Ce samedi 29 octobre 2022, à Ille-sur-Têt dans les Pyrénées-Orientales en début de soirée une femme a appelé les gendarmes se rendre au domicile de son frère, mais sur place les militaires ont découvert le corps de l’homme, âgé de 60 ans, sans vie, en partie brûlé, selon le journal l’Indépendant.
Le cadavre d’une femme âgée de 40 ans. a également été retrouvé. Il s’agirait de l’ex-concubine de l’homme.
“Pour l’heure, l’examen externe des corps ne permet pas d’établir les causes des décès”, explique le procureur de la République de Perpignan, Jean-David Cavaillé.
L’enfant du couple, âgé de 4 ans, qui était présent sur les lieux, a été confié aux services de l’aide à l’enfance.
Une enquête a été ouverte et confiée à la brigade de gendarmerie de Prades pour “meurtre sur conjoint suivi de suicide”. “C’est une hypothèse de travail”, précise le procureur.
Le couple s’était séparé avant l’été et le drame aurait pu survenir lors du passage de bras de leur enfant commun, ce samedi. Le scénario le plus vraisemblable serait que l’homme aurait tué son ex-conjointe avant de se donner la mort en s’immolant. Les investigations sont donc en cours pour retracer le déroulé de cette soirée et vérifier toutes ces pistes.
Il existe un gène, appellé MAOA, surnommé gène de la violence.
Une étude sur une certaine frange de notre population, pourrait peut être aider à mieux isoler, ou encadrer ces personnes, qui du jour au lendemain peuvent passer à l’acte ultime ?
Pourquoi toujours attendre l’irréparable, avant de prendre des mesures ?
Il y a un gène surnommé KFAS qu’on l’on nommerait gène de la féminité, je suis d’accord pour isoler et encadrer ces personnes atteintes. Il y va du devenir de la société