L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) a confirmé mardi 12 juillet le lien entre l’exposition aux nitrites et aux nitrates dans l’alimentation, notamment dans la charcuterie, et le risque de cancer : « l’existence d’une association entre le risque de cancer colorectal et l’exposition aux nitrates et nitrites ».
En 2015, le CIRC de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé la viande transformée, notamment la charcuterie, comme cancérogène (catégorie 1). Elle favoriserait, entre autres, les cancers colorectaux qui tuent près de 18 000 personnes par an en France. Les nitrites ingérés sont quant à eux considérés comme des cancérogènes probables (catégorie 2A).
Réduire l’exposition de la population aux nitrates et nitrites
Un conservateur contre des bactéries pathogènes
Les charcutiers ont toujours utilisé les composants nitrés pour allonger la durée de conservation des produits et prévenir le développement de bactéries pathogènes à l’origine notamment du botulisme.
Ces composés sont d’ailleurs responsable de la couleur rose au jambon, qui normalement est gris, comme la viande de porc lorsqu’elle est cuite.
Communiqué du ministère de l’Agriculture
Ce mardi 12 juillet, l’Anses a présenté les conclusions de son évaluation scientifique relative aux risques associés à la consommation de nitrites/nitrates, suite à une saisine du Gouvernement.
Les conclusions de l’évaluation des risques de l’Anses invitent à réduire l’utilisation des nitrites utilisés comme additifs alimentaires et recommandent la limitation autant que possible de l’ajout des nitrites/nitrates dans les denrées alimentaires : il s’agit de limiter leur utilisation au strict nécessaire. Cette réduction doit se faire dans un équilibre garantissant la sécurité alimentaire du consommateur.
Le rapport rappelle que compte tenu des habitudes de consommation des Français, 99% (adultes et enfants) de la population ne dépasse pas les doses journalières admissibles toutes expositions aux nitrites/nitrates. Cette situation ne justifie pas une interdiction stricte de l’utilisation des nitrites associée à une clause de sauvegarde[1].
Comme il s’y était engagé lors de l’examen en février dernier de la proposition de loi relative à l’interdiction progressive des additifs nitrés dans les produits de charcuterie, le Gouvernement suivra les recommandations de l’Anses. Un plan d’actions coordonné sera mis en place afin d’aboutir à la réduction ou la suppression de l’utilisation des additifs nitrés dans tous les produits alimentaires où cela est possible sans impact sanitaire et cela le plus rapidement possible.
Une première réunion réunissant les acteurs techniques des filières sera organisée avant la fin du mois de juillet 2022. A l’automne, un plan d’actions issu de ces travaux sera présenté au Parlement.
Cette démarche sera complétée par une action gouvernementale en faveur de la recherche afin d’enrichir les connaissances scientifiques relatives à l’évaluation des risques toxicologiques représentés par l’exposition nitrites/nitrates en cohérence avec les recommandations de l’avis de l’Anses.
L’utilisation des nitrites et nitrates est autorisée par la réglementation européenne qui prévoit des taux d’incorporation maximum de 150 mg par kilo. En France, les filières charcutières sont déjà en-deçà de ces seuils avec un maximum de 120 mg par kilo. L’avis de l’Anses vient compléter les travaux menés au niveau européen dans le cadre d’une réflexion communautaire sur les doses journalières admissibles. Sur ce sujet, un nouvel avis européen est attendu pour la fin de l’année.
Pour rappel, les recommandations alimentaires, disponibles sur mangerbouger.fr, intègrent déjà l’exposition aux nitrites/nitrates en recommandant une alimentation équilibrée et diversifiée avec au moins 5 portions de fruits et légumes par jour d’origine diversifiée et une consommation maximale de 150 grammes de charcuterie par semaine.
La santé des consommateurs français est l’unique boussole du Gouvernement dans l’analyse de l’ensemble des données et la prise de recommandations.
Ou est notre député Ratenon,sur ce sujet on ne l entends pas ,il doit agir un vrai sujet de santé publique .
Ou est notre député Ratenon,sur ce sujet on ne l entends pas ,il doit agir un vrai sujet de santé publique .
tous les produits de charcuterie qui arrivent a la réunion est bourrés de produit chimique et en plus bourrés de sel et de sucre pour la conservation, c’est pour ça que les gens ont des cancers , le gouvernement devrait interdite ces produit , faut croire que ça apporte beaucoup d’argent à l’état, et les agriculteurs réunionnais ? vous croyez que vous mangez du bio ? c’est faut eux aussi mettent beaucoup de produits chimique dans les fruits et légumes, pour le rendement et gagner plus , ils s’en foutent de la santé des gens . les ananas sont piquer avec des ormones pour les faire grossir ,c’est pour ça qu’il y a des taches noires à l,’interieur .
L’aile ou la cuisse film de Funès qui date de 40 ans et on rigolait comme des fous sans y croire et pourtant à l’ère 2022 la vérité est la ¡!!!¡
Tricatel puissance 10 aujourd’hui !
