Investiture : Emmanuel Macron promet « une France plus forte »

1 min de lecture
13

Emmanuel Macron, est investi président de al République pour second mandat de cinq ans ce samedi 7 mai lors d’une cérémonie organisée à l’Élysée. Lors de son discours, le chef de l’Etat a promet une « France plus forte » et « une planète plus vivable ».

Le chef de l’Etat a relevé la nécessité d' »inventer tous ensemble une nouvelle méthode » pour « rassembler et pacifier », appelé à « agir sans relâche » pour que la France devienne « une nation plus indépendante ». Il a aussi fait le « serment de léguer une planète plus vivante et une France plus vivante et plus forte ».

Les invités étaient arrivés à l’Élysée dès 10 h. Outre les membres de sa famille et les proches, 450 autres personnalités on été conviées à cette cérémonie. Parmi eux, les deux anciens présidents, Nicolas Sarkozy et François Hollande, ainsi que l’ancien Premier ministre, Manuel Valls.

La cérémonie a débuté  vers 11h, heure d’arrivée d’Emmanuel Macron dans la salle des fêtes de l’Elysée.

Vers 12h, le président a passé en revue des troupes militaires dans les jardins du palais. S’en suivra par la suite les 21 coups de canon, qui sont tirés, comme le veut la tradition.

 

13 Commentaires

    • 450 invité apparemment o repas ta vé caviar champagne homard ( met li lé allergique ) foie gras mais tout cela gratuit bien évidemment ils ont remercié ceu qui on voté pour eux chaleureusement car ils vont encor profité pour 5ans et remplir un peu plus ler poche vide…merci o sportif millionnaires qui ont appelé a fair barage pendant 5ans ils pourront encor ne pas payé isf et surtout fair de l’évasion fiscal sans etre inquiété….MERCI

  1. Contenu illicite : demande de retrait de votre article « Les non-vaccinés mettent en danger… les vaccinés »

    Monsieur,

    L’article ci-dessus mentionné et mis en ligne le 2 mai 2022 est illicite.

    Tout d’abord, le titre de votre article, visible à la une sur Google, après saisie des mots-clés « non vaccinés » ou encore « vaccin covid » entre autres, accuse les non-vaccinés de mettre en danger les personnes vaccinées, alors qu’en principe, un vaccin a pour but de protéger d’un virus les personnes qui se vaccinent. Donc, les personnes « vaccinées » contre la Covid ne devraient pas être mises en danger par celles qui ne le sont pas. En effet, la définition du mot vaccin : « Substance pathogène qui, inoculée à un individu, lui confère l’immunité contre une maladie », se suffit à elle-même pour remettre en cause votre titre.

    À la lecture de l’article, on découvre ensuite un raisonnement très aléatoire, basé sur une étude canadienne qui « confirme que les non-vaccinés augmentent le risque d’attraper le virus des personnes vaccinées […] Pour en arriver à cette conclusion, le Dr David Fisman et son équipe de la Dalla Lana School of Public Health de l’Université de Toronto ont mis au point un modèle mathématique pour estimer le risque de contamination dans plusieurs situations. D’une part lorsque les personnes ont toutes le même statut vaccinal, d’autre part, lorsqu’elles sont mélangées ». Il s’agit donc de mathématique et non de médecine. Ce modèle mathématique omet volontairement un paramètre très important : il suppose une efficacité du « vaccin Covid », ce qui est très loin d’être le cas. Sur l’efficacité du « vaccin Covid », les derniers mois et les courbes de contamination ont prouvé que le virus de la Covid affectait également les personnes vaccinées, et en très grand nombre. Si on se réfère à la définition du vaccin, on peut aisément en conclure qu’il n’en est pas un.

    Votre article conclut très rapidement : « Ce qui signifie que le refus du vaccin a un impact non négligeable sur la santé publique et la santé individuelle d’autrui », rappelant les débats récents qui ont justifié la mise en place de mesures aussi inutiles que liberticides, et incitant à la discrimination et à la haine d’une partie de la population. Or, ce « vaccin » qui n’en est pas un, a prouvé à l’usage son inefficacité. Par conséquent, on ne peut affirmer que les personnes non vaccinées puissent mettre en danger d’une quelconque façon celles qui le sont.

    La mise en danger d’autrui, qui consiste en une infraction pénale, est punie par la loi. Accuser une partie de la population de « mettre en danger autrui », rend coupable de dénonciation calomnieuse (article 226-10 du Code pénal). En effet, on ne peut dénoncer un fait qui est de nature à entraîner des sanctions judiciaires alors que les allégations sont inexactes. Le raisonnement fallacieux qui a amené à rédiger cet article sur des bases très discutables correspond à une dénonciation calomnieuse.

    Étant moi-même non vaccinée, donc concernée par cette dénonciation calomnieuse, je vous demande, par le présent courrier, de retirer votre article dans les plus brefs délais.

    Bien cordialement,

  2. Une étude allemande menée par le professeur Harald Matthes sur les effets secondaires de la vaccination contre le Covid-19, fait état de complications graves dont le niveau serait 40 fois plus élevé que celui enregistré par l’Institut Paul Ehrlich.

    Depuis un an, une étude intitulée Profil de sécurité des vaccins contre le Covid-19 est menée à l’hôpital de la Charité de Berlin par le professeur Harald Matthes sur les effets secondaires de la vaccination contre le SARS-CoV-2.

    Le résultat de cette étude fait état de complications graves suite à la vaccination dont le niveau serait 40 fois plus élevé que celui enregistré par l’Institut Paul Ehrlich (PEI).

Répondre à Anonymous Annuler la réponse

Your email address will not be published.

Article précédent

Législatives : Laurent Virapoullé lance sa campagne électorale dans la 5ème circonscription (VIDÉOS)

Article suivant

La méga brocante du Chaudron était de retour ce dimanche 8 mai

Free Dom