C’est ce que précise Frédéric Miranville dans un communiqué de presse suite à l’annulation, hier mercredi 14 avril 2021, par le Tribunal Administratif de son élection à la présidence de l’Université, le 17 décembre dernier. Voici son communiqué :
« L’établissement prend acte de cette décision, contraire à l’avis du rapporteur public et regrette que le processus électoral soit encore prolongé alors qu’il a été initié depuis 14 mois.
Cette stratégie d’acharnement de nos opposants qui refusent d’accepter la voix des urnes qui s’est exprimée à plusieurs reprises en notre faveur, alors que nous faisons face à une violente crise sanitaire, n’est pas responsable.
Toutes les forces en présence restant les mêmes au niveau des différents collèges élus du Conseil d’administration, la procédure de vote des extérieurs et du Président sera reprise sereinement. Je fais pleinement confiance aux administrateurs pour continuer à nous accompagner à œuvrer pour l’université et être au plus proche des étudiants. »
A noter que le recours contre cette élection avait été présenté par Brigitte Grondin-Pérez, la candidate vaincue. Selon nos confrères de Zinfos 974, qui a publié l’information hier après-midi, Brigitte Grondin Perez avait fait valoir à l’audience que la désignation au sein du conseil d’administration de Nathalie Noël (également conseillère régionale et maître de conférences), en tant que personnalité extérieure désignée, était irrégulière au regard du code de l’éducation car son employeur est l’Université de La Réunion.
donc la maire de st louis qui auparavant etait au cabinet et qui a vu son contrat changer en ordre de mission devrait rembourser les sommes indument percues?