Trogneux par abus de faiblesse, est élu Président de la République français »
que font tous nos politiques corrompus ? ils encaissent l’argent de nos impôts
Pas mal pour un début pour ce gouvernement illégitime ! 2 49.3 BORNROU est dans la place ! vivement le chaos
Les socialistes = bondié béni oui oui , quand y coule l’argent la tête y balance .
les socialistes sont prets à tout pour redevenir sur la scène. Il n’y a qu’à regarder le HOLLANDE qui a été un président mou, qui ne s’est pas représenté, qui a poussé son poulain MACRON et qui aujourd' »hui la gueule enfarinée est un tit député grassouillet et aussi mou et qui dit qu’il est pret à revenir. AU SECOURS !!!! écoutez un peu ce que JOSPIN a dit au lieu de regarder votre petit nombril…..
1/3 des socialistes veulent voter la censure parce qu’ils ont besoin de LFI pour être élu ou réélu. Un plat de lentilles c’est toujours bon à prendre, n’est-ce pas m.NAILLET?