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La DRL pour fin 2022 ; La NRL pour la Saint-Glinglin ?

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Chaque semaine, vous êtes nombreux à m’appeler ou à m’écrire, surtout à partir du mercredi, pour me raconter vos petites histoires, celles qui, la plupart du temps, animent selon vous les coulisses des collectivités pour lesquelles vous travaillez. Vous prenez toujours soin, avant de raccrocher, d’ajouter : « il faudrait en parler dans votre édito ». Vous me racontez alors des histoires du genre :  le directeur de cabinet d’une mairie, marié et père de famille, sort avec une jeune conseillère municipale de la majorité qui serait enceinte ; Le maire de cette même commune sort avec la sœur de cette jeune conseillère municipale maîtresse de son directeur de cabinet ; La femme du maire en question aurait débarqué en mairie pour foutre un bordel pas possible »…

Vous me racontez qu’un maire a embauché sa belle sœur en tant que secrétaire du DGS de l’EPCI qu’il préside, que la secrétaire de l’EPCI est aussi la maîtresse du maire ; Ou encore que le chauffeur d’un maire a aussi une société de sécurité. Vous me racontez encore que le maire d’une commune de l’Est aurait un enfant avec la fille de son directeur de cabinet. Vous me racontez qu’au service de la Logistique de Région, il s’en passerait de bien belles, que le cabinet ou la présidence devrait effectuer des contrôles « parce que ce sont toujours les mêmes entreprises qui obtiennent tous les petits marchés de puis plusieurs années déjà; Des entreprises dont certains responsables ont leur épouse qui travaillent au sein du même service de la pyramide; Sans compter que c’est l’épouse qui émet les bons de commande; Ça se passerait ainsi sur le site du Chaudron et sur celui du Sud, au CPOI ».

Vous m’appelez aussi pour me dire que tel parlementaire « a placé sa petite amie comme vice-présidente d’une collectivité locale », que tel agent de la Région « n’a jamais travaillé et continue à être payé », que « les anciens chefs de service du temps de Didier Robert continuent à mettre impunément la pression sur le personnel », notamment dans les antennes décentralisées.

C’est gentil à vous de m’appeler ou de m’écrire. Même si je prends toujours le temps de vous écouter – question de savoir vivre et de bonne éducation – je voudrais vous dire, au risque de vous décevoir, que je suis journaliste et non juge des affaires matrimoniales ou familiales, ni DRH (directeur des ressources humaines) et encore moins Procureur de la République. Tout cela pour vous conseiller d’écrire à la direction des ressources humaines de votre entreprise ou collectivité pour dénoncer tout ce qui peut vous sembler relever d’un dysfonctionnement, ou bien de vous adresser par courrier au Procureur de la République pour signaler ce qui peut vous paraître comme étant des « petites magouilles » entre le directeur de votre service et certains chefs d’entreprises. Merci encore pour votre confiance, mais je le dis et le répète, au risque de vous décevoir, je ne gère pas les histoires de cœur (ou de c… n’étant pas sexologue) dans les collectivités locales (mairie ou EPCI). Merci de votre compréhension !

Cité des Dirigeants : Gérald Maillot, Christophe Di Donato, Michel Fontaine… en Correctionnelle ce matin

En parlant d’EPCI (Etablissements publics de coopération intercommunale), deux présidents d’intercommunalité, ou plus exactement un ancien et un actuel, vont se retrouver à la barre du tribunal correctionnel de Saint-Denis, ce matin, vendredi 8 octobre, pour expliquer aux juges où sont passées les subventions de près de 1,4 millions d’euros (700 000 € chacun) versées à la Cité des Dirigeants dirigée par Christophe Di Donato. Dans cette affaite de « détournement de fonds et d’escroquerie », Gérald Maillot (ancien président de la Cinor) et Michel Fontaine (président de la Civis) font partie des prévenus. Le tribunal aura pour mission de définir le rôle exact de chaque élu et administratif dans ce dossier. L’on sait que ce projet ambitieux de formation des cadres pour en faire des big boss a foiré ; Qu’il était porté par Di Donato et Gérald Maillot, que ces deux derniers avaient débarqué un jour dans le bureau du DGS de la Civis à Saint-Pierre pour vendre leur projet, que ce dernier fut manifestement emballé, qu’il a alors monté un dossier pour la Civis avec arguments en béton à l’appui, que Michel Fontaine a signé sans trop regarder, comme il signe chaque jour, en toute confiance vis-à-vis de ses collaborateurs et administratifs, de nombreux parapheurs qui lui sont soumis. Or, pénalement, c’est lui, en tant que président de l’EPCI, qui va devoir passer à la barre pour « négligences » alors qu’il avait tiré la sonnette d’alarme en écrivant alertant le parquet lorsque la Cité des Dirigeants étaient revenus à la charge pour demander une deuxième subvention.

