Convention canne : des avancées constatées, une rencontre avec les industriels prévue cette semaine

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Des « avancées », mais toujours pas d’accord. Les planteurs sont sortis de la salle de Réunion hier, plus ou moins satisfaits. Le préfet a annoncé des enveloppes supplémentaires pour soutenir la filière. Malgré tout, les planteurs attendent du concret de la part des industriels. Ils devraient d’ailleurs rencontrer  Tereos ce jeudi ou ce vendredi. Si aucune solution concrète n’est trouvée, les planteurs indiquent qu’ils sont prêts à renouveler leur mouvement.

La Chambre d’Agriculture de La Réunion fait part de la feuille de route et les propositions concernant la convention canne pour 2022-2027.

« A l’heure où la convention canne est rediscutée, la situation est critique. Depuis 2017, la production peine à dépasser les 1,5 million de tonnes et le moral des planteurs n’a jamais été aussi bas. La crise ukrainienne vient rajouter une difficulté supplémentaire avec une flambée du prix des intrants, notamment les fertilisants et le carburant qui atteignent des niveaux record. Dans ce contexte, la Chambre d’Agriculture est pleinement mobilisée aux côtés des planteurs et syndicats. La canne reste le pivot de l’agriculture réunionnaise, support de diversification par le revenu garanti qu’elle apporte notamment en cas d’accident climatique. La canne est aussi la clé de voûte de nombreuses industries dont le sucre, le rhum et l’énergie qui dégagent de nombreuses valeurs ajoutées pour le territoire. Le message fort qui est adressé aujourd’hui est que le planteur constitue le maillon faible de cette chaîne et que si ce maillon venait à céder, c’est toute l’industrie associée qui serait fragilisée avec des conséquences terribles sur l’emploi.

LE RHUM +32%

Le marché du rhum est un marché en forte progression depuis plusieurs années : + 32% sur la production réunionnaise en 8 ans. Il génère chaque année toujours plus de valeur ajoutée pour l’île de La Réunion sans que le planteur en bénéficie directement. Pourtant : sans canne, pas de mélasse locale. Sans mélasse locale, pas de rhum IGP. La revendication d’obtenir une augmentation du prix de la mélasse répercutée sur le revenu du planteur est totalement légitime.

NOUS SOUHAITONS :
– Une augmentation de 2,5 euros par tonne de canne financée par une augmentation de la mélasse à 157 €/t au lieu de 110 €/t (10 millions d’euros de chiffre d’affaire par la vente de mélasse) ;
– Une meilleure redistribution des recettes avec l’objectif de dégager 4 millions pour les planteurs. À l’heure où l’État a acté la conversion 100% biomasse des centrales thermiques du Gol et de Bois Rouge, le prix de la biomasse locale doit faire l’objet de toutes les attentions, il serait impensable de payer plus chère une matière première importée plutôt que de valoriser une matière première locale.

À l’heure où l’État a acté la conversion 100% biomasse des centrales thermiques du Gol et de Bois Rouge, le prix de la biomasse locale doit faire l’objet de toutes les attentions, il serait impensable de payer plus chère une matière première importée plutôt que de valoriser une matière première locale.

L’ÉNERGIE

Depuis des années, nous avons minimisé le rôle de la canne dans le mix énergétique. Elle participe à l’autonomie énergétique de l’île et contribue à réduire notre dépendance au pétrole et au charbon. De ce fait, elle mérite d’être mieux valorisée surtout dans un contexte de flambée des prix du fret maritime, d’inflation et d’incertitude associée aux crises successives. Sans canne à sucre c’est près de 9% de production en moins dans le mix électrique de l’île..

Nous souhaitons que :
● La CRE revalorise la bagasse pour accompagner la croissance de la
consommation énergétique ;
● L’industriel Albioma contribue au revenu du planteur par un
complément de prix.

