Emmanuel Macron promet « une loi spéciale » à la mi-décembre et un nouveau Premier ministre « dans les prochains jours »

1 min de lecture
14

Lors de son intervention télévisée du 5 décembre 2024, Emmanuel Macron a abordé les conséquences du renversement du gouvernement Barnier. Le Président de la République qui, ce jeudi 5 décembre, s’est adressé aux Français via une intervention télévisée, a promis la nomination d’un nouveau Premier ministre, suite au renversement du gouvernement de Michel Barnier après le vote d’une motion de censure survenue le 4 décembre à l’Assemblée nationale. Motion de censure présentée par le Nouveau Front Populaire (NFP) et votée par le Rassemblement National de Marine Le Pen . Emmanuel Macron a d’ailleurs dénoncé l’existence d’un « front anti-républicain» formé par les alliances entre le Rassemblement National (RN) et le Nouveau Front Populaire (NFP). « Des députés qui ont choisi le désordre », a-t-il insisté. Il a estimé que cette convergence politique mettait en danger les valeurs démocratiques et républicaines, tout en rappelant les divergences fondamentales entre leur vision et la sienne. Cette déclaration visait à alerter sur les risques de radicalisation politique et à mobiliser les forces modérées. Emmanuel Macron a par ailleurs annoncé qu’il formera « un gouvernement d’intérêt général pour apaiser les tensions et rassembler les forces politiques ». Ce gouvernement vise à rassembler des personnalités au-delà des clivages partisans afin de garantir la stabilité et de poursuivre les réformes nécessaires. Macron a appelé à un sursaut collectif, affirmant que la situation exige des compromis entre les forces politiques pour surmonter les blocages institutionnels et restaurer la confiance des Français dans les institutions démocratiques. Il a également déclaré qu’une loi exceptionnelle sera présentée mi-décembre afin de répondre à la crise et maintenir les réformes prioritaires. Une qui loi vise à relancer les réformes prioritaires et à débloquer les mesures indispensables pour stabiliser le pays après la chute du gouvernement Barnier. Il n’a pas donné de détails précis sur son contenu, mais elle pourrait inclure des dispositions exceptionnelles pour contourner les blocages institutionnels et répondre aux attentes des citoyens. Cette annonce reflète sa volonté de maintenir une dynamique malgré la crise politique que traverse le pays. Concernant sa démission réclamée surtout par Jean-Luc Mélenchon et les députés LFI, Emmanuel Macron a réaffirmé sa détermination à poursuivre son mandat jusqu’à son terme, c’est-à-dire en 2025 car « j’ai été démocratiquement élu », a-t-il rappelé, tout en appelant « à la responsabilité collective pour sortir de l’impasse politique ».

 
.
 
 

Yves Mont-Rouge

[email protected]
Téléphone : 0692 85 39 64

14 Commentaires

  1. « La «Commission COVID» du Congrès américain a publié son rapport sur le traitement de la pandémie aux USA qui confirme officiellement ce que les médias avaient qualifié à l’époque de «théories du complot». Voici un résumé des points saillants de cette enquête:

