Au Port, un homme de 80 ans vit dans des conditions déplorables qui suscitent l’indignation et la peine des quelques voisins alertés par sa situation. L’octogénaire, qui a récemment subi un AVC, est retourné à son domicile après un séjour hospitalier, pour découvrir un vide accablant : son épouse, seule personne avec laquelle il partageait son quotidien, est décédée pendant son absence.

Depuis, paralysé par les séquelles de son AVC, il est livré à lui-même. Incapable de subvenir à ses besoins, il vit dans une maison où règnent insalubrité et saleté, des conditions qui mettent davantage en péril son état de santé fragile. Sans soins, sans personne pour lui préparer des repas ou l’aider à maintenir une hygiène minimale, il se retrouve dans un isolement d’une cruauté désarmante.

Sa détresse est d’autant plus douloureuse qu’il n’est pas sans famille. Bien qu’il ait des enfants, ces derniers semblent l’ignorer, détournant le regard de la précarité dans laquelle se trouve leur père.

Le cri d’alarme provient d’une voisine qui, témoin de cette situation inhumaine, lance un appel désespéré pour qu’une aide soit apportée à cet homme vulnérable. Elle appelle les services sociaux et les autorités à intervenir pour sortir cet homme de sa détresse et lui offrir les soins et le soutien dont il a désespérément besoin.