LE SUCRE

Depuis la fin des quotas en 2017, les prix du sucre ont plongé. Cependant, la conjoncture semble aujourd’hui plus favorable avec des prix qui ont retrouvé leur niveau d’avant réforme et qui devraient encore augmenter.

C’est le moment pour les planteurs de pouvoir enfin bénéficier d’une augmentation significative de la rémunération liée au sucre. Non seulement les sucres blancs mais aussi et surtout les sucres spéciaux à plus forte valeur ajoutée dont l’État a garanti sa volonté de protéger ce marché par une clause de sauvegarde. Les évolutions des prix du sucre brut sont claires. Il faut réfléchir à un calcul de cette prime en considérant un seuil plus bas pour le sucre blanc et développer une rémunération en adéquation avec le marché des sucres spéciaux.

NOUS SOUHAITONS :
– Revoir l’article 10-d en fixant le seuil à 404 €/t ;
– Intégrer dans le prix, la moyenne du prix du sucre blanc et des sucres spéciaux

LA MÉCANISATION

La pénurie de coupeurs de canne a contraint de nombreuses exploitations à adopter la coupe longue machine avec les coupeuses péï. Malheureusement, cette transition s’effectue dans la douleur avec des pertes de richesse et donc de revenu considérable pour les planteurs. L’avenir de la filière canne est aujourd’hui conditionnée à une solution pour permettre à ces agriculteurs de maintenir leur revenu notamment en garantissant qu’aucun planteur n’ait à rembourser en fin de campagne l’avance de 30 euros payée par les industriels.

Dans ce contexte, la revendication historique d’un prix plancher de 35 euros est maintenue.

L’échéance qui est devant nous est décisive. En aucun cas, les planteurs ne pourront accepter que la canne ne soit qu’une variable d’ajustement des industries florissantes qui se sont développées autour d’elle. Pour continuer à assurer le succès des rhums réunionnais et le rayonnement de la production sucrière et énergétique de l’île, il est impératif de sanctuariser la production de cette matière première essentielle.
Cette convention 2022 – 2027 doit être un véritable électrochoc pour le revenu du planteur afin de donner un nouvel élan à la filière et assurer ainsi sa pérennité.

Pour rappel :

A la suite d’un appel à mobilisation de la FDSEA, les planteurs se sont donnés rendez-vous devant la préfecture de La Réunion, à Saint-Denis devant la préfecture depuis lundi matin. Ils y sont restés toute la nuit.

Cette nouvelle mobilisation fait suite à l’appel lancé vendredi dernier par  Dominique Gigan, président de la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles de La Réunion. Il a demandé aux planteurs de se donner rendez-vous devant la préfecture en tracteurs, en mode grillade ».

Les planteurs veulent ainsi mettre davantage la pression sur les industriels et les autorités réunionnaises par rapport à leur  situation. Une réunion a été annoncée lundi, mais finalement, elle n’a pas eu lieu.  Elle devrait avoir lieu ce mardi. La préfecture confirme la tenue d’une « réunion  de négociation de la convention canne avec les acteurs de la filière » ce mardi avec le préfet, Jacques Billant.

La réunion était prévue se tenir à la préfecture, mais il y aurait eu un changement que les planteurs n’acceptent pas. Pour faire monter la pression, ils réclament ainsi la tenue de cette réunion à la préfecture. Dominique Gigan annonce par ailleurs l’arrivée d’environ 50 tracteurs  à Saint-Denis dans les heures qui viennent. Ils vont quitter incessamment l’usine de Beaufonds.

Mardi dernier, les planteurs se sont illustrés par une double opération escargot  ayant causé de grosses difficultés de circulation sur l’île. Une rencontre avec le préfet a eu lieu au lendemain de ce mouvement. Aucun accord n’a été trouvé à l’issue de cette rencontre mais le préfet a promis de prendre les choses en main.

L’opération escargot a été exclue, mais les manifestations se poursuivaient jeudi à Saint-André où des représentants des planteurs a été reçu chez Albioma.

