Ce lundi marque le début de l’examen du projet de loi sur la fin de vie à l’Assemblée nationale. Le texte, sujet à des débats intenses, aborde des questions telles que les critères d’accès au dispositif, les directives anticipées et le rôle des médecins.
Les 71 membres de la commission spéciale de l’Assemblée nationale vont passer une semaine à discuter des quelques 1 900 amendements déposés par des élus de tous bords. Le marathon parlementaire qui commence pourrait durer jusqu’à l’été 2025, selon les estimations, en fonction des allers-retours nécessaires avec le Sénat.
Le projet de loi, salué par la ministre de la Santé Catherine Vautrin comme un texte équilibré, propose notamment la possibilité pour certains patients de demander une aide médicale à mourir. Avant d’aborder cette partie, les députés examineront celle consacrée aux soins palliatifs.
Le texte crée également un concept élargi de « soins d’accompagnement » et prévoit un « plan personnalisé d’accompagnement » pour les patients atteints de maladies graves. Cependant, certains députés remettent en question certains termes du texte, notamment l’expression « aide à mourir » choisie par le gouvernement.
D’autres aspects du projet de loi, tels que les conditions d’accès à l’aide médicale à mourir et le rôle des tiers dans l’administration de la substance létale, font également l’objet de débats intenses parmi les députés. Les amendements proposés reflètent une diversité d’opinions sur la question sensible de la fin de vie.
Quels produits faudra-t-on utilisés ? cyanure de mercure, polonium, navitchok … ?
Fin de vie pour les criminels ? OUI
Pour les personnes âgées pour économiser sur les retraites ? NON et NON
Sujet très sensible qui risque de faire réveiller un mort ! Lol. La arrive dessi même un tiers y pourrez mettre la dose (appelons un chat un chat) létale ! C’est une demande faite par des patients atteints de maladie graves il ne reste plus qu’à exécuter leur libre choix. Là va falloir avoir les yeux bien en face des trous imaginez que la substance n’a pas été administrée au patient qui souhaite « partir » avant son heure….