Dans une récente décision, Huguette BELLO, présidente du conseil régional de l’île de la Réunion, sous forme de participation à une augmentation de capital, a accordé 5 millions d’euros à une grande entreprise locale, LA SAPMER, soulevant des interrogations sur les priorités économiques de notre région. Bien que cet investissement puisse sembler bénéfique sur le plan financier, il soulève des enjeux éthiques et économiques importants.
Premièrement, il est trompeur de présenter une telle contribution comme une simple participation. Dans un contexte où de nombreuses petites entreprises locales peinent à survivre, aider une grande société tout en dissimulant la nature d’une aide réelle peut donner l’illusion d’un soutien équilibré, alors qu’en réalité, cela est injuste pour ceux qui sont régulièrement laissés pour compte. Pour la région, cela pourrait être perçu comme une tentative de réaffirmer son engagement envers le développement économique local, mais au détriment de la transparence, c’est une certitude.
De plus, l’affirmation selon laquelle ce type d’investissement pourrait générer un retour annuel de 8 % illustre une méconnaissance des dynamiques économiques. Alors que certains pensent que GBH manipule ses comptes, pourquoi devrions-nous considérer que dans le cas précis cette entreprise qui a bénéficié de cette aide régionale agirait différemment ? Cela remet en question la viabilité de cet investissement et peut créer une illusion de succès qui n’est certainement pas solide sur le long terme.
En intégrant de telles pratiques dans le discours public, il existe un risque alarmant de désinformation. La région pourrait, sans le vouloir, encourager la population à croire que ces investissements sont des mesures de soutien économique, alors qu’ils ne font que masquer une aide déguisée.
Même s’il n’est pas illégal ni immoral d’apporter un soutien financier à des entreprises qui créent des emplois et contribuent à notre économie. Cependant, cette allocation significative suscite une interrogation légitime : qu’en est-il des petites et moyennes entreprises (PME) qui peinent à survivre dans un climat économique de plus en plus difficile ?
Alors que le marché local devient de plus en plus concurrentiel, les PME, qui représentent environ 90 % des entreprises sur l’île, souffrent d’une baisse de chiffre d’affaires, d’une diminution des clients et d’une hausse des coûts d’exploitation. D’après les statistiques récentes, nous assistons à une augmentation fulgurante du nombre d’entreprises qui ferment leurs portes. En 2024, les chiffres montrent une montée alarmante des dépôts de bilan, laissant de nombreux artisans et commerçants dans une situation précaire.
La question se pose donc : si la région peut allouer 5 millions d’euros à une seule entreprise, quelle somme et quand serait-elle prête à investir pour soutenir nos petites entreprises qui traversent des moments difficiles ? Leur proposer de faire des prêts comme leur demande actuellement la Région Réunion accélèrera leur descente aux enfers. Ces petites entreprises sont le tissu économique de notre île et méritent une attention politique et financière particulière surtout de la part d’une majorité régionale se disant de gauche et qui normalement devrait se concentrer sur l’aide aux plus faibles.
Il est essentiel de se demander quels sont les critères d’attribution de ces subventions. S’agit-il de décisions fondées sur des contributions rationnelles et sur la base de besoins clairement identifiés, ou sont-elles le résultat de relations privilégiées qui pourraient entraîner des arrangements discutables ?
Les questions suivantes méritent d’être posées :
- Existe-t-il des critères clairement définis et accessibles au public pour l’attribution de ces fonds ?
- Les entreprises bénéficiaires doivent-elles prouver une situation de crise, ou les subventions sont-elles accordées de manière discrétionnaire ?
- Les fonds sont-ils attribués en fonction de l’accroissement prévu de l’emploi, et comment est-ce mesuré ?
- Quelles aides spécifiques peuvent être mises en place pour les petites entreprises et comment peuvent-elles postuler ?
- Y a-t-il des mécanismes en place pour suivre l’utilisation des fonds et évaluer leur impact ?
En clair, Il est grand temps que la région Réunion réévalue sa stratégie d’aide et s’engage à mettre en place un dispositif de soutien clair et accessible pour les PME. L’investissement dans notre avenir passe obligatoirement par le renforcement des petites structures qui, jour après jour, font vivre notre économie locale et notre communauté.
En conclusion, il est crucial d’exiger une plus grande transparence de la part des décideurs, la Région Réunion doit être celle qui donne l’exemple. La population mérite de comprendre la réalité derrière ces décisions financées avec de l’argent public, afin de garantir un développement économique équitable et durable.
Bonjour jean Claude, j’espère que ta grande passion pour l’histoire de l’usine de Stella sera récompensée cette année par le projet de transmission que tu as comme chantier. Ce projet pourrait valoriser ce patrimoine par son histoire ainsi que les nombreux « zarboutans » dont tu fais parti. Bonne journée à toi et le plaisir de te lire.
Le musée de Stella écrin entièrement rénové a toujours brillé par sa richesse, sa diversité et de ses projets. Il est vivant et dynamique, lieu atypique qui s’articule autour de canne et du sucre et d’une équipe de professionnels équipée d’un savoir-faire et d’un savoir-être à accueillir le public et à partager l’aspect historique de ce patrimoine. Ancien ouvrier, j’ai remarqué la disponibilité de l’équipe ainsi que son directeur toujours prêt à fournir les informations, les documentations…etc, avec un centre de documentation bien fourni concernant l’histoire de cette usine sucrière. En dehors les visites, expositions, les photographies des anciens travailleurs, des concerts gratuits sont régulièrement organisés…On peut dire que l’étoile du matin persiste à briller sur Stella et sur la Réunion. Merci à toute l’équipe du Musée.
Jean Claude.
Ancien ouvrier de Stella.
