Covid, lanternes volantes, alcool, pétards… la préfecture de la Réunion rappelle les réglementations en vigueur

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En cette période de fin d’année, le préfet de La Réunion tient à rappeler à tous les Réunionnais la réglementation en matière de lanternes volantes, de vente de boissons alcooliques et de feux d’artifices sur notre département.

Interdiction de lâchers de ballons et de lanternes

Depuis le mois de novembre 2020, il est interdit de procéder à des lâchers de ballons et de lanternes que ce soit à usage récréatif, commémoratif ou de loisirs, sur l’ensemble de notre île. En effet, malgré des usages par le passé dans le cadre de fêtes publiques ou privées, l’utilisation de ces objets volants présente plusieurs risques, ils peuvent notamment :

  • gêner la visibilité des pilotes d’avion, être aspirés par les réacteurs ou retomber sur les pistes ;
  • provoquer des feux de végétation ou des incendies sur des bâtiments ;
  • polluer l’environnement avec des déchets dangereux pour un certain nombre d’espèces animales, notamment marines.

Retrouvez l’arrêté n°2020-3436 du 27 novembre 2020 portant sur l’interdiction permanente de lâchers de ballons et de lanternes volantes à La Réunion.

Chacun est invité à contribuer à la préservation de l’environnement et à éviter tout ce qui peut engendrer une pollution des milieux naturels et limiter les risques d’incendie. Ceci concerne les ballons de baudruche et les lanternes mais également tous les autres déchets (y compris artifices) qui, trop souvent, sont laissés sur les plages et dans la nature au lendemain des réveillons de Noël ou de la Saint-Sylvestre.

Réglementation sur la vente de boissons alcooliques

En application de l’arrêté n°2019-3866, les débits de boissons dont l’exploitant est titulaire d’une licence à consommer sur place des 3e  et 4e catégorie et les restaurants bénéficieront comme chaque année d’un régime dérogatoire aux horaires réglementaires de fermeture. À ce titre, ils pourront rester ouvert jusqu’à 2h à l’occasion des nuits du 24 au 25 décembre et du 31 décembre au 1er janvier.

En revanche, il est rappelé que la vente à emporter des boissons alcooliques demeure interdite entre 21h et 6h. Cette interdiction s’applique aux établissements fixes et mobiles et aux commerces de vente à distance pour la livraison à domicile.

Concernant les stations-services, il est rappelé qu’il est interdit de vendre des boissons alcooliques à emporter entre 18h et 8h et il est interdit d’y vendre des boissons alcooliques réfrigérées à toute heure.

Retrouvez l’arrêté n°2019-3866 du 19 décembre 2019 portant sur les débits de boissons alcooliques.

Interdiction de vente de feux d’artifices sur la voie publique

La vente des artifices de divertissement est réglementée et doit avoir lieu dans un établissement recevant du public agréé. La vente sur la voie publique est interdite.

Retrouvez l’arrêté n°645 du 7 avril 2022 relatif aux mesures de sécurité dans les établissements recevant du public pour la commercialisation des artifices de divertissement et des mesures d’obligation qui s’imposent aux commerçants.

Les propriétaires d’animaux sont invités à les rentrer, afin d’éviter qu’ils soient effrayés et fuient du fait du bruit des détonations.

L’alcool au volant

L’alcool est responsable de 16,6% des accidents corporels constatés à La Réunion et de 23 décès représentant plus de la moitié des décès sur les routes en 2022. À l’approche des fêtes de fin d’année, les usagers doivent faire preuve de vigilance et de prudence en adoptant un comportement responsable sur la route. 

Le contexte sanitaire

La Covid-19 est toujours présente. Il convient de demeurer vigilant en respectant les gestes barrières (notamment le port du masque lorsque nécessaire), en se faisant tester en cas de symptômes, en s’isolant en cas de positivité à la Covid-19 et en se faisant vacciner. La campagne de rappel est ouverte à toute personne de 12 ans et plus. Dans le contexte actuel de circulation active du virus de la Covid-19, il est nécessaire de procéder au rappel vaccinal pour permettre une meilleure protection, notamment des personnes les plus fragiles.

13 Commentaires

  1.  » il est nécessaire de procéder au rappel vaccinal pour permettre une meilleure protection, notamment des personnes les plus fragiles.  »
    67 ans, pas encore reçu la première dose et toujours vivant.
    Je connais une personne de 83 ans dans la même situation et toujours vivant.

  2. « Les vaccins ARNm anti-Covid ne sont pas soumis aux études de biodistribution (circulation dans l’organisme )et d’ excrétion (risque d’expulsion de la protéine S vaccinale) et ceci en fonction de la règlementation des agences de santé.

    Les vaccins ARNm de Pfizer et Moderna sont fondés sur la protéine spike du virus SARS-CoV-2.
    Ils sont constitués d’acide nucléique (l’ARNm) qui est le code génétique (modifié) par rapport aux
    ARNm naturels) de cette protéine (modifiée par rapport à la protéine virale).

    Les cellules du corps de la personne vaccinée vont traduire ce code et synthétiser la protéine spike.

    Les vaccins anti-coronavirus sont connus depuis 2003 comme susceptibles de provoquer
    l’ADE (facilitation de l’infection).
    Les documents obtenus par FOIA montrent que le vaccin diffuse dans tout le corps des animaux testés et persiste au moins 14 jours.

    Les études pré-cliniques présentées par les fabricants montrent que les composants des LNPs ou les
    LNPs contenant l’ARNm se distribuent dans tout le corps et persistent jusqu’à 6 ou 14 jours (selon qu’il
    s’agit de Moderna ou Pfizer).

    Dans certains organes il y a même concentration des LNPs par rapport
    aux taux retrouvés dans le sang (glandes surrénales, la moelle osseuse, les yeux, l’intestin,, le foie, les
    ganglions, les ovaires la rate, les testicules) ; les animaux étant sacrifiés au bout de 6 ou 14 jours, il est
    impossible de savoir si la concentra

    MEDIA ET AUTORITES ONT MENTI en affirmant que le vaccin ne quittait pas le muscle piqué et ne restait que quelques heures dans le corps, le temps que l’organisme produise des anticorps

    Le mécanisme des effets secondaires est donc prévisible avec de la protéine spike à profusion dans tous les organes

    La toxicité de la spike était connue depuis longtemps
    Dès 2005, ce potentiel délétère des protéines de type Spike était envisageable pour le SARS-CoV-1 , le
    proche parent du virus SARS-CoV-2 responsable de la COVID-19 [14]

    Les infections à SARS-CoV et la protéine Spike du SARS-CoV réduisent l’expression de l’ACE2.
    Notamment, l’injection de la protéine Spike du SRAS-CoV à des souris aggrave l’insuffisance
    pulmonaire aiguë in vivo qui peut être atténuée en bloquant la voie rénine-angiotensine. Ces résultats
    fournissent une explication moléculaire de la raison pour laquelle les infections par le SRAS-CoV
    provoquent une insuffisance pulmonaire grave et souvent mortelle et suggèrent une thérapie
    rationnelle pour le SRAS et peut-être d’autres virus de maladies respiratoires.

    En 2008, une étude concluait au fait que la liaison entre le domaine (RBD) de la protéine Spike et le
    récepteur ACE2 contribuant à la pathogénèse du SARS-CoV-1, tout vaccin basé sur le RBD de la
    protéine Spike devrait être considéré « avec soin » »
    $
    ce prefet n’est pas un medecin éclairé…

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