En fait, le tribunal s’interrogera pour savoir comment peut-on, comme ça, accorder presque d’un trait de plume une subvention de 700 000 € alors que des associations communales ou intercommunales peinent parfois (voire même souvent) à obtenir de leur collectivité respective une subvention de 1000 ou 2000 € pour des actions très concrètes sur le terrain en faveur des jeunes ou des personnes démunies ?

En ce qui concerne la Cité des Dirigeants, force est de constater que le projet était trop beau pour être vrai. Les administratifs sont manifestement tombés dans le panneau ; Ils se sont laissés embarqués par les belles paroles d’un beau tchatcheur. Et, au final, plus d’un million d’euros d’argent public a disparu dans la nature. A qui la faute ? Aux administratifs qui ont délibérément monté les dossiers ou aux élus qui ont pêché par « négligence » ? Rappelons que dans cette affaire, la Cinor et la Civis comparaîtront comme « victimes » alors que leurs présidents respectifs (l’ancien pour la Cinor) se présenteront à la barre en tant que « prévenus ». Voilà qui devra amener demain les administratifs à ne pas « gober » tout ce qui paraît a priori être de l’or en barre. Et les maires ou présidents d’EPCI à ne pas faire systématiquement confiance en leurs collaborateurs en regardant plus attentivement dorénavant les documents qu’ils sont appelés à signer.

Pris entre le manteau (à poils de renard) et l’enclume !

Des EPCI, nous passons aux chambres consulaires pour vous parler des élections qui ont déjà démarré depuis le 1er octobre à la Chambre des Métiers et de l’Artisanat (CMA). Et de celles qui vont bientôt commencer à la Chambre de commerce et d’industrie de la Réunion (CCIR). Concernant la première, Bernard Picardo va devoir défendre son bilan face à ses adversaires Didier Mazeau, Giraud Payet et Jean-Charles Nagou.

Quant à Ibrahim Patel, président sortant de la CCIR, pour reprendre un des grands titres de la presse locale, il est « sur un boulevard ». Patel qui, autrefois, était exposé en Une des journaux en pyjama (un jogging qui y ressemblait beaucoup en tout cas) lorsqu’il était « cueilli » au petit matin chez lui par un Procureur qui se promenait toujours (comme par hasard) avec des photographes, Patel qui était donc cueilli au saut du lit à grands coups de flashs dans les mirettes, semble être aujourd’hui porté par un miraculeux et douteux nuage médiatique. « Ce n’est plus de l’amour, c’est de la rage ! ». C’est ce qu’ont relevé certains de ses anciens colistiers laissés sur le bord du chemin dans le cadre des nouvelles élections sous prétexte qu’ils ne seraient pas « propres » vis-à-vis de la justice. Je ne vais pas les citer. Certains des anciens colistiers de Patel ont été en effet bordés parce qu’ils ont des dossiers en cours d’instruction. Raison pour laquelle, ils ont été blacklistés. Sauf que le président sortant lui-même n’en a pas fini avec les affaires judiciaires. Il est toujours en attente d’une décision de la Cour de Cassation concernant une affaire de loyers impayés révélée à l’époque dans l’édito du samedi par le Journal de l’île. Une décision qui pourrait tomber d’ici à décembre prochain ou peut-être en début de l’année prochaine, soit un ou deux mois après l’élection de la nouvelle présidence. En cas de confirmation des verdicts précédents, Patel qui a de grandes chances de rempiler à la présidence au prochain scrutin à la CCIR, devra passer la main. Il est dit qu’il en a déjà discuté avec quelques uns de ses proches camarades comme Guyto Narayanin, Younous Adame, Pierrick Robert ou encore Pascal Plante pour le succéder au cas où… A noter par ailleurs que certains des actuels colistiers (et colistières) ont également des comptes à rendre à la justice. C’est le cas notamment d’une élue de Sainte-Marie, loueuse de voitures et impliquée dans une affaire d’achat de terrain pas très réglo du côté de Gillot. Je ne vous en dis pas plus pour aujourd’hui.

