En vacances à la Réunion, elle vit un cauchemar avec le gérant d’un snack : « J’ai eu peur qu’il ne me tue ! »

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En vacances sur l’île de la Réunion la semaine dernière, une jeune femme, nommé Caroline, aurait vécu un cauchemar dans un snack. Encore sous le choc, elle a accepté de témoigner.

Ce jour-là, elle décide de prendre son repas dans un snack au bord de l’eau histoire d’admirer le coucher du soleil. Mais au moment de payer l’addition, le propriétaire du snack met un peu de temps à lui donner la douloureuse et préfère passer quelques chansons, dont une de Doc Gynéco :  « Ma sal*pe à moi ».

Au rythme des paroles, il pose alors sa jambe sur le comptoir et mime un acte sexuel, ne quittant plus Caroline du regard. Dans le snack, un seul autre client assiste à la scène, un ami du patron…

Très alcoolisé, le gérant se jette ensuite sur la jeune femme et se met à la griffer. La suite à découvrir dans ce témoignage bouleversant :

 

@reinecoeur1♬ son original – REINE CŒUR ❤️

20 Commentaires

  1. C’est que c’est très utile pour les futures autres victimes, de n’avoir aucun éléments sur la ville, le snack, le nom du mec…enfin à part dire que grâce à metoo ceci ou à metoo cela, il faut que la démarche sois vraiment utile. Là ce n’est qu’une complainte et sa vidéo ne sert à rien ni à personne. Dommage

  2. il faut absolument donner le nom du snack comme ça nous mi ça va et mi fait à li son fête moin réunionnaise mi fait passe à li l’envie une bonne fois pour toute… j’espère que cette touriste a déposé une plainte contre ce malotru qui n’a d’humain que le nom. un comportement animal….

  3. Nous devrait pas cautionne ce genre d’acte tout simplement. Elle doit porter plainte et donne tous les renseignements su le snack nom etc quel image nous la pou véhiculé su nout ile ? Toutes les fanm lé libre de circuler comme bon leur semble su nout île et de porter tout sorte de vêtements que zot y veut. Na rien dan son comportement la laisse présager une quelconque invitation sexuelle. Trappe à moins illico presto ce boug là et colle ça la geôle. Na marre que dés qui voit un tantine qu’elle lé pu libre de tous ses mouvements. Faut calcul à zot quoi (bande boug) chaque fois que la gente féminine lé de sortie. Peu importe quel nation li lé. Fout la geôle. Point barre.

    • Déconne pas… les yeux verts ça passe aussi lol… Nan, un peu de serieux… y’a une plainte alors une comme ça, ça ne va pas passer entre les mailles de la justice surtout si il s’agit d’un snack en front de mer… Ne jugez pas plus vite que les juges svp Ce gérant n’est pas au dessus des lois et dans quelques semaines il sera fiché.
      Quant à ceux qui veulent faire justice derrière leur écran bah…. allez-y…..
      Et puis, à quoi bon donner son nom???

  4. Une plainte pr quoi ? Griffures ? Mauvais chanteur ?
    Lol le gars risque quoi 100 euro de dommage et un rappel a la loi et basta
    Sans rire des insuktes racistes fusent ts les jours ce n est pas une criffure qui va tt changer
    Le gars a son snack en front de mer donc roule en grosse BM

  5. Cossa y faut pas (entendre) lire plutôt. Bolo mi connait pas de quel bord ou lé. -zom ou fanm bourreau ou victime- Arrête incrimine la gente féminine su tout ce qu’elle y fait dit ou pense. Mi voudrais que la loi y ocup un coup de son cas si la pas déjà été fait. (Du boug) ça s’entend. Un boug dés qui voit un tantine -même si na yeux bleu ou pas- y crois parce zot na un zagate* na tout le droit. Fini toussa. Avec les lois que la sorti, guette bien si y fait pas passe ali par baro* et peu importe out position sociale. Certains en ont déjà fait les frais…. (zagate : appareil masculin et baro : tribunal)

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