Trois jours après le second tour des élections législatives, l’intervention du Président de la République était très attendue d’autant que, au vu des résultats du scrutin, aucun parti n’avait obtenu la majorité absolue à l’Assemblée nationale. « Ensemble » le parti présidentiel a obtenu 245 sièges, contre 131 à la Nupes, 89 au Rassemblement National, 64 pour Les Républicains et 48 sièges pour les autres petits partis tous confondus. Qu’allait donc bien pouvoir annoncer Emmanuel Macron ? Une dissolution de l’Assemblée nationale ? Un gouvernement d’Union nationale comme cela se fait déjà, et depuis longtemps, mais non sans mal, dans d’autres pays européens (Allemagne, Italie…) ? Une coalition de majorité avec d’autres partis ? Un fonctionnement « à la carte » en fonction des lois à voter ?
Après avoir consulté tous les responsables des partis de l’opposition ces derniers jours à l’Elysée, le président de la République a souhaité finalement poursuivre ce qu’il appelle «le dépassement politique» comme c’est le cas depuis 2017. En clair, il demande aux partis, de « faire preuve de clarté et de responsabilité » rejettant ainsi toutes les autres possibilités parmi lesquelles la mise en place d’un gouvernement d’union nationale non désiré par l’opposition, ni par lui, car « ce n’est pas justifié », a-t-il dit. « L’hypothèse d’un gouvernement d’union nationale «pas justifiée à ce jour ; la plupart ont exclu l’hypothèse d’un gouvernement d’union nationale, laquelle n’est à mes yeux pas justifiée à ce jour». Il souligne la nécessité de «trouver une majorité plus large et plus claire pour agir», et rappelle avoir toujours été «convaincu de la nécessité du dépassement politique, depuis le premier jour». Avec la nouvelle Assemblée nationale, Emmanuel Macron «souhaite donc que ce dépassement politique se poursuive, avec clarté et responsabilité». En fait, il se veut respecter le verdict des urnes et demande aux partis de l’opposition de travailler tous ensemble pour la France.
. «Il revient maintenant aux groupes politiques de dire jusqu’où ils sont prêts à aller, en toute transparence», a-t-il demandé, proposant de «bâtir des compromis». «À la lumière des premiers choix, nous commencerons à bâtir cette méthode», a-t-il promis, appelant à «sortir des querelles». Le chef de l’État a voulu rappeler qu’«aucune force politique ne peut aujourd’hui faire les lois seule». «Je n’aurai qu’une boussole : que nous avancions au service de l’intérêt général», a-t-il déclaré.
Concernant l’abstention, le Président de la République s’en est inquiété. «Elle nous oblige tous à redonner davantage de sens à nos actions collectives et de lisibilité au grand rendez-vous démocratique.» Le président de la République a insisté : «Voter est essentiel pour la vie de la nation, pour ses grands choix et très clairement ce n’est pas ressenti par tous.» Avant de relever les «fractures» et les «divisions profondes» qui traversent le pays et «se reflètent dans la composition de la nouvelle Assemblée».
Au cours de son intervention, Emmanuel Macron annonce des «mesures d’urgence» pour le pouvoir d’achat ainsi que des mesures d’urgence pour la transition écologique et la santé.
Il a déclaré : «dès cet été, il nous faudra prendre des mesures d’urgence pour répondre aux besoins du pays et de votre quotidien; Une loi pour le pouvoir d’achat et pour que le travail paie mieux. Des premières décisions pour aller vers le plein-emploi.»Tous ces «progrès ne sauraient être financés ni par plus d’impôts ni par plus de dettes budgétaires et écologiques».Il annonce la nécessité de «réformes ambitieuses» afin de«créer plus de richesse et plus de travail».
Par ailleurs, le chef de l’Etat a annoncé «des choix forts» à venir sur «l’énergie et le climat». De même, concernant la crise sanitaire toujours présente, il a indiqué que des «mesures d’urgence» seraient prises «pour notre santé».
Leur transition écologique n’est qu’un camouflage pour trouver des solutions contre le manque de gaz et pétrole russe et donc en aucun cas le maintien de la biodiversité actuelle
Mesures d urgences pour le pouvoir d achat à commencer à donner aux français les moyens et moyens financiers y en a vu qu on distribue à la louche pour l Ukraine, arrêtez de nous dire que y en a pas, c est pas possible et.
Balle dans le camp des oppositions , en sorte à zot nous la besoin larzan
J’espère qu’ils pourront annuler la réforme rsa on veut pas travailler gratuitement on est pas des esclaves autant nous donner un vrai salaires nous voulons pas être exploiter nous voulons un salaires comme les autres sinon faut s’attendre à des débordement.
@Charlotte Quelle travail ou aime [jambe en l’air ça plaît]
Tu travaille gratuitement toi? T’aime te faire exploiter? Être maman c’est aussi un travail. Je suis femme de ménage cuisinière enseignante infirmière et j’en passe en même temps. Donc mon rsa est mérité et je mérite même plus parce que je suis une maman toutes les maman le mériterait
Ce que n’avait pas prévu Macron est que les ukrainiens d’une part n’ont pas été formés pour utiliser ce matériel (une semaine, durée du stage offert par la France, ne suffit pas), mais aussi et surtout que les forces Russes balayant tout sur leur avancée, récupèrent énormement de matériel abandonné par les ukrainiens dans leur fuite.
C »est ainsi que la Russie a récupéré, entre autres, 2 des 6 canons Caesar livrés par la France! En parfait état de marche, les ukrainiens étant parti tellement vite qu’ils n’ont pas eu le temps de les détruire ni piéger!
Les 2 pièces ont été expédiées en Russie à Uralvagonzavod, complexe de fabrication de matériel militaire russe. Ils seront disséqués, étudiés, copiés et améliorés et la Russie produira sans doute une version améliorée du Caesar. Peut-être cette nouvelle arme sera t’elle nommée « Macron »?
le petit garçon a peur de se f
le petit garçon a peur de se faire linché en public devant mamie Brigitte
Clarté et responsabilité vous pensez réellement que nos élus ont cette compétence ? Enfin l’avenir nous le dira .,….