Le président élu des États-Unis, Donald Trump, a confié à Elon Musk et Vivek Ramaswamy la responsabilité d’un nouveau département destiné à améliorer l’efficacité de l’administration. Ce département, axé sur la réforme de l’État, aura pour mission de transformer en profondeur les rouages du gouvernement. Dans son annonce, Trump a précisé que ces deux personnalités influentes du secteur privé uniront leurs forces pour « simplifier la bureaucratie, alléger les réglementations superflues, limiter les dépenses inutiles et réorganiser les agences fédérales ».
L’intégration d’Elon Musk dans le gouvernement américain suscite des interrogations. D’un côté, son approche entrepreneuriale pourrait moderniser et dynamiser l’administration en réduisant les inefficacités. Cependant, sa présence soulève aussi des questions éthiques, notamment sur le risque de favoriser les intérêts privés. La clé sera d’assurer transparence et responsabilité pour instaurer la confiance et éviter les conflits d’intérêts.
Donald Trump a souligné que Elon Musk et Vivek Ramaswamy apporteront une « vision extérieure » en partenariat avec la Maison Blanche et le Bureau de la gestion et du budget pour un changement structurel audacieux. « Leur mission consiste à insuffler une mentalité d’entrepreneur dans la gestion gouvernementale, une approche que le pays n’a jamais expérimentée », a-t-il déclaré.
Elon Musk, PDG de Tesla, SpaceX, Starlink et du réseau social X, a été un soutien de premier plan pour Trump au cours de la campagne présidentielle, tant par son appui public que par sa contribution financière à la campagne pour l’élection du 47ᵉ président des États-Unis.
De son côté, Vivek Ramaswamy, figure montante en politique et expert en restructuration d’entreprises, apporte sa vision d’une gouvernance allégée et optimisée.
Cette double nomination est perçue comme un tournant dans la gestion publique, plaçant l’efficacité et la réduction de l’intervention fédérale au centre de l’administration. La collaboration entre Musk et Ramaswamy dans ce département vise à mettre en place un modèle de gouvernance inspiré des méthodes du secteur privé.
c mal barré
en france on va faire pareil
on va mettre que des entrepreuneurs à la tete des ministeres
le bitcoin va couler a flot