Faites-vous partie des gens qui vont perdre leur pass vaccinal au 15 février ?

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A partir du 15 février 2022, les règles relatives au pass vaccinal évoluent pour les personnes âgées de plus de 18 ans et 1 mois.  Selon le ministère de la Santé, au 15 février 2022, la dose de rappel devra être réaliséedès 3 mois après la fin de son schéma vaccinal initial et dans un délai de 4 mois maximum, autrement dit, la personne aura 1 mois pour réaliser son rappel.

Cette mesure s’applique aux personnes de plus de 18 ans et 1 mois. En effet, les personnes de 16 et 17 ans n’ont pas l’obligation de faire leur rappel pour conserver leur pass vaccinal, même s’il est fortement recommandé. Concernant les 12-15 ans, ils ne sont pas soumis au pass vaccinal. Dans le cadre du pass sanitaire, ils n’ont pas l’obligation de réaliser leur rappel, même si le rappel leur est ouvert.

  • Si j’ai reçu 2 doses de vaccin, je dois faire mon rappel au plus tard 4 mois après ma deuxième injection.
  • Si j’ai eu le Covid-19 et que j’ai reçu ensuite une seule dose de vaccin (Astra Zeneca, Pfizer, Moderna), je dois faire mon rappel au plus tard 4 mois après mon injection.
  • Si j’ai eu le Covid-19 et que j’ai reçu ensuite une seule dose de vaccin (Astra Zeneca, Pfizer, Moderna), je dois faire mon rappel au plus tard 4 mois après mon injection.
  • Si j’ai reçu une dose de vaccin (AstraZeneca, Pfizer, Moderna ou Janssen) et que j’ai eu le Covid-19 plus de 15 jours après l’injection, je dois faire mon rappel au plus tard 4 mois après mon infection.
  • Si j’ai eu le Covid-19 et que j’ai reçu ensuite une dose de Janssen après mon infection, je dois faire mon rappel au plus tard 2 mois après mon injection.
  • Si je ne suis pas encore éligible à la dose de rappel, mon certificat de vaccination de schéma vaccinal initial (monodose ou deux doses) reste valide.

Pour savoir quand faire ma dose de rappel : https://monrappelvaccincovid.ameli.fr

Que se passe-t-il si je ne peux pas faire ma dose de rappel parce que j’ai attrapé le Covid-19 ?

Si vous avez contracté le Covid-19 après votre schéma vaccinal initial, vous n’avez pas besoin de faire de dose de rappel. Votre certificat de rétablissement vous permettra d’avoir un pass vaccinal valide.

Cependant, pour les personnes souhaitant sortir du territoire national, le rappel vaccinal doit être fait pour avoir un certificat de vaccination valide.

Comment obtenir son certificat de rétablissement ?

Vous pouvez récupérer votre certificat de rétablissement/résultat de test positif, soit sur la plateforme SI-DEP (sidep.gouv.fr) grâce au lien envoyé par e-mail et/ou par SMS, soit directement en version papier auprès d’un laboratoire de biologie médicale ou d’un professionnel de santé habilité à réaliser des tests.

Il est ensuite possible, soit de conserver la version papier, soit d’intégrer le certificat de rétablissement dans le « Carnet » de l’application TousAntiCovid en scannant le QR code ou en l’important directement depuis la plateforme SI-DEP via le lien dédié.

Pour savoir quand faire sa dose de rappel, rendez-vous sur : https://monrappelvaccincovid.ameli.fr/

8 Commentaires

  1. Nous verrons bien qui dit quoi ou qui fera quoi au bon moment. Pour l’instant nous n’en sommes pas là. Et aussi qu’en nous promettant moins d’conneries ça fera coup double. A eux des vacances et à nous de nous déplacer.

  2. « Le rapport de l’expert montre que :

    « les résultats fournis dans les différents rapports de Pfizer, examinés dans l’urgence par les différentes autorités sanitaires ne peuvent pas être considérés comme intègres et fiables du point de vue des bonnes pratiques cliniques, biaisant ainsi l’évaluation du rapport bénéfice/risque supposé favorable du vaccin Comirnaty.

    De nombreux risques identifiés et des informations manquantes entraine que la poursuite de l’utilisation du vaccin Comirnaty en vie réelle présente un risque important pour la vie des personnes .

    Il est nécessaire de suspendre en urgence tout vaccination Comirnaty, non seulement pour les populations pour lesquelles nous sommes dénués d’informations à ce jour, mais aussi pour l’ensemble des populations.

    Les personnes citées plus haut ont procédé par affirmations péremptoires sur des éléments qui n’ont jamais été prouvés à partir des documents soumis par le laboratoire Pfizer aux autorités, à aucun moment – ni avant leurs affirmations, ni après. Il existe un adage juridique qui dit que « la fraude corrompt tout ». De ce fait, ces personnes ont trompé la population française et l’ont ainsi mise en danger.

    Le principe de précaution aurait voulu que les autorités de santé posent des questions, notamment sur la méthodologie de détermination du critère d’évaluation principal dans les essais cliniques sur lequel est basé les calculs de l’efficacité vaccinale annoncée, comme il en est l’usage en général avant toute mise sur le marché de médicament.

    Dans le cas présent, avec une maladie considérée comme contagieuse et mortelle dans le monde entier et ayant engendré des mesures d’accélération d’essais cliniques sans précédent, il eut été conforme aux bonnes pratiques de vérifier doublement les résultats avant d’engager une campagne de vaccination de masse.

    De plus, il y a donc une totale incohérence entre les messages délivrés par les ministres, les représentants des agences sanitaires et les médecins dépêchés sur les plateaux de télévision (sans déclaration préalable de liens d’intérêts), et les résultats des études présents dans les rapports, et pourtant disponibles en accès libres. Un scandale sanitaire sans précédent se profile. »

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