Les faits sont sordides et remontent à 2016. Pendant trois longues années, ce membre de l’équipe éducative d’un IME dans l’est (institut médico éducatif) avait pris l’habitude de harceler une de ses collègues, prendre des photos sous sa jupe, au point que la pauvre jeune femme a du déposer plainte et ne venir travailler qu’en pantalon. Acte 1.
Acte 2 : l’homme, visiblement très perturbé sur le plan sexuel, s’amusait à être tout gentil avec ses collègues, à qui, régulièrement, il offrait des viennoiseries un peu spéciales le matin. Il les prenait en boulangerie, se masturbait dessus, les arrosait donc de son sperme et s’amusait à regarder ses collègues les… déguster !
L’homme purge actuellement une peine de prison pour des viols commis sur une personnes mineure et fragile. L’accusé passera 1 an de plus en prison, c’est donc sa condamnation. Il a aussi l’interdiction d’exercer une activité « sociale » pendant 5 ans.