Les planteurs multiplient en effet les pressions sur les industriels à l’approche de la campagne sucrière. Ils revendiquent entre autres la création d’un prix plancher pour les cannes coupées mécaniquement, la valorisation de la bagasse et de la mélasse, la hausse du prix de base, en lien avec l’inflation

 

52 Commentaires

  1. alé coupe zot cannes , Zot va arrêter dan 5 ans , le président de la chambre d’agriculture a confirmé devant la presse , sur le marché mondial la tonnes de canne a sucre de ile de la reunion est trop cher , regarde no pay voisin , il fo diversifié.

  2. y fait grillades devant la préfecture et y invite pas do moune ke lé bloqué dans l’embouteillage a koz zot tracteur,tiembo largue pas,par contre té faillait débarque devant la préfecture ek remorque canne et déverse dans la cour la préfecture Mr préfét n’aurai goute in peut canne la Réunion n’aurai fait réfléchir à li,bon courage aux agriculteurs, bientôt les citoyens réunionnais va redescendre dans la rue pou la vie chère et que tte la augmenter, après cette y aime Macron joué ek zot l’ardoise ben prend l’avion rejoindre Jupiter et la Réunion au vrai réunionnais

  3. y fait grillades devant la préfecture et y invite pas do moune ke lé bloqué dans l’embouteillage a koz zot tracteur,tiembo largue pas,par contre té faillait débarque devant la préfecture ek remorque canne et déverse dans la cour la préfecture Mr préfét n’aurai goute in peut canne la Réunion n’aurai fait réfléchir à li,bon courage aux agriculteurs, bientôt les citoyens réunionnais va redescendre dans la rue pou la vie chère et que tte la augmenter, après cette y aime Macron joué ek zot l’ardoise ben prend l’avion rejoindre Jupiter et la Réunion au vrai réunionnais

  4. Faudra déjà ne pas mettre un polo Ralph Loren mon petit planteur lorsqu on passe à la télé ça fait tâche vu votre situation si désespérée donc commence aller acheter ton linge chez « youssouf » de chez jardinot y vente par mètre la toile lol

  5. Allé travaillé dont !
    Ah oui, trop duuur
    Changer d’agriculture, c’est devoir s’en occuper périodiquement, sans subventions, sans aides, oulalaaaaa
    Avoir pleins de terrains « en friche », rien foutre toute l’année graâe à l’arrosage automatique et le roundup et couper la canne une fois l’an, c’est tellement plus facile.

  6. A anonymous
    C koi un vrai Reunionnais ? Ceux qui ne savent pas que ce n’est pas le préfet qui décide ? Ceux qui trouvent la vie chère mais qui sont fiers de leur bmw ou de leur gros 4×4 ? Ceux qui pestent contre la république mais qui oublient que beaucoup d’entre eux vivent grâce à la solidarité nationale ?
    Je ne le crois pas !

  7. Be bop in vrai réunionnais li lé fier de son île,li fier de l’histoire de son île li lé fier d’être créole fier de son valeur fier de son kozer créoles fier de son mixité et brassage de culture et surtout li fier de défendre son tradition et non y rode imite tt ce qui vient du système capitaliste ke la pou implanté petit à petit ici la Réunion et la pou cangraine et détruit l’identité de la Réunion, la Réunion c’est la Réunion, la France métropolitaine c’est la France métropolitaine et les états unis c’est les états unis, comme di gramoune lontan confond pas coco ek z’haricots

  8. Be bop pkoi où braque aou kan y parle de la République personne la parle de la République Anonymous la juste dit que cette y aime pas la Réunion et ces valeurs rentre chez zot c’est tout,soit où lé macroniste soit où lé contre ke réyoné y défends zot point de vue et où lé prêt dénonce oute voisin au système oligarchique pou ke où vivent oute rêve à la zoreye collabo

  9. Ces planteurs de Cannes s ils estiment que la canne n est pas rentable pourquoi s entetent ils toujours a replanter il y a là un paradoxe,voudraient ils devenir fonctionnaires de l état en tant que planteurs de Cannes ils marchent sur la tête,quand la coupe va commencer se seras toujours le même refrain blocage d usine ils ne comprennent pas que l état ne peut pas indéfiniment subventionner cette culture il faut qu ils passent a autres choses et arrêtent d emmerder la population.