Thierry comment pouvez-vous accepter que le musée de Stella soit aussi pauvre de son histoire, pauvre au niveau d’attractivités….une situation voulue par la présidente Bello. Notre Dame de Paris 30 000 milles visiteurs par jour, malgré que le musée sucrier n’est pas comparable. Il faut renouveler sans cesse pour exister sinon c’est la mort annoncée du musée comme les derniers ouvriers oubliés et l’histoire s’oubliera à jamais…. C’est le destin du musée de Stella mourir dans l’indifférence de nos élus….Espérons un sursaut de la présidente Bello.
Camille tire ça su la radio il est en campagne politique c un manipulateur
qui d autre que ou et Huguette la fait mettre a l arrêt un chantier de plusieurs millions vital pour notre sécurité maintenant tu viens nous donner des leçons t qu un 3v
Par respect a l’histoire, Mme Bello n’aurait du jamais accordé cette subvention de 5 millions à cette famille. Aidez le miller d’entreprises en grandes difficultés que ce milliardaire. Mme Bello doit démissionner.
Bonjour
Quand vous étiez maire ,
Vous avez détruit les petit commerçant
Le portail c’est vous
Donc. Pas merci
Vitriol, à cause où les dans le décor, pourquoi, qu’ est ce vous fabriquer ? où vous avez fait qui vous reproche.
Dans ce décor d’élus oui ! J’aurai dû passer le diplôme comment être riche ! C’est simple à comprendre , les gourous sont uniquement présents sur l’insuffisance du bipède humain, et ils emprofitent , l’élu tire avec les sentiments de ces cons citoyens et où est la différence ? Pour mémoire je suis apolitique, j’ai une âme et une conscience de ne pas me faire happer parce que j’existe et c’est un bonheur du ciel d’avoir été mis au monde ! Et de ne pas me faire enculer ! En conclusion c’est brut , pensez ce que vous voulez ! Le graal !
Bin oute frère i peut dit à ou sa. la chaleur po monté par oute tête kossa
Bin oute frère i peut dit à ou sa
Ce monsieur, donneur de leçon c’est mis insolvable pour ne pas payer ces dettes. Maintes fois déclaré inéligible il a le culot de critiquer les autres. ALLÉ DODO.
Parce que nos elus sont des bandits de grand chemin, ils se la jouent avec de ce qui les intéressent pour alimenter leur portefeuille , et pour ombrine c’est du passé on n’a rien a branler le but c’est de continuer de s’enrichir avec le jockey PL en sus ! Vos mascarades a chaque fête , ne les faites plus , votre hypocrisie détient tout record et nous nou envoyez dans le décor ! Respect a l’humain mais pas a ses conneries de profit !
Monsieur Robert Thierry , la fouille le trou , veille ougue là, un magouilleur, rappelle à elle, 400 000 francs pour 400 mètres carrés JUMBO SCORES ST PIERRE, après, il a mis un gob pour le bougue autres l’ avaient l’ habitude de jouer comme ça, sans doute un moment il avait marre le grand Juriste de la DDE y attendait à lu sur le perron de l’ église cathédrale St Denis, la police mon bande garçon l’ a en barque le bougue. Mais il avait l’ habitude, il était fatigué. ah ah ah. Après, peut-être elle y rendre un petit service où soit lui .Basculement d’ eau est ouest, de l’ eau à gogo dans robinet, déclassement terrain agricole, combien l’ a vendu le mètre carré, qui ça ça la déclasse ça. Bon dimanche, bonne chance à autres, manipule le peuple.
Lorsque les sucreries bourbons ont fermé toutes ses usines à la Réunion combien ouvriers ont été licenciés Mme Bello ? Des milliers. Là Mme Bello était invisible ! En déclassement les terrains agricoles on enrichit qui ? L’argent n’a pas d’odeur, nous fonctionnons toujours comme des Africains….Afrique ça ne vous dit rien ????? Comme M. Robert est de la commune de St-Leu, savez-vous combien ouvriers ont été licenciés à l’usine Stella lors de sa fermeture ? Plus 450 personnes saisonniers compris, là Mme Bello n’était pas là ! Pendant que les sucreries bourbons obtenant des subventions pour les fermetures comme en 1848, on a indemnisé les gros blancs au vu du nombre des esclaves à la tête tandis que les esclaves n’ont rien reçu….que Mme Bello n’oublie jamais que la réparation concernant les esclaves n’a jamais eu lieu….voilà pourquoi le musée de Stella ne reflète pas l’histoire….
Rien sur TROGNEUX i dit que la 1er dame c’est un boug ?
INFO OU INTOX.
Thierry renseignez vous pour les millions d’euros d’aide covid donné à la région sous la mandature du petit Robert, condamné à plusieurs reprises. quelle entreprise a pu bénéficier de ses fonds? sur quel critère? demande le DGA de ce service de l’époque et le directeur par intérim leur passage récent chez les gendarmes pour donner des explications ! l’argent Covid par millions l’a disparu on dirait. l’argent lo pep lé dilapider par millions d’euros et ça sous chaque mandature. madame denizot koi woui attende pou fè pete dossier Covid la, lo pep i attende encore condamnation siouplait. ça noute l’argent, après la maladie i totoche lo peu i détourne l’argent lo pep
Il a raison le Robert , qu’ils soient transparents dans cette aide a un becquet Réunionnais , pourquoi ils le font pas ! Mettez vous a poil , comme nous nous mettons a poil de ce vous nous pompez !
On ne s’est plus comment arrondir nos fin de mois ! Bande de charognards quand est ce que vous allez arrêter vos conneries d’élus , merde ! Je pense que bientôt cela va être l’explosion social , c’est ce que vous cherchez !
voyons Thierry arrête in pe ; pas de jalouzi . arrête tire dans les pattes ; vise in un cou . et mi retien a moua