Ce weekend a eu lieu la fête Karly aux quatre coins du département. Sauf que certaines pratiques ont la dent dure. Après les sacrifices, des morceaux de cabris non utilisés sont abandonnés, parfois dans des sacs, parfois en « tas » dans la nature.
Cette St Pauloise était à Cambaie quand elle a été interpellée par l’odeur putride de ces restes d’animaux. Elle craint aujourd’hui le risque de prolifération des rats.
PODCAST :
Bonjour
J’ai également découvert des cadavres de cabris au Port les deux années précédentes sur le Front de mer proche de la SRPP. Inutile de préciser l’odeur nauséebond …
la pa pou rien i di que certains lé plus que makote des fois!
C’est pour les esprits hindoues qui ont faim . C’est tout
C’EST POUR CELA QU’IL FAUT INTERDIRE CES PRATIQUES DONC ARRETER TOUT CE MASSACRE.