Selon la Dépêche du midi, le soir du lundi 4 juillet : «une femme du voisinage [a remarqué] les intrigantes allées et venues d’un individu à moto aux abords du domicile de son voisin, situé à Pouyastruc. Tandis que le motard quitte les lieux, elle aperçoit une jeune femme gisant au sol à l’extérieur de la maison. La voisine prévient la gendarmerie. Les secours sont immédiatement déclenchés.»
La femme en question est enseignante de français, âgée de 32 ans, qui a succombé à ses blessures avant d’avoir pu être transférée à l’hôpital. Arrivés sur place, les secours ont découvert un homme de 55 ans, décédé dans sa maison, quelques mètres plus loin.
Lui est professeur d’éducation physique et sportive, dans le même établissement, le collège de Tarbes.
L’auteur présumé «est en fuite, il n’a pas pu être interpellé pour l’instant», a précisé à l’AFP le procureur de Tarbes, Pierre Aurignac. Le plan Epervier a été déclenché sur place et un hélicoptère survole la zone, où des contrôles et barrages routiers ont été mis en place, jusqu’à Tarbes, à une dizaine de kilomètres de Pouyastruc.
Mobile inconnu
À ce stade, le procureur a refusé de donner des détails sur les possibles motivations de ces crimes et on ignore quel était le lien entre les deux professeurs. L’enquête, pour double homicide, a été confiée à la brigade de recherche de Tarbes et à la section de recherche de Toulouse, a souligné Pierre Aurignac. Les autopsies des victimes seront pratiquées dans les prochains jours à l’Institut médico-légal de Toulouse.
Cependant, il semblerait qu’il s’agisse d’un règlement de compte et que les deux victimes étaient amants.
Un appel à témoins diffusé pour retrouver le suspect
Le suspect principal est Cédric Tauleygne, il est le compagnon de l’une des deux victimes.
Ce vendredi 8 juillet, un appel à témoins a été diffusé par la gendarmerie sur demande du juge d’instruction, afin de le retrouver.
Né le 18 août 1987, de type européen, il mesure 1m75 et est considéré comme athlétique. Il a les cheveux rasés, porte des lunettes et était vêtu d’un jean de couleur bleue et d’un blouson en cuir de couleur foncée au moment des faits. Une chasse à l’homme avait rapidement été lancée, après les déclarations de plusieurs témoins évoquant sa présence près du lieu du crime. Mardi 6 juillet, sa moto avait été retrouvée dans le nord est de l’Espagne.
« Rien ne permet en l’état de privilégier l’hypothèse que l’individu soit encore en vie ou décédé », a annoncé dans un communiqué le 8 juillet, la procureure de Pau. Elle annonce ainsi « l’ouverture d’une information judiciaire du chef de meurtres avec préméditation, autrement appelés assassinats ».
Jusqu’ici, les investigations portaient sur un double meurtre. « Les opérations de recherches sont diligentées activement sur le territoire national et le territoire espagnol notamment, dans le cadre des mesures d’entraide pénale internationale », a-t-elle ajouté.
Certainement le mari de la victime qui s’est vengé d’elle et de son amant.
Ben dit donc ou la pas cherche loin ça réunionnais même i accusé toujours sans preuve
A mokn ca ce que dit mòvèlang c est la verite
Voilà ce qui arrive quand on se trompe d’adresse
Chacun est libre de changer d’adresse. Sauf qu’ un des deux n’a pas supporter de trouver porte close.
Il avait dit par téléphone qu’il allait se suicider. Bon. C’est sa version. Car s’il avait voulu se tuer il aurait garder une troisième balle pour lui. Sur place. La superficie de l’Espagne y a de quoi s’y perdre. Une perruque et une fausse barbe et quelques kilos en plus et t’as plus rien à voir avec sa photo. La maman avait deux enfants en bas âge. Des victimes qui n’ont rien demandé dans ces histoires d’adultes. Encore une fois.