De son vrai nom Giuseppe Chierchia, le chanteur est décédé ce dimanche 7 juillet 2024 à l’âge de 71 ans. Sa carrière fut marquée par de nombreux succès internationaux, mais c’est surtout sa chanson la plus célèbre qui lui a apporté une immense satisfaction. Cette chanson, qui a traversé les frontières et les générations, reste un emblème de son talent et de sa contribution à la musique.
Sa femme Teresa et son fils Francesco ont annoncé la nouvelle de la mort de l’artiste, originaire de Pompéi : « Malheureusement, aujourd’hui, papa nous a quittés, frappé par un grave malaise qui l’a emporté en quelques semaines. Il a beaucoup résisté, comme il l’a toujours fait ». Il avait lui-même avait parlé des nombreuses maladies graves qui l’avaient frappé, notamment un cancer de la gorge qui l’avait contraint à subir six interventions chirurgicales, puis un infarctus avec arrêt cardiaque et enfin un autre cancer des poumons.
Giuseppe a débuté sa carrière dans les années 70, rapidement se faisant un nom grâce à sa voix unique et ses compositions émouvantes. Son style musical, mélangeant des influences variées, a touché un large public et lui a valu de nombreux prix et reconnaissances.
Parmi ses œuvres, la chanson qui reste la plus emblématique est sans doute Ma quale idéa. esté en tête du hit-parade espagnol pendant 14 semaines l’année suivante. Ce morceau a été repris par de nombreux artistes, utilisé dans des films, des publicités et demeure encore aujourd’hui un classique intemporel.
Les fans et collègues du monde entier pleurent la perte de cet artiste exceptionnel. Sa musique continuera de vivre et d’inspirer les futures générations. Ses contributions à l’industrie musicale resteront gravées dans les mémoires et son héritage perdurera longtemps après lui.
Pas trop lontan là mi té repasse les morceaux bande chanteur italiens et li forcément ça té passe en boucle su les ondes dan année 80 ! Toussa y rajeunit pas mais cossa nous garde comme souvenir ! sacré Pino d’Angiô ! Té comprends pas la langue et le titre imprononçable pou nous mais la chance que nous n’avait d’écouter la musique (toute sorte) su ein ti ile perdue dan l’océan indien….