Horreur à Mayotte : un jeune égorgé, puis éventré

1 min de lecture
30

Un jeune de Combani aurait été pris à partie dans le village de Combani à Mayotte cette semaine. Il aurait été passé à tabac, égorgé, puis éventré.

C’est un jeune connu de la justice et ancien détenu du centre pénitentiaire de Majicavo.

Selon les éléments dont nous disposons, car une enquête a été ouverte, la victime a été enlevée par des jeunes de Mirereni(Combani) qui lui ont fait subir des violences  inimaginables, ensuite traîné par terre et déposé entre la frontière des villages de Mirereni et de Combani.

Selon les rares témoins de la scène , la victime aurait provoqué ses bourreaux la première « en lançant des cailloux à des adultes qui ne lui avaient rien fait et ça a été mal interprété. Pour autant,  ce n’est pas une raison pour le trancher comme un bout de viande » explique une femme, encore choquée que personne ne lui soit venu en aide au moment du « massacre ».
Ce ne serait pas la première fois que ce jeune se ferait tabasser, au vu de son passé de délinquant, il s’y promenait même depuis sa sortie de détention avec son « chombo ». Affaire à suivre, en tous cas, elle a déjà fait le tour des réseaux sociaux.

30 Commentaires

  1. « Mon Dieu, apprends-moi chaque jour qui passe à fermer ma gueule surtout quand je ne sais pas de quoi je parle ».
    L’affaire « Johnny Catherine », vendue par les Médias : un drame familial doublé d’une problématique de quartier, St-François.Ce que les Pouvoirs Publics qualifient ici d’une affaires « strictement d’animaux réunionnais ».
    La réalité judiciaire est toute autre.Ce champion de boxe française, véritable arme vivante exerçait la terreur et dans son quartier et sur tous les membres de sa famille.Les plaintes s’accumulaient depuis des années sans aucune réaction des Forces de l’Ordre (zone Gendarmerie).La consigne donnée était très claire : le « Coq de St-François » est intouchable. Il était le nervi en Chef d’un homme politique de premier plan à l’époque. Le jour du drame, il avait menacé de mort la maman de son fils, celui qui mit fin à ses jours. Johnny n’était pas un plaisantin et se savait intouchable par la Justice.Quant à la jambe tranchée, trophée ou exutoire de cette jambe puissante et destructrice qui avait fait sa gloire de sportif et le malheur de ses victimes, chacun pourra l’interpréter à sa guise.

  2. Boina la peur dans out ki la fait court a ou ici en plus ou respect pas le pays la sauve a ou .et chaque y soutient à zot bande de mal élever fout zot nez dans mon ki

  3. Je suis choqué des propos que certains ont, clairement raciste pour certains , pour d’autres clairement colonialiste d’un autre temps !!!!!
    Le malheur et la folie frappent partout il ne s’agit pas la d’une origine ou d’un peuple seulement de fous !!!! qui aurait pu être blanc, jaune, marron, noire, rouge , le résultat est malheureusement là !!!! l’acte de personne déséquilibré d’un côté et d’une famille endeuillée de l’autre , voyons ce que des blanc ont fais en Afrique des horreurs sans nom , des chinois chez eux contre des ouïghours des horreur sans nom , des indiens envers les petites castes des horreurs sans noms , israel envers les palestiniens des horreurs sans nom !!!!j’en passe dans le monde entier alors plutôt que de tirer sur une ambulances aidez plutôt à regrouper les gens autour du savoir vivre et du respect de la vie humaine comme cette belle ile de la REUNION privilégiez la tolérance et non le dénigrement PEACE

  4. Et ben ! On voit que ces liquideurs savent liquider des intrus comme il le faut … des exemples qui choquent mais parfois nécessaire pour protéger les biens de la communauté ! Quand on voit le laxisme de la « justice rendue » , parfois la frontière de rendre justice soi-même est franchie !

  5. Ouais vous tirez sur les Mahorais , mais vous avez la mémoire courte : l’affaire Johnny Catherine le 26 décembre 2004, à l’âge de 34 ans, roué de coups par une dizaine de jeunes dans une embuscade. Mutilé, sa jambe droite sectionnée et brandie comme un trophée par les jeunes agresseurs , ensuite son fils Six ans après l’assassinat de son père, Laurent un des fils de Johnny Catherine a été tué , toujours dans le quartier de Saint-François.
    Il n’y a pas de quoi pour vous de vous moquer des autres , car ce qui se passe à la réunion par des réunionnais n’est guère reluisant pas de quoi être fier , soyez un peut plus modeste dans vos propos .

  6. Et il paraît que ces jeunes délinquants sont souvent envoyés dans des foyers à la Réunion et livrer à eux-mêmes à l’âge adultes, sans aucun suivi !!..imaginez la suite…

  7. Et dire que les comoriens et africains immigres la bas même boina et toute sa clique sont venus se cachésr ici pour notre malheur

    • Pas du tout cousin on vient ici pour une vie meilleure pour l’éducation et santé de nos enfants, on apporte une vraie richesse ici. étant donner que la réunionnaises vieillit et cherche a se,rajeunir on n’est la pour vous aidez vivre en harmonie C’EST LA C’EST BON

Laisser un commentaire

Your email address will not be published.

Article précédent

10 km de bouchons à cause d’un accident sur la Route du Littoral

Article suivant

La Queen of Bourbons, notre rose péï, reine de l’Océan Indien

Free Dom