Bienvenue à tous les coups sont permis !! ( le film date de 60 ans )
Pauvre de nous on ne peut plus rien manger aujourd’hui :
Viande : élevage intensif avec animaux maltraités, ne voyant jamais la lumière du jour et mangeant que des protéines et des antibiotiques…
Poisson : contamination par métaux lourds (plomb, mercure…) et changement d’adn avec l’ingestion de plastique…
Fruits et légumes : contamination par pesticides, engrais chimiques et organismes génétiquement modifiés
Eau minérale : contamination par le plastique avec perturbateurs endocriniens…
Eau du robinet : contamination par présence de sels d’aluminium dans le traitement de l’eau…
Ne plus rien manger et juste vouloir respirer : impossible pollution par le CO2…
Nous sommes tous malheureusement en train de mourir à plus ou moins « petit feux »
Maladie d’Alzheimer : récente découverte de liens entre bactéries du système digestif envahissant les cellules du cerveau à l’origine de cette maladie…
Pour ceux qui élèvent eux-mêmes leur poulet au grain comme ils disent, c’est une bonne chose mais n’oubliez pas que maïs = OGM…
Sur ce, bon appétit à tous !
bienvenue dans la transhumaniste
pourquoi ils ne disent pas tout les produits qu.on mange de nos jours y donne maladies.fruit légumes etc les gommer avec des produits dedans
pourquoi ils ne disent pas tout les produits qu.on mange de nos jours y donne maladies.fruit légumes etc les gommer avec des produits dedans
les faux drapeaux de nos responsables sanitaires qui vous injectent des poisons qui vous filent le cancer
et après vous demandent de regarder ailleurs ….
Le Dr Ryan Cole, pathologiste américain et fondateur de Cole Diagnostics, a constaté une augmentation anormale de certains cancers suite à la campagne de vaccination contre le Covid. Parmi les tendances inquiétantes, on note une augmentation inhabituelle de certains cancers rares
et
Il a été montré que l’ARN du SARS-CoV2 pouvait, être rétrotranscript en ADN dans les cellules humaines puis être intégré dans le génome humain et s’exprimer, c’est-à-dire produire des protéines virales.[6]
Il existe des preuves récentes de l’entrée rapide de l’ARNm du vaccin Pfizer dans les cellules et de la transcription inverse intracellulaire ultérieure de l’ARNm BNT162b2 en ADN.[7], contrairement à ce qui avait été annoncé par les autorités de Santé Publique.
Le risque que des ARNm des vaccins soient rétrotranscripts en ADN puis intégré au génome humain, existe donc, même si à ce jour il n’a pas été démontré.
Aucune étude de carcinogénicité, ni de génotoxicité, ni de tératogénicité n’a été réalisée sur les vaccins Covid19 avant la mise en circulation des vaccins Covid19.
Ces études montrent que mettre ces vaccins en circulation sans avoir fait ces études était un très gros risque et qu’il est urgent d’arrêter la vaccination de masse surtout chez les jeunes, les enfants et les femmes enceintes. Contrairement aux encouragements des instances de santé à vouloir vacciner les femmes enceintes, l’entreprise PFIZER elle-même le déconseille page 132 de son propre protocole…
Cela ressemble étrangement aux connerie du DCT PICK .
Par contre, le sucre…c’est formidable !
Le gouvernement ne trouve pas de raisons d’interdire ce poison dans les charcuteries, les boites de conserves salées, les biscuits mêmes salés…il y en a partout ! Dans 95% des m**** qu’on achète en grande surface, il y a du sucre ajouté ! Même dans les boites de cassoulet ! Dans les crackers ! Partout !
Sucre = poison = syndrome métabolique = cancer = cholesterol = diabète = cécité = amputation…
Mais, non ! C’est la charcuterie qui est coupable !
Entièrement d’accord avec vous le sucre est une drogue et sa fabrication peut s’apparenter à celle de la cocaïne par formation de cristaux…
Le sucre est à l’origine de dérèglements chimiques dans le cerveau qui provoque de l’agressivité et de la nervosité, ce qui explique le nombre d’enfants hyperactifs, capricieux, hystériques de nos jours et le comportement de beaucoup de jeunes aujourd’hui qui ne peuvent pas s’empêcher de hurler ou crier à vous faire attraper une crise cardiaque et ce sans véritable raison…
Le sucre est un des aliments les plus dangereux et les plus sournois que nous consommons régulièrement…
Il y aurait aussi beaucoup à faire concernant l’usage des arômes qui n’est absolument pas réglementé et qui pourtant provoque aussi de graves perturbations chimiques dans notre cerveau et la perception du goût…
Arrête mange saucisse boucané z’andouille rôti porc etc . Il faut mange hamburger .tacos pain gratiné .l’est mieux pour la santé et où vit plus longtemps