Covid-19 : « 13 cas suspects » du variant Omicron en France

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Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a indiqué ce mercredi 1er décembre qu’il y a 13 cas suspects du nouveau variant Omicron en France. Ils doivent être séquencés pour confirmer ou pas les contaminations par cette souche venue d’Afrique australe.

« À l’heure à laquelle je vous parle, il y a 13 cas suspects du variant Omicron sur notre territoire, ce sont des cas suspects, c’est-à-dire pour lesquels un criblage a laissé penser qu’il y avait une possibilité de variant Omicron. Tous ces cas sont en train d’être séquencés« , a expliqué le secrétaire d’Etat à la sortie du Conseil des ministres.

 

2 Commentaires

  1. « L’analyse des documents réglementaires de référence et des documents du fabricant consultables – particulièrement pour l’évaluation de l’efficacité et de la sécurité préclinique (données non humaines) du vaccin à ARNm de Pfizer/Biontech – montrent clairement la précipitation et l’impréparation de l’évaluation de cette nouvelle technologie.

    Le fabricant et les autorités européennes de santé ont outrepassé tout principe de précaution pour cette toute nouvelle technologie de vaccin.

    Le caractère d’urgence pouvait à la limite se justifier en novembre 2020, mais il n’est pas acceptable, au regard des nombreux signaux d’alerte de la pharmacovigilance post-marché, que le fabricant et/ou les autorités n’aient pas cherché depuis 12 mois déjà à compléter les données manquantes pour assurer la sécurité comme le risque de thrombose, le risque CMR, la dérégulation des cycles menstruels ou la pharmacocinétique de la protéine Spike produite qui a tout d’une toxine systémique.

    De plus la suppression du groupe placebo dans l’essai clinique pivot met à mal tous les grands principes de l’Evidence Based Medicine et son sacrosaint Essai Clinique Randomisé Double Aveugle. Il ne peut s’en suivre qu’une perte de confiance, une défiance envers la capacité des Autorités à protéger les citoyens européens de vaccins reposant sur une technologie entièrement nouvelle imposée de manière répétée sous la contrainte, la menace et le chantage

    . Au temps de la précipitation devrait logiquement succéder le temps de la réflexion et de l’exigence de sécurité. Il reste 2 ans pour cela. »

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