Covid-19 : c’est parti pour la consultation citoyenne sur la vaccination

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L’ARS La Réunion, en lien avec le Ministère des Solidarités et de la Santé, lance une consultation citoyenne sur la vaccination contre la Covid-19 jusqu’au 19 août 2021. Ce questionnaire rapide et anonyme vise à recueillir les points de vue des Réunionnais et comprendre leurs attentes et réticences sur la campagne de vaccination. Toutes les personnes de plus de 18 ans résidant à La Réunion sont concernées et peuvent répondre au questionnaire par internet, ou lors d’une enquête téléphonique.

Contexte et objectif de la consultation citoyenne

Le niveau de couverture vaccinale contre la Covid-19 à La Réunion est de 26 % de la population (au 19 juillet), soit un taux deux fois inférieur au niveau national. Ce taux, très insuffisant, fait craindre une accélération de l’épidémie, dans un contexte de diffusion des variants notamment le , Delta – très contagieux. Hors, pour atteindre une immunité collective, il nous faut arriver à 80% de la population vaccinée.

Il est nécessaire de comprendre les attentes des Réunionnais vis-à-vis de la vaccination. C’est pourquoi une consultation citoyenne est lancée par l’ARS, en lien avec le Ministère des Solidarités et de la Santé du 22 juillet au 19 août. C’est l’occasion pour la population de s’exprimer, faire entendre sa voix et donner son avis.
Cette enquête anonyme s’adresse à tous les Réunionnais de 18 ans et plus, quel que soit leur opinion à l’égard de la vaccination. La restitution des résultats de l’enquête est prévue fin août 2021.

Une consultation par internet et par téléphone

L’enquête prend la forme d’un questionnaire rapide d’une dizaine de questions et est accessible :
• sur internet : sur le site dédié https://ministeres-sociaux.typeform.com/to/hj9ExGsi
(accessible sur ordinateur ou sur smartphone avec les navigateurs Chrome, Mozilla, Safari de préférence)
ou sur le site de l’ARS La Réunion : www.lareunion.ars.sante.fr/covid-19-consultation-citoyenne-sur-la-vaccination-exprimez-vous-jusquau-19-aout-2021

13 Commentaires

  1. il n’y a que 26% de reunionais qui veulent prendre l’avion à tout moment quoi qu’il en coute….

    ou qui l’on fait parce qu’on leur a dit que c’etait pour leur bien mais sans comprendre de quoi il

    en retournait…

    une minorité manipulée

  2. ‘ Sabotage, tags, incendie… Ces actes de vandalisme anti-vaccin ont pris des formes diverses au cours des derniers jours. À Urrugne, dans les Pyrénées-Atlantiques, le centre de vaccination de la ville a été incendié dans la nuit de samedi 17 juillet à dimanche, laissant une partie de son chapiteau éventré.

    Dans le Doubs, à Audincourt, les disjoncteurs d’alimentation électrique ont été coupés dimanche. Une coupure d’une heure à une heure et demie, si bien que 3500 doses, stockées dans les réfrigérateurs, ont dû être analysées pour savoir si elles avaient été affectées. “Il n’y a aucun doute là-dessus, le centre de vaccination était ciblé”, avait déclaré à l’AFP Martial Bourquin, le maire de la ville.

    Du côté des Landes, la violence de ces attaques est montée d’un cran : à Saint-Paul-lès-Dax, des croix gammées taguées sur les murs du centre de vaccination ont été découvertes lundi 19 juillet. Selon plusieurs témoins, un homme aurait aussi proféré des insultes et des menaces mardi et mercredi à l’encontre du personnel d’accueil, l’accusant de « tuer des gens » rapporte France Bleu Gascogne.

    Parmi les autres infrastructures vandalisées depuis le 14 juillet, on compte aussi les centres de vaccination de Lans-en-Vercors (Isère), de Lamballe-Armor (Côtes-d’Armor), de Chambéry (Savoie) et de Neuillé-Pont-Pierre (Indre-et-Loire). Les centres de dépistage de Kembs (Haut-Rhin) et des Sables-d’Olonnes (Vendée), ainsi que le Pôle Santé de Périers (Manche) et le laboratoire d’analyses médicales de Crémieu (Isère), ont également été pris pour cible. ‘ »

    faudrait pas pousser le bouchon trop loin , les reactions sont trop rapides….

  3. Toutes ces personnes anti -vaccination Covid ont reçu toutes leurs vaccinations infantiles et rappels , et ont fait aussi vacciner leurs enfants dans le passé .
    Ces vaccins les ont protégé et aidé à avoir une vie tranquille face à la maladie.
    Pourquoi aujourd’hui, ils refusent d’être protégé et de protéger les autres ?
    Pourquoi aujourd’hui, ils refusent de conserver leur liberté de mouvements , de protection contre la maladie ?
    Qu’est-ce que ces personnes proposent comme autre solution pour mettre fin à cette pandémie?

  4. Pour mettre fin a cette pandémie il y a l’hydroxychloroquine et azithromycine, l’ivermectine, ces molécules pas chères sont utilisées par la moitié de la planète sauf dans les pays dîtes « riches et civilisés », évolués, c’est dingue!!
    Il existe une très forte différence entre le « vaccin » a ARN-m de big-pharma et un vaccin classique que nous nous injectons depuis toujours.
    D’ailleurs « vaccin » est abusivement employé car les produits injectés sont des prototypes qui n’ont pas d’AMM définitif.
    Si demain nous retirons du marché ces fameux « vaccins » Covid-19, parce que trop de risque pour la santé, que feront les « vaccinés » avec ce produit dans les veines?

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