Suite à la décision du Recteur de ne pas scinder les vacances de mai en deux, la sénatrice de La Réunion Audrey Bélim a souhaité réagir :
« Je salue la décision du Recteur de ne pas scinder les vacances de mai en deux, communiquée à l’intersyndicale et aux fédérations de parents d’élèves. L’organisation d’épreuves spécifiques à La Réunion est une solution de bon sens.
Elle est dans l’intérêt des enfants en s’adaptant à leurs rythmes biologiques mais aussi nos fuseaux horaires et nos climats : passer des épreuves à 21h ou 22h par exemple n’aurait pas été adéquat.
Elle est aussi dans l’intérêt de toute la communauté éducative – parents d’élèves et enseignants – qui s’inquiétait d’un calendrier scolaire qui n’aurait pas convenu aux élèves.
Je salue l’écoute du Recteur avec qui j’ai échangé ce week-end sur ce sujet.
Au-delà de ce cas précis, il nous reste maintenant à définir collectivement un calendrier scolaire qui soit toujours adapté à La Réunion. »
Calendrier scolaire 2024-2025 : Audrey Bélim demande une adaptation au contexte réunionnais en faveur des enfants
La sénatrice de La Réunion Audrey Bélim a écrit à la ministre de l’Education nationale Nicole Belloubet pour l’interpeller sur le changement de calendrier prévu pour l’année scolaire 2024-2025.
Il est important de mettre l’enfant au cœur des décisions. Le choix de couper les deux semaines de vacances en deux ne correspond pas aux rythmes biologiques de l’enfant et ne peut donc constituer une solution.
La sénatrice demande un décalage du concours de trois jours pour tenir compte du contexte réunionnais.
Plus largement, elle demande une réelle adaptation du calendrier de l’Education nationale au fuseau horaire et au climat réunionnais ainsi qu’au rythme biologique de nos enfants.
sa le audrey belim mi rale la langue avec cette femme la
Son ki té moudre poivre ç est pour ça il a trouvé la meilleur des solutions, car il faut qu’on ai nos vacances pour aller se reposer, faire travailler l économie etc etc nous sommes des fonctionnaires on touche pas à nos acquis, nous sommes pas le btp, ni agriculteur, ni rsa ok