Je voulais tout simplement, même si je suis loin d’être naïf, faire passer le message suivant, à savoir qu’à ce niveau, la recherche à tout prix du pouvoir et la soif de l’argent peuvent amener certains à renier leurs amis lorsque ceux-çi ne représentent plus aucun intérêt pécuniaire pour eux dans leur quête de pouvoir justement. Et il devient pour eux plus intéressant de « pactiser » avec l’ennemi d’hier (autrefois considéré comme le Diable en pyjama) si ce dernier peut leur garantir de décrocher le Saint-Graal. C’est bien triste tout ça ! Humainement décourageant ! Mais c’est bien connu, dans le business, l’argent n’a pas d’odeur. Même quand ça risque de sentir les poils de renard. J’en connais un qui devra faire des pieds et des mains pour aller chercher, du côté de la pyramide, ce qui lui reste à prendre, soit quelques centaines de milliers d’euros qui lui avaient été promis par l’ancienne majorité, avant qu’il se « pète » avec le président, un mois avant les élections régionales pour une affaire somme toute très banale. Mais les sommes étaient déjà engagées et les papiers déjà signés. Sauf que depuis juin dernier, la majorité a changé de camp et qu’au sommet de la pyramide se trouve à présent la dame au fameux manteau de poils de renard dont la photo avait été faite lors d’une réunion à Paris dans la cour d’un ministère par une directrice de Com’ et qui a atterri dans des écrits hebdomadaire d’un journal local. Comment faire pour récupérer les 300 000 € promis par l’ancienne majorité ? J’en connais un qui est pris entre « le manteau et l’enclume », si je peux me permettre ! Je dis ça, mais je sais, au fond de moi même, que les angles finiront par s’arrondir. La preuve, tout est déjà rentré dans l’ordre à la CCIR. Et ce n’est pas Ibrahim Patel qui me contredira. L’argent, le pouvoir et la politique ont leurs raisons que la raison ignore…

NRL : les 2,5 kilomètres restants en route Digue ou en Viaduc ?

J’en arrive maintenant au titre principal de cet édito, c’est-à-dire à la NRL (Nouvelle Route du Littoral). 90 jours après son arrivée à la tête de la Région, Huguette Bello, qui n’est pas amatrice de poker, souhaite jouer la carte de la transparence notamment sur les grands dossiers de la Région. La NRL en est incontestablement un, si ce n’est le plus important en terme d’engagement financier.

De gauche à droite : la présidente de Région, Huguette Bello, le conseiller régional Fabrice Hoarau et le vice-président et maire de Cilaos Jacques Técher, lors de la visite de la DRL. Crédit Photo : Yves Mont-Rouge

Au terme de sa visite de mercredi sur le Viaduc, la présidente de Région a fait un certain nombre d’annonces on ne peut plus claires sur ses intentions concernant cette route. Le premier engagement qu’elle a pris, c’est de la finir ; Le deuxième, c’est de livrer la jonction Viaduc/Grande Chaloupe avant la fin de 2022 ; Le troisième, c’est de ne pas ouvrir la carrière de Bois Blanc et, enfin, le quatrième qui va conditionner le premier, c’est de demander à l’Etat de prendre ses responsabilités afin de pouvoir terminer la route dont le chantier se trouve confronté à deux obstacles majeurs : d’abord l’histoire des acropodes non pas défectueux contrairement à ce qui a été écrit ou dit, mais des acropodes mal positionnés. Même si les entreprises en charge de ces installations ont eu recours aux satellites pour la pose des acropodes qui pèsent des dizaines de tonnes chacun, il se trouve que 775 ont mal été placés. Or, pour les repositionner comme il se doit, il faudra en bouger 2000 sur les 23 000 qui sont disséminés tout au long du viaduc. Un travail titanesque qui prendra du temps et qui coûtera au moins deux dizaines de millions d’euros, à la charge des multinationales. Il faudra attendre la réalisation de ce travail délicat pour envisager par la suite le raccordement entre le Viaduc de 9 kilomètres à l’actuelle RN à hauteur de la Grande Chaloupe. Raison pour laquelle, Huguette Bello, qui préfère voir large en y incluant des retards possibles de travaux et des aléas climatiques, mise sur une jonction Viaduc/Grande Chaloupe d’ici à fin 2022. Voilà pour la « DRL » (Demi Route du Littoral).