  10. Ces planteurs de Cannes s ils estiment que la canne n est pas rentable pourquoi s entetent ils toujours a replanter il y a là un paradoxe,voudraient ils devenir fonctionnaires de l état en tant que planteurs de Cannes ils marchent sur la tête,quand la coupe va commencer se seras toujours le même refrain blocage d usine ils ne comprennent pas que l état ne peut pas indéfiniment subventionner cette culture il faut qu ils passent a autres choses et arrêtent d emmerder la population.

  11. Aret’ in pé ek la filière sucre Réunion soit dizan lé piég, walali walolo : Après plusieurs années compliquées, le groupe coopératif Tereos renoue avec des résultats positifs. Ses dirigeants ont annoncé le 9 juin 2022 à Paris, un chiffre d’affaires en hausse de 18 % à 5,086 milliards d’euros pour son exercice clos le 31 mars 2022, un EBITDA (à peu près équivalent à l’excédent brut d’exploitation) de 682 millions d’euros, en hausse de 47 % et un résultat net positif, à 172 millions d’euros contre – 133 M€ lors du précédent exercice. « Ces résultats encourageants ont pu être obtenus grâce à une forte dynamique commerciale, une politique de valeur plutôt que de volumes, des prix plus élevés de l’éthanol, du sucre, de meilleurs résultats pour l’amidon et ce, malgré une mauvaise année au Brésil, a précisé Ludwig de Mot, nouveau président du directoire du groupe coopératif. La dette nette du groupe recule également de 150 M€, à 2 387 M€ ». (source : france agricole).

    Albioma : le chiffre d’affaires s’établit à 573,3 millions d’euros, en forte hausse par rapport à l’exercice précédent. Hors effet prix des combustibles (+33,1 millions d’euros) et l’effet change lié à la dégradation du réal brésilien (-2,0 millions d’euros), il est en progression de 7 %. (source albioma)

  12. Je croyais que les quatres voies étaient interdits aux tracteurs,il ‘ y a plus d’ autorités dans ce pays se sont les planteurs qui font leurs lois les forces de de sécurités sont désarmés et les laisseimpoder leurs lois drôle de façon de gouverner bravo .

  13. Je croyais que les quatres voies étaient interdits aux tracteurs,il ‘ y a plus d’ autorités dans ce pays se sont les planteurs qui font leurs lois les forces de de sécurités sont désarmés et les laisseimpoder leurs lois drôle de façon de gouverner bravo .

  14. reunionnais mi lé d’accord avec ce que où di, la zoreye y vend la Réunion aux étrangers les multinationales la pou appauvri noute l’île, détruit notre patrimoine noute tradition pou détruit la culture créole,et né n’a créole y comprends pas sa au contraire y traite a nous de complotiste kan y dévoile des vérités sur le système oligarchique capitalistes impérialistes mondialiste colonialiste satanique imposé par l’Amérique et sa grande colonie européenne que la pou cangraine la Réunion avec le wokisme et tte les dépravations kan tte réunionnais et réunionnaise n’aura compris tt ça sera peut-être trop tard,pkoi la Russie la coupe le gaz et carburant a l’Union Européenne,fin d’année immigrants clandestins européenne ici à la Réunion et pou le créole n’aura pu rien

