Convoi de la liberté : arrêt au niveau de la station de Pierrefonds (VIDEO)

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Les convois de la liberté sont déjà arrivés au niveau de la route du littoral. Ils sont encadrés par les forces de l’ordre et n’occupent que la voie de droite.

Partis de Duparc ce matin vers 7h, ils sont actuellement à la station de Pierrefonds.

Programme

Départ du parking Leroy Merlin à Sainte-Marie ce matin, le boulevard sud, la route digue pour rejoindre le Boulevard Lancastel, la Rue de Paris, le pont Vinh-San, la mairie de la Possession, la chaussée Royale à St-Paul, la mairie de St-Leu, la mairie de l’Etang-Salé, la mairie de St-Louis, le Chu de Saint-Pierre, la mairie de Petite-Île et les organisateurs annoncent un bivouac ce soir à Saint Joseph avant de reprendre la route dimanche.

https://fb.watch/b7koIz57oB/Si vous avez plus d’informations, contactez nous au 0262 99 12 00 et n’oubliez pas de publier vos photos sur le groupe Facebook Freedom. 

En métropole, les convois s’organisent depuis plusieurs jours

Le convoi de la liberté convergent vers Paris aujourd’hui. Malgré l’interdiction de la préfecture de police de Paris, des milliers d’opposants au pass vaccinal, imposé par le gouvernement pour lutter contre la pandémie de coronavirus, restent mobilisés pour tenter de rejoindre la capitale, avant de rouler jusqu’à Bruxelles en Belgique.

Des coups de klaxons, des applaudissements, des cris, les manifestants ne se démobilisent pas. Au nord de Toulouse, aucun des participants à ce convoi n’est vraiment étonné par cette décision. « Une fois de plus, on bafoue notre Constitution », souffle Christian, l’un d’entre eux, toujours aussi déterminé. « Il n’y a aucune raison que l’on m’empêche de circuler. Normalement, on doit passer par Paris (pour rejoindre Bruxelles, NDLR), pourquoi on en serait interdit ? », fustige le convoyeur au micro d’Europe1.

La traversée de Paris, un objectif secondaire

« On est déterminés, parce que là-bas (à Paris), il y a Manu qui m’attend », enchaîne Aimée, un autre participant, qui fait référence à la phrase « qu’ils viennent me chercher » prononcée par le président Emmanuel Macron en juillet 2018 lors de l’affaire Benalla.

Les organisateurs de ce convoi confient toutefois à Europe 1 que la traversée de la capitale n’est pas forcément un objectif. Si certains le souhaitent, la plupart préféreraient se rapprocher le plus possible de Paris et faire étape en périphérie. Pour Jean, cette interdiction révèle que l’État a peur. « Là-haut, ils balisent », lance-t-il. « Ils se disent qu’ils ne savent pas à combien on arrive », poursuit le convoyeur, « il faut garder le suspense et moi, je veux être là pour le vivre. »

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