Suite à l’évènement tragique intervenu ce week-end à Saint-Joseph, Jacques Billant, Préfet de La Réunion réaffirme son soutien aux victimes de violences conjugales.
Ce drame fait écho aux dangers permanents auxquels sont confrontées toutes celles et ceux qui, au quotidien, dans l’intimité de leur vie conjugale, luttent en silence face aux atteintes à leurs droits et libertés.
Étude nationale sur les morts violentes au sein du couple
La Délégation aux victimes (DAV), structure commune à la police et à la gendarmerie nationale et relevant du ministère de l’Intérieur, comptabilise chaque année, depuis 2006, le nombre de morts violentes au sein du couple.
La Réunion fait partie des régions les plus concernées par les morts violentes au sein du couple, occupant la 3ᵉ place en 2016 et 2017, la 4ᵉ place en 2018 et la 18ᵉ place en 2019, même si en 2020, aucun féminicide n’a été comptabilisé dans le département.
Ouverture d’espaces d’accueil au plus près des victimes
L’égalité entre les femmes et les hommes, grande cause du quinquennat, et les travaux du Grenelle de lutte contre les violences conjugales mobilisent les services de l’État et ses partenaires dans une stratégie forte et ambitieuse.
À La Réunion, la politique de prévention et de lutte contre les violences est mise en œuvre dans le cadre de dispositifs de mise à l’abri d’urgence, d’accompagnement social, d’écoute et d’orientation.
Cette stratégie vise notamment à déployer des dispositifs de prise en charge au plus près des victimes et des familles, dans des espaces d’accueil, d’écoute et d’orientation.
Ainsi, le 2 novembre 2020, un espace d’accueil et d’écoute a été créé au sein du centre commercial de Beaulieu à Saint-Benoît.
Un deuxième espace sera inauguré au centre commercial « E. Leclerc Les Terrasses » à Saint-Joseph, le 25 novembre, à l’occasion de la journée dédiée à la lutte contre les violences faites aux femmes.
Cette journée permettra également de faire le point sur l’ensemble des dispositifs déployés par l’État à La Réunion en lien avec les collectivités, associations et partenaires du territoire.
La cellule psychologique et patati et patata, stop ! Une femme ne porte pas plainte par plaisir. Dès qu une femme appelle la police ou dépose une plainte, il faut blaguer le bougre avec un bracelet électronique qui le maintient à distance, comme un radar de recul et s il décide de l enlever, les forces de l ordre le coffre. Beaucoup de femmes seraient encore vivantes si la Loi l avait voulu. La machine judiciaire est machiste. Le parcours est encore long mesdames. A toutes ces dames en responsabilité, bougez vous plus !
Le soutien, c’est avant que la personne soit trucidée !!!
Là je n’en vois sincèrement pas l’intérêt, et pourquoi pas encore la sempiternelle et inutile marche blance ?
Commencez par muter l’équipe de bras cassés qui ont pris les plaintes, sans agir, et jeté cette pauvre femme en pâture à son infâme bourreau.
Et pour les mutations, je pense que les TAF est le minimum prérequis, ce jusqu’à leur retraite façon « Macron » à 67 ans !
Band moukates !