    La pandémie de COVID-19 est probablement issue d’un incident lié à un laboratoire ou à une recherche car le virus possède des caractéristiques biologiques qu’on ne retrouve pas dans la nature. Les chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan ont contracté un virus de type COVID à l’automne 2019, des mois avant la découverte du COVID-19 dans la population. Ce n’était donc pas une théorie conspirationniste.
    Les Instituts nationaux de la santé des États-Unis ont financé des recherches sur le gain de fonction à l’Institut de virologie de Wuhan et ont tenté d’occulter la divulgation de ces travaux
    Le gouvernement chinois, des agences du gouvernement américain et certains membres de la communauté scientifique internationale ont cherché à dissimuler les faits concernant les origines de la pandémie.
    Les responsables de la santé publique et l’administration Biden se sont livrés à des campagnes de désinformation et de mésinformation pour réprimer la théorie de la fuite en laboratoire et promouvoir des récits spécifiques.
    L’administration Biden et de nombreux responsables de la santé publique ont exagéré l’efficacité des vaccins contre la COVID-19. Contrairement à ce qui avait été promis, le vaccin contre la COVID-19 n’a pas arrêté la propagation ou la transmission du virus.
    La FDA a précipité l’approbation du vaccin contre la COVID-19 afin de respecter le calendrier arbitraire imposé par l’administration Biden. Deux éminents scientifiques de la FDA ont mis en garde leurs collègues contre les dangers d’une précipitation dans le processus d’approbation du vaccin et la probabilité d’effets indésirables. Leurs propos ont été ignorés et, quelques jours plus tard, l’administration Biden a rendu obligatoire le vaccin.
    L’obligation de port du masque et les autres mesures restrictives de distanciation et de confinement de l’administration Biden ont outrepassé son autorité, ont été inefficaces, ont causé plus de mal que de bien et n’ont pas été étayés par des preuves scientifiques.
    La décision de fermer les écoles pendant la pandémie n’était pas étayée par la science et a eu de graves répercussions sur les résultats scolaires, la santé mentale et la santé physique des élèves, avec la complicité des fédérations d’enseignants.
    Le gouvernement a imposé des obligations de vaccination qui n’étaient pas étayées par la science, ont ignoré l’immunité naturelle, ont causé des dommages collatéraux importants et ont été très probablement contre-productives.
    L’immunité collective est un concept et un phénomène réels. Les responsables de la santé publique ont coordonné leurs efforts pour ignorer l’immunité naturelle et supprimer les opinions dissidentes.
    La Food and Drug Administration américaine et d’autres responsables de la santé publique ont dénigré l’ivermectine.
    Les actions des responsables de la santé publique et du gouvernement ont entraîné une baisse de la confiance du public dans les institutions et une augmentation de la désinformation et de la rhétorique antiscientifique. Les messages scientifiques doivent être clairs et concis, étayés par des preuves et provenir de messagers de confiance, tels que les médecins de première ligne qui traitent les patients.
    Les programmes d’aide du gouvernement face à la pandémie ont été marqués par une fraude généralisée, des gaspillages et des abus importants en raison d’une surveillance insuffisante et de systèmes de gestion financière obsolètes.
    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a pas rempli sa mission, a cédé à la pression du Parti communiste chinois et n’a pas tenu la Chine responsable de la violation des réglementations sanitaires internationales.
    La pandémie et la réponse du gouvernement ont eu de graves répercussions économiques sur les individus, les communautés et les entreprises, notamment des pertes d’emplois, des fermetures d’entreprises et des perturbations de la chaîne d’approvisionnement.
    Les politiques gouvernementales liées à la pandémie, notamment les mesures de confinement et les obligations de vaccination, ont eu de graves conséquences imprévues qui auront probablement des effets durables sur la société.
    Le vaccin contre la COVID-19, bien que largement sûr et efficace, a entraîné des effets indésirables qui doivent faire l’objet d’une enquête approfondie.
    Le système de déclaration des effets indésirables des vaccins est insuffisant et manque de transparence.
    Les politiques de santé pendant la pandémie ont souvent ignoré, érodé ou carrément violé le caractère sacré de la relation médecin-patient, notamment en diabolisant injustement l’utilisation de prescriptions hors indication.
    Les lanceurs d’alerte qui ont été injustement dénigrés, écartés des médias et persécutés par leurs employeurs vont pouvoir demander des comptes sur la base de ces conclusions dorénavant avérées. Cela ouvre aussi la porte à des actions judiciaires collectives des populations qui ont souffert physiquement et économiquement des mesures gouvernementales inadaptées et nocives. Mais surtout il devient évident que nous ne sommes qu’au début des révélations sur les collusions entre les laboratoires médicaux et les dirigeants politiques pour nous imposer des vaccins dont l’efficacité et l’innocuité sont définitivement remises en question… »

  2. De la cinquième République on a eu un schizophrène entant que président ! Jeune et beau a 40 ans accompagné d’une souche , ou l’hybride prend toute sa dimension , bise Couplée ! De gaule rie dans sa moustache ! Mitterrand cligne de l’oeil, Chirac a cette finesse d’être un vrai de son côté voyou , ou la femme était importante pour certaines de ses actions équilibrées ! A ce jour des maroilles , des peignes culs qui veulent profiter et les hybrides qui ne sait pas la différence ou mettre leur doigt d’un négatif et d’un positif d’ élection

  3. Une nouvelle loi? Il faut s’attendre au pire, avec Macron! Il va instaurer officiellement la dictature? Il est dangereux, comme Biden! A force de fréquenter des vieux, il finit par être atteint de sénilité! Il est irresponsable. Il appuyera sur le bouton nucléaire et dira que c’est la faute des autres! L’enfer, c’est le autres! Il veut une guerre mondiale, coûte que coûte et il ne reste que 50 jours avant que Trump ne soit nommé Président! S’il le pouvait, il éliminerait Trump! Macron doit s’en aller, il est un danger pour lui-même et pour autrui!

Laisser un commentaire

Your email address will not be published.

Article précédent

NFP et RN ont fait tomber le gouvernement Barnier, qui a remis sa démission jeudi ; Réactions (Vidéos)

Article suivant

Congrès du Pep’s : Jean-Marie Virapoullé « prêt pour 2026 » à Saint-André

Free Dom