Damien Abad, ministre des Solidarités, visé par des signalements des faits présumés de viol

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Quelques jours après son entrée au gouvernement, Damien Abad, le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées, est visé par des signalements des faits présumés de viol.  En effet, deux femmes l’accusent de violences sexuelles, révèle Mediapart.

Les deux femmes ne se connaissent pas, mais chacune d’elles affirme avoir passé une soirée avec l’ancien LR, incité à boire du champagne et a fini par coucher avec le mis en cause. La première raconte ne plus avoir aucun souvenir après une simple coupe de champagne. La deuxième affirme avoir eu une relation sexuelle consentie dans un premier temps, avant de demander à l’ancien eurodéputé de s’arrêter.

Mais Damien Abad nie en bloc les accusations, avançant son handicap, qui ne lui permet pas de commettre les actes décrits, notamment de déshabiller ou de transporter quelqu’un. Il indique également qu’il n’a jamais drogué qui que ce soit.

Dans un communiqué, le ministre réitère ses dénégations : « Je conteste avec la plus grande force ces accusations de violences sexuelles. Je conteste avoir exercé quelque forme de contrainte que ce soit sur aucune femme. Je conteste enfin tout abus de pouvoir lié aux fonctions que j’ai occupées », fait-il savoir. « Je suis contraint aujourd’hui de préciser que, dans ma situation, l’acte sexuel ne peut survenir qu’avec l’assistance et la bienveillance de ma partenaire ».

La deuxième femme aurait déposé une plainte pour viol en 2017 contre Damien Abad. La première femme aurait par contre alerté l’Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique le 13 mai dernier. Cet observatoire a alors transmis la plainte au procureur de la République. Lors d’un déplacement dans le Calvados, ce dimanche, la Première ministre, Élisabeth Borne, déclare qu’elle n’était pas au courant.

 

« Je vais être très claire sur toutes ces questions de harcèlement de violences sexuelles, il ne peut y avoir aucune impunité », a ajouté la cheffe du gouvernement. « Il faut continuer à agir » pour « libérer la parole des femmes », précisant que « s’il y a de nouveaux éléments, si la justice est de nouveau saisie, on en tirera toutes les conséquences ».

 

2 Commentaires

    • Si ou la pas suiv’ l’actualité, li drog sa proie & li la rampe d’si elle comm’ 1 ver terr'(ou 1 coulèv’) : ki dit à ou napoint d’autres ?
      Li oz dit ke tout seul li giny pas fé l’amour, i fo ke la partenèr’ i aid’ à li : veill’ ta war, li va pay’ 1 femm’ pou confirmer ses dires & konm’ mi dis souvan, 1 politiCHIEN lé jamé coupab’ ou sinon li s’ra pas sanctionné konm’ nous ti colon, si l’avé arriv’ à nous sa..
      Regard les sanctions ke band’ col blanc i giny kan i arriv’ devant la zistis : nou na zexamp’ la Rényon

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