Covid-19 : 27 143 personnes ont reçu au moins une dose de vaccination

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Depuis le début de la campagne de vaccination à La Réunion, 27 143 personnes ont reçu au moins une dose de vaccination (au 18 mars). Courant mars, le département bénéficiera de davantage de doses du vaccin Pfizer, soit 3 500 doses supplémentaires pour la semaine du 22 mars, permettant l’ouverture d’un plus grand nombre de plages de rendez-vous dans les centres de vaccination. Ainsi, à compter du lundi 22 mars, la campagne de vaccination est élargie aux personnes âgées de 60 à 74 ans (et non plus 65 ans) ayant une pathologie à risque de forme grave de Covid-19. Les personnes concernées peuvent prendre rendez-vous dans un des 8 centres de l’île ou lors des campagnes « Aller vers « . Par ailleurs, le centre de vaccination du CHOR déménage à l’ancien centre hospitalier Gabriel Martin dès le lundi 22 mars et augmente sa capacité de 250 doses par semaine à partir du 23 mars.

Élargissement des publics prioritaires dès le 22 mars

A compter du 22 mars, la campagne de vaccination concernera les personnes âgées de 60 à 74 ans (et non plus 65 ans) avec une des pathologies à risque de forme grave de Covid-19 suivantes, définies par le Haut Conseil de Santé Publique, et disposant d’une ordonnance médicale :

  • Diabète (de type 1 et 2) ;
  • Pathologies cardio-vasculaires (hypertension artérielle compliquée, antécédent d’AVC, antécédent de coronaropathie, antécédent de chirurgie cardiaque, insuffisance cardiaque) ;
  • Pathologies respiratoires chroniques (broncho pneumopathie obstructive, insuffisance respiratoire, asthme sévère, fibrose pulmonaire, syndrome d’apnées du sommeil, mucoviscidose)
  • Insuffisance rénale chronique dialysée;
  • Obésité(IMC>ou=à30);
  • Cancer ou hémopathie maligne actif de moins de 3 ans ;
  • Cirrhose au stade B du score de Child Pugh au moins ;
  • Immunodépression congénitale ou acquise ;
  • Syndrome drépanocytaire majeur ou antécédent de splénectomie ;
  • Pathologies neurologiques (maladies du motoneurone, myasthénie grave, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, paralysie cérébrale, quadriplégie ou hémiplégie, tumeur maligne primitive cérébrale, maladie cérébelleuse progressive).

Les personnes concernées peuvent prendre rendez-vous pour la vaccination dans un des 8 centres de l’île ou lors des campagnes  « Aller vers » dans les cirques et prochainement dans certaines communes.

Pour rappel, la vaccination est un motif dérogatoire de déplacement pendant la période de couvre-feu.

Retrouvez la liste des publics prioritaires (personnes âgées de plus de 75 ans, patients à très haut risque
de forme grave de Covid-19, professionnels de santé de tout âge, …) sur le site internet de l’ARS :
https://www.lareunion.ars.sante.fr/covid-19-ou-et-comment-se-faire-vacciner

3 Commentaires

  1. Le déni de soin, source de l’obligation vaccinatoire. Depuis le début, tout a été fait pour écarter toutes les solutions thérapeutiques autres que la vaccination. Tous les traitements conventionnels, dont on disposait, ont été écartés et même interdits. Certains produits, connus depuis des décennies pour leur innocuité, ont été retirés du marché et interdits à la prescription. Un seul but : réduire les solutions thérapeutiques afin que ne subsiste plus que la seule vaccination. C’est bien le cas de le dire : toute la population française a été mise dans une seringue, volontairement terrorisée pour qu’elle n’ait pas d’autre issue que d’accepter le vaccin.

    La parole interdite. Toute opposition est immédiatement censurée. C’est ainsi qu’une récente vidéo virale d’Alexandra Henrion-Caude dénonçant les essais thérapeutiques criminels sur la population, les risques du vaccin à ARNm et le déni de soins a été immédiatement occultée.

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