Le ministre de la santé, Olivier Véran a fait le point sur la situation sanitaire depuis le ministère.
Les trois nouveaux variants du Covid-19 sont plus contagieux : “nous inquiètent particulièrement et le nombre d’admissions à l’hôpital restait relativement stable à ce stade. La pression sanitaire reste forte dans notre pays mais elle n’augmente pas”.
“Les vaccins sont très efficaces contre le variant britannique du Covid-19 qui représente une infection sur quatre en France”
les variants sud-africain et brésilien, pouvaient provoquer des réinfections chez des personne ayant déjà contracté le coronavirus. Le virus a une capacité à échapper aux anticorps fabriqués par la personne ayant déjà été contaminée. Le virus arrive à contourner l’immunité.
“Les mesures restrictives déjà mises en place soient suffisantes pour freiner l’épidémie en France. En tenant ensemble comme nous le faisons, nous espérons gagner assez de temps pour éviter un confinement”.
Olivier Véran espère que les mesures restrictives déjà mises en place soient suffisantes pour freiner l’épidémie en France : ” en ne décidant pas un confinement généralisé, nous avons gagné plusieurs semaines”.
Le variant britannique est désormais responsable de 20 à 25% des infections au Covid-19 en France, contre 15%, il y a une semaine.
Les variants sud-africains et brésilien sont responsables de 4 à 5% des cas en France.
En Moselle, explosion des cas de variants, la situation et inquiétante, c’est le département où l’incidence est plus élevée que la moyenne.
“Plus de 300 cas de mutations évocatrices de variants sud-africain et brésilien ont ainsi été détectés en Moselle ces derniers jours, précisant que tous ces cas ne représentaient pas nécessairement des clusters. Pour expliquer cela, il a fait savoir que toutes les éventualités étaient étudiées, notamment les liens avec les pays frontaliers. Je vais me rendre ce vendredi 12 février 2021 dans le département afin d’y mener une concertation”.
François Grosdidier, maire LR de la ville de Metz se dit favorable à un reconfinement de la Moselle.
les variants sud-africain et brésilien, pouvaient provoquer des réinfections chez des personne ayant déjà contracté le coronavirus. Le virus a une capacité à échapper aux anticorps fabriqués par la personne ayant déjà été contaminée. Le virus arrive à contourner l’immunité. Donc on pouvait atteindre l’immunité collective, alors pourquoi toutes ces mesures ? Maintenant grâce a un seul vaccin, des dizaines de variants apparaissent et il faut à nouveau que notre corps cherchent les bon anticorps pour se défendre. Attendons encore les nouveau vaccins, pour de nouveaux variants. Pendant ce temps-là, les lits dans les hôpitaux continuent à être supprimés, logique?
Merci Joe. Le 8 octobre dernier, la Commission européenne a signé avec Gilead un contrat d’achat conjoint de remdesivir correspondant au traitement de 500.000 patients, qui donne la possibilité aux États membres de l’UE d’acheter des doses de l’antiviral au prix de 2.070 euros par traitement. Alors que l’efficacité du remdesivir est aujourd’hui remise en cause, on peut s’interroger sur l’opportunité d’une telle décision. Des études sérieuses montrent que le rendesivir est l’agent mutagène du variant anglais et sans doute celui d’Afrique du Sud. Que font les citoyens maintenant?
《Quand la peur de mourir dépasse l’envie de vivre 》
Le variant VERAN a encore frapper