La maire de Saint-Denis, Ericka Bareigts, s’est entretenue avec nous pour exprimer son soulagement et partager ses perspectives sur une décision importante : l’exemption des communes d’Outre-mer de l’effort de solidarité initialement prévu par le projet de loi de finances 2025. Lors d’une annonce faite ce mardi devant le Sénat, le ministre des Outre-mer a clarifié cette nouvelle mesure, offrant ainsi un répit bienvenu aux communes ultramarines, dont celles de La Réunion, qui étaient préoccupées par les répercussions de potentielles coupes budgétaires.
« Un soulagement pour nos communes »
Pour Ericka Bareigts, cette annonce est avant tout un soulagement. Elle rappelle que les communes d’Outre-mer sont confrontées à des défis structurels et spécifiques qui compliquent leur gestion financière : « Nous avons été entendus, et cela va permettre à nos collectivités de continuer à agir pour le bien de nos concitoyens sans risquer d’aggraver une situation déjà tendue. » La Maire souligne que l’application de ces coupes aurait pu avoir des effets particulièrement néfastes sur les investissements dans les services publics et les programmes d’aide sociale, essentiels pour une population souvent confrontée à des difficultés économiques.
Des inquiétudes justifiées
Les élus réunionnais, Ericka Bareigts en tête, avaient exprimé leurs inquiétudes face à l’annonce de ces coupes dans le cadre du projet de loi de finances 2025. Ces communes, déjà aux prises avec des contraintes budgétaires liées à l’éloignement géographique, aux coûts élevés des infrastructures et à la nécessaire résilience face aux aléas climatiques, redoutaient les effets d’une réduction des dotations de l’État. « Cette décision aurait pu menacer des projets cruciaux pour notre territoire, qu’il s’agisse de développement économique, d’éducation ou d’environnement, » explique-t-elle.
Un message de reconnaissance
Ericka Bareigts a profité de cette interview pour remercier les élus locaux, qui se sont unis pour défendre les spécificités des communes d’Outre-mer et les préserver de l’effort de solidarité. Ce travail collectif, selon elle, a permis de sensibiliser le gouvernement aux réalités locales et aux enjeux de ces territoires.
Des projets qui se poursuivent
En évitant ces coupes budgétaires, la Mairie de Saint-Denis et les autres collectivités de La Réunion pourront ainsi poursuivre les projets de développement engagés pour répondre aux besoins de la population. « Nous allons pouvoir continuer de moderniser nos infrastructures et répondre aux attentes de nos habitants. C’est une victoire pour les Dyonisiens et pour tous les Réunionnais. »
Cette décision du gouvernement, qui salue l’importance des spécificités ultramarines, redonne confiance aux élus de La Réunion et leur permet de maintenir le cap dans la conduite de leurs actions en faveur du territoire.
Nos élus dansent dans l’argent de nos impôts! Nous attendons avec impatience la suite des affaires de la SPL Estival pour Selly, la suite de l’affaire des letchis et des mangues pour Olivier Hoarau, nous voulons voir comment Saint Denis va sécuriser ses rues de jour comme de nuit et faire du chef lieu, un espace agréable! Gironcel, le multirécidiviste n’est pas exemplaire. Et ils voudraient donner des leçons au peuple!
Nou la point malol dan zieux! Lo peuple la Réunion, i voit zot abus! Indemnités, dessous de table, rétro-commissions et comme si i suffit pas, zot i fé disparaître l’argent dan budget par des factures injustifiés! Zot i fé avance zot famille et zot mèm, ek nout zimpôt!
I koné pu komen bouche nout yeux! Nou té koné parce que nou lire la presse nationale! Zot i veut fé passe à zot pou des sauveurs de la Réunion alors que zot i vende à nou à Macron! Zot poche lé rempli mais sek nou, lé vide! Allez danse maloya et laisse à nou bataille pou nout manzé!
Et en attendant ils ,ielles ,et eux mêmes augmentent leurs indemnités et salaires !!! Fepikazot !
Fais déjà un effort avec tes indemnités macrelle