Le pass sanitaire sera étendu à de nombreux lieux tels que les salles de spectacle ou encore les restaurants dès le mois d’août. Pour plusieurs syndicats, l’entrée en vigueur de cette nouvelle mesure pour lutter contre la Covid-19 pèsera sur les policiers. Ces derniers devront notamment vérifier que les établissements recevant du public contrôlent les pass sanitaires de leurs clients. En cas de non-contrôle, les responsables d’établissements auront un amende de 1500 euros. Au bout de trois violations, celle-ci passera à 9000 euros, sauf pour les directeurs d’hôpitaux pour lesquels elle est maintenue à 45.000 euros.
« On a clairement autre chose à faire », lâche Grégory Joron, secrétaire général du syndicat Unité SGP Police-FO dans un entretien accordé à 20 minutes. « On ne peut pas lutter contre les stupéfiants, les violences intra-familiales, sécuriser les quartiers touristiques, les villes balnéaires, et nous demander en plus de contrôler les terrasses des restaurants », complète Grégory Joron.
Les syndicats soulignent aussi la problématique de contrôler des pass sanitaires quand leur profession n’est pas soumise à l’obligatoire de se faire vacciner.
Bien dit ! C’est plus important de protéger les citoyens que de verbaliser des gens honnêtes avec des restaurateurs qui essayent déjà de sortir la tête de l’eau à cause de cette crise.
Comme i interdit a nous l hôpital mi espère bande politiciens le pour ke zot va représente a zot pour les prochains election ! !!!!rempli même zot poche et laisse a nous crever!!! Z étrangers na le droit ni fe soigne a nou dt nou si pas vacciner nous la point le droit rentre ds l hôpital pour un rdv ou accompagner nos ti vieux ! !! Mi espère zot finira pas zot vie malade car c lamentable de nous priver des soins car na point ke le virus comme maladie ! !
Deja que les policiers n’ont pas obligation de se vacciner. Ils ont d autres boulots à faire que de contrôler les pass sanitaires. C du boulot en plus non inscrit sur leur fiche de poste, donc travail en plus et augmentation de salaire.
Réponse au titre … « on aime glandouiller dans nos bureaux climatisés en attendant l’heure de sortie ! » (syndicats)
Si la gendarmerie lié ce message, des patrouilles dans les mi hauts vers les bazardiers, les lieux de coqbatail, les petits carrefours, la ya de quoi faire, pourquoi on vous voit que patrouiller dans les bas en bord de mer?