Education à la sexualité : des associations dénoncent de « graves dérives » dans une école

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« Mamans Louves » et « SOS Education » sont deux associations nationales. Elles dénoncent de « graves dérives » survenues dans une école de Saint-Etienne en métropole. Elles viennent d’adresser un courrier au ministre de l’Education nationale Pap Ndiaye.

« Trois séances d’éducation à la sexualité obligatoires dès le primaire, c’est LA priorité revendiquée par le ministre de l’Éducation Nationale Pap Ndiaye (rappel fait par sa circulaire du 30/09/2022)
Nous recevons un nombre croissant de signalements de graves dérives commises par des professionnels de l’Éducation Nationale. Cette situation est préoccupante. Est-ce un fait nouveau ? Non !
Ces faits sont dénoncés depuis 2018 par des professionnels de la protection de l’enfance qui ont alerté l’ancien Ministre de l’Éducation Nationale Jean Michel Blanquer ainsi que l’ancien Ministre de la Santé Olivier Veran.
Cela a-t-il conduit à une vigilance plus accrue de ces interventions ? Là encore la réponse est non !

« Pour le plaisir, la fille peut sucer le pénis du garçon »

L’éducation à la sexualité s’est vue renforcée par la mise en place d’un observatoire chargé de veiller à la réalisation de ces séances obligatoires.
Tant de moyens déployés à l’exception de ceux qui permettraient de garantir la protection de l’intérêt supérieur des enfants !
Lors de ces séances, les enfants sont régulièrement victimes d’effraction à leur développement affectif et cognitif.
Dernièrement, ce triste constat s’est produit dans une école primaire à Saint Étienne où des enfants de 10 ans en classe de CM2, sont ressortis traumatisés par les propos d’une infirmière de l’éducation nationale intervenue en binôme avec une enseignante lors d’une séance d’éducation à la sexualité.
Cette dernière étant venue leur livrer les « enseignements » suivant :
• « pour le plaisir la fille peut sucer le pénis du garçon »
• « le garçon peut sucer le sexe de la fille et avaler quelque chose »
• « pour le plaisir la fille peut caresser les testicules d’un garçon »,
• « on peut faire le sexe par les fesses » ou encore
• « on peut prendre des médicaments qui arrêtent les poils »

Est-ce une dérive isolée ? La réponse est encore NON. D’autres familles attendent que nous prenions en charge leurs dossiers.
Parce que faire savoir ces situations à l’ensemble des parents français est d’intérêt public, nous comptons sur votre mission d’information pour relayer cette première lettre. Ce qui se produit à l’intérieur des murs d’écoles de la république doit être su, afin que chacun puisse veiller au respect de l’intérêt supérieur de ses enfants et se prémunir de possibles effractions de professionnels envers leur développement psycho-affectif.

Les  associations MAMANS LOUVES et SOS EDUCATION ont été mandatées à agir dans l’intérêt des enfants.

Yves Mont-Rouge

[email protected]
Téléphone : 0692 85 39 64

10 Commentaires

  1. Je me demandais où est-ce que Frredom avait dégoté ce sujet. Des le 1er paragraphe, il n’y avait aucune nuance dans les propos, ça m’a semblé suspect. Après une rapide recherche, bingo ! ce communiqué est issu de la croisade de deux associations dont la 1er est de la mouvance complotiste anti vax et l’autre est dans une logique ultra-libéral anti éducation nationale. Et après de vaines recherches, j’ai rien trouvé dans la presse régionale Auvergne-Rhone-Alpes qui énonce ces faits. Par contre, l’ironie de l’histoire, c’est que de l’autre côté, des associations comme SOS Homophobie, Planning familial et Sidaction attaquent l’EN pour le non respect de la circulaire du 30/09/22 car ces cours d’éducation sexuelle obligatoire (3 hrs dans l’année et c’est à partir du collège) ne se font pas, faute de moyens. Faudrait arrêter d’être le réceptacle de tout et de n’importe qui, Freedom !!!?

    • Vous ne pourrai rien trouver dans la presse quotidienne locale, j’ai eu la même démarche. Néanmoins, si je suis favorable à l’éducation sexuelle, axé principalement sur la biologie et l’égalité homme femme, je ne peux accepter les propos de l’éducation nationale . Je crois ressentir une sorte de aversion vis-à-vis de SOS enseignement. Je crains néanmoins votre réaction. Si votre fillette de 10 ans, vous disez qu’elle a pratiqué une fellation sur son copain de classe pour lui faire plaisir.

  2. Tôt ou tard l’enfant devenu adulte va connaître toussa. Depuis la nuit des temps la toujours été coma. Le moin dégourdi sera expert-e en la matière. Cossa na encore à être choqué ek la vie comela. Na bcp dont la famille lé renfermer su la sexualité y dérange à zot. Y fait parti de la vie. Fait magine comme un manuel sexuel pour les futurs mariés dan z’année 50 ! Lé mieux mettre en garde contre les risques de grossesse non désiré et quels sont les préventions ou vers qui se tourner afin d’éviter de jeter le foetus dan la nature !

    • Il y a un âge pour tout. Je ne pense pas qu’à 10 ans, les enfants scolarisés est soumis à l’éducation nationale, soit en âge d’être informé sur les pratiques sexuelles des adultes. Qu’on leur enseigne la biologie de la sexualité ou plus simplement comment on fait les enfants afin d’ éviter des grossesses non désirées est causée par l’ignorance. est une chose. Qu’une fille de 10 ans apprenne ce qui est une fellation ou une sodomie paraît presque criminel, parce que en tenant de tels propos à des enfants de cet âge, on est plus proche de la pornographie que de l’éducation sexuelle.

    • Il y a un âge pour tout. Je ne pense pas qu’à 10 ans, les enfants scolarisés est soumis à l’éducation nationale, soit en âge d’être informé sur les pratiques sexuelles des adultes. Qu’on leur enseigne la biologie de la sexualité ou plus simplement comment on fait les enfants afin d’ éviter des grossesses non désirées est causée par l’ignorance. est une chose. Qu’une fille de 10 ans apprenne ce qui est une fellation ou une sodomie paraît presque criminel, parce que en tenant de tels propos à des enfants de cet âge, on est plus proche de la pornographie que de l’éducation sexuelle.

  3. Vrai ou faux à t on idée d enseigner de la sexualité en primaire ?? Ah oui c est la nouvelle norme car faut suivre le mouvement de cette société libertine ou sinon on est accusé devtous les maux et être enfermé oui mounoir !! Vive cette société de décadence

  4. Vrai ou faux à t on idée d enseigner de la sexualité en primaire ?? Ah oui c est la nouvelle norme car faut suivre le mouvement de cette société libertine ou sinon on est accusé devtous les maux et être enfermé oui mounoir !! Vive cette société de décadence

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