  15. reunionnais mi lé d’accord avec ce que où di, la zoreye y vend la Réunion aux étrangers les multinationales la pou appauvri noute l’île, détruit notre patrimoine noute tradition pou détruit la culture créole,et né n’a créole y comprends pas sa au contraire y traite a nous de complotiste kan y dévoile des vérités sur le système oligarchique capitalistes impérialistes mondialiste colonialiste satanique imposé par l’Amérique et sa grande colonie européenne que la pou cangraine la Réunion avec le wokisme et tte les dépravations kan tte réunionnais et réunionnaise n’aura compris tt ça sera peut-être trop tard,pkoi la Russie la coupe le gaz et carburant a l’Union Européenne,fin d’année immigrants clandestins européenne ici à la Réunion et pou le créole n’aura pu rien

  16. Indépendance énergétique: comme le sucre n’est rentable pour personne, sauf pour ceux qui ramassent les subventions à la pelle ou au tractopelle: le bio ethanol serait peut-être intéressant, d’une part pour éliminer tous ces diesel défapés, reprogrammés qui asphyxient tout notre environnement. Produit localement, là au moins le circuit court prendrait tout son sens. Qu’on fasse tourner des usines pour brûler de la canne et faire du sucre du rhum ou du bioéthanol c’est exactement pareil sauf qu’on arrêtera de verser des subventions à tour de bras.
    Car, pour ceux qui croient que le parc automobile de la Réunion sera bientôt électrifié, il va falloir rajouter quelques diesels polluants chez EDF pour faire rouler les autos électrique.

  17. Indépendance énergétique: comme le sucre n’est rentable pour personne, sauf pour ceux qui ramassent les subventions à la pelle ou au tractopelle: le bio ethanol serait peut-être intéressant, d’une part pour éliminer tous ces diesel défapés, reprogrammés qui asphyxient tout notre environnement. Produit localement, là au moins le circuit court prendrait tout son sens. Qu’on fasse tourner des usines pour brûler de la canne et faire du sucre du rhum ou du bioéthanol c’est exactement pareil sauf qu’on arrêtera de verser des subventions à tour de bras.
    Car, pour ceux qui croient que le parc automobile de la Réunion sera bientôt électrifié, il va falloir rajouter quelques diesels polluants chez EDF pour faire rouler les autos électrique.

  18. Indépendance énergétique: comme le sucre n’est rentable pour personne, sauf pour ceux qui ramassent les subventions à la pelle ou au tractopelle: le bio ethanol serait peut-être intéressant, d’une part pour éliminer tous ces diesel défapés, reprogrammés qui asphyxient tout notre environnement. Produit localement, là au moins le circuit court prendrait tout son sens. Qu’on fasse tourner des usines pour brûler de la canne et faire du sucre du rhum ou du bioéthanol c’est exactement pareil sauf qu’on arrêtera de verser des subventions à tour de bras.
    Car, pour ceux qui croient que le parc automobile de la Réunion sera bientôt électrifié, il va falloir rajouter quelques diesels polluants chez EDF pour faire rouler les autos électrique.

  19. bien cosé lo kaf ! mais lé trop tard ,le ver lé dan le fruit, depuis lontan zélus la donne la tete band gros en France, la machine la tourne à plein régime, creole allez ramasse poubelle en France, zoreil travaille dans bureau !

  20. Il faut mettre fin aux subventions tout azimuts pour maintenir artificiellement une culture qui n as aucun avenir,et obligations de mettre fin à l extension de cette culture dont les acteurs paralysent la vie de nos citoyens qui par leurs impôts financent a fonds perdus cette culture dont les acteurs de comportent certains pratique des méthodes de voyous par leurs actes irréfléchis sur la voie publique stop…stop…

  21. Il faut mettre fin aux subventions tout azimuts pour maintenir artificiellement une culture qui n as aucun avenir,et obligations de mettre fin à l extension de cette culture dont les acteurs paralysent la vie de nos citoyens qui par leurs impôts financent a fonds perdus cette culture dont les acteurs de comportent certains pratique des méthodes de voyous par leurs actes irréfléchis sur la voie publique stop…stop…

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