Covid-19 à La Réunion : la progression de l’épidémie ralentit

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Depuis plusieurs semaines, la situation sanitaire de la Covid-19 à La Réunion est marquée par une augmentation du taux d’incidence et du taux de positivité, comme au niveau national. Toutefois, cette progression a ralenti par rapport à la semaine précédente, avec notamment un taux de reproduction à 1,07 contre 1,20 la semaine précédente.

À ce stade, il n’est toujours pas observé d’impact sur la situation hospitalière, avec un nombre stable de patients en réanimation à un niveau bas.

À la veille de cette période de fêtes propice aux rassemblements, le préfet de La Réunion et l’ARS La Réunion incitent à la plus grande vigilance de tous et renouvellent l’importance pour l’ensemble des Réunionnais de poursuivre les gestes barrières :
– le port du masque en cas de maladie ou bien si l’on est personne contact, en présence de personnes fragiles et dans les lieux à forte fréquentation,
– le lavage régulier des mains ou l’utilisation d’une solution hydroalcoolique,
– l’aération régulière des pièces, même lorsqu’on utilise la climatisation.

Les autorités encouragent également les Réunionnais à réaliser un test de dépistage en cas de symptômes et à s’isoler en cas de test positif au Covid-19.

La dose de rappel est fortement recommandée, particulièrement chez les personnes de plus de 60 ans et les personnes présentant des fragilités, afin de les protéger des formes sévères de la maladie.

2 Commentaires

  1. Des pathologistes médicaux de l’hôpital universitaire de Heidelberg, en Allemagne, ont publié des preuves directes montrant comment les personnes retrouvées mortes après une vaccination par ARNm sont décédées. Comme l’explique cette équipe de six scientifiques dans son étude, ces patients vaccinés par ARNm ont souffert de lésions cardiaques parce que leur cœur a été attaqué par leurs propres cellules immunitaires. Cette attaque auto-immune contre leurs propres cellules cardiaques a ensuite conduit leurs cœurs endommagés à battre tellement de fois par seconde que, une fois la tachycardie déclenchée de manière inattendue, ils sont morts en quelques minute

  2. En considérant la triade épidémiologique (agent-hôte-environnement) applicable à toutes les maladies, nous avons étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de COVID-19 : le rayonnement radiofréquence ambiant des systèmes de communication sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques.
    Le SRAS-CoV-2, le virus qui a causé la pandémie de COVID-19, a fait surface à Wuhan, en Chine, peu de temps après la mise en œuvre du rayonnement des communications sans fil à l’échelle de la ville (cinquième génération [5G] [WCR]), et s’est rapidement propagé à l’échelle mondiale, initialement démontrant une corrélation statistique avec les communautés internationales avec des réseaux 5G récemment établis.
    Dans cette étude, nous avons examiné la littérature scientifique évaluée par des pairs sur les effets biologiques néfastes de la WCR (Wireless Communication Radiation: la Radiation des communications sans fils) et identifié plusieurs mécanismes par lesquels la WCR pourrait avoir contribué à la pandémie de COVID-19 en tant que cofacteur environnemental toxique.

    En franchissant les frontières entre les disciplines de la biophysique et de la physiopathologie, nous présentons des preuves que la WCR peut : (1) provoquer des changements morphologiques dans les érythrocytes, y compris la formation d’échinocytes et de rouleaux qui peuvent contribuer à l’hypercoagulation ; (2) altérer la microcirculation et réduire les taux d’érythrocytes et d’hémoglobine exacerbant l’hypoxie ; (3) amplifier le dysfonctionnement du système immunitaire, y compris l’immunosuppression, l’auto-immunité et l’hyperinflammation ; (4) augmentent le stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres entraînant des lésions vasculaires et des dommages aux organes ; (5) augmenter le Ca2+ intracellulaire essentiel pour l’entrée, la réplication et la libération du virus, en plus de favoriser les voies pro-inflammatoires ; et (6) aggraver les arythmies cardiaques et les troubles cardiaques.

    En bref, la WCR est devenue un facteur de stress environnemental omniprésent qui, selon nous, pourrait avoir contribué à des effets néfastes sur la santé des patients infectés par le SRAS-CoV-2 et accru la gravité de la pandémie de COVID-19. Par conséquent, nous recommandons que toutes les personnes, en particulier celles qui souffrent d’une infection par le SRAS-CoV-2, réduisent leur exposition au WCR autant que raisonnablement possible jusqu’à ce que de nouvelles recherches clarifient mieux les effets systémiques sur la santé associés à l’exposition chronique au WCR.

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