Concernant cette fois la NRL (Nouvelle Route du Littoral) dans sa globalité, pour pouvoir l’utiliser, il faudra attendre la construction de la partie Digue. La question qui se pose aujourd’hui à la nouvelle majorité est de savoir s’il faut la faire en Digue (avec des andains ou roches massives ou encore des caissons en béton) ou bien en mode Viaduc ? Impossible de répondre à cette question pour l’instant. Réponse, peut-être, le 27 octobre prochain à l’occasion de la session plénière spéciale « NRL » qui se déroulera dans l’hémicycle de la pyramide inversée en présence notamment du représentant de l’Etat. Une présence capitale car la nouvelle majorité régionale attend une participation financière de l’Etat. Huguette Bello a dit avant-hier qu’elle en avait déjà parlé au Premier Ministre lors d’une rencontre à Paris. « Mais reste à savoir si c’est entré par un trou d’z’oreille et si c’est pas ressorti par l’autre », a-t-elle souligné !

En tout cas, ce qui est sûr, c’est que toute seule, la Région ne pourra financièrement pas terminer cette NRL. « Il faudra d’autres Accords de Matignon », a clairement laissé entendre la présidente de Région qui a, par ailleurs, annoncé qu’elle ira de nouveau faire le pied de grue devant les ministères s’il le faut pour que l’Etat accepte de mettre la main à la poche. Avec la période électorale de la présidentielle qui arrive, le Président (futur candidat) Macron prendra vraisemblablement des engagements en ce sens. C’est que ce qu’attend la Région. Autre écueil : les contentieux de près de 900 millions d’euros que réclament les multinationales à la Région. Tout cela pour dire que ce n’est pas demain la veille qu’on va rouler sur la totalité des 12 kilomètres de la NRL.

Tout laisse à penser que pour les 2,5 km restant à réaliser, ce sera en Digue car la plateforme « Zourit », qui permettait l’installation des piliers du Viaduc, a déjà été vendu à l’étranger. Donc, si c’est en Digue, il faudra bien aller chercher les galets (andains) quelque part dans l’île. Ou alors des roches massives en ouvrant des carrières. Mme Huguette Bello a déjà déclaré haut et fort : « pas touche à Bois Blanc ». C’était une de ses promesses électorales des régionales. Jusqu’à quand va-t-elle pouvoir la tenir ? On connaît ce que deviennent en général les promesses électorales… La construction de milliers de logements sociaux par an à la Réunion nécessite également le recours aux agrégats.

En clair, l’Etat sera bien obligé d’ordonner l’ouverture des carrières. Aussi, pour conclure sur ce chapitre, dont on en reparlera abondamment le 27 octobre prochain (lors de la réunion de mise à plat), on peut dire pour le moment en résumé : « DRL », fin 2022 ; NRL à la Saint-Glinglin parce que personne n’est en mesure aujourd’hui de donner une date, une année précise quant à l’ouverture de la totalité de la Nouvelle Route du Littoral. Je rappelle que les travaux de ce gigantesque chantier avaient débuté en 2014, quelques mois avant les régionales de 2015. Six ans ont passé. D’après les annonces faites par Huguette Bello mercredi, «cette route devrait coûter au moins 2,3 milliards d’euros au final ».

Saint-Louis : une douche pour Juliana M’Doihoma, un lit pour Cyrille Hamilcaro

Un petit tour du côté de Saint-Louis à présent. Ça faisait longtemps. J’ai vu passer un post de Cyrille Hamilcaro sur son Facebook sur lequel il ironise à souhait. Je vous laisse le lire ci-dessus.

Je me suis quand même renseigné auprès de l’entourage de la maire. Voici la réponse qui m’a été faite : « ce monsieur fait vraiment pitié ; Il ne sait plus quoi faire, le pauvre. La maire qui, dans le cadre de ses fonctions, reçoit régulièrement des personnalités dans son bureau, comme tout récemment le directeur général de la Caisse des dépôts et de consignations ou encore la rectrice de la Réunion, avait honte de les accueillir dans des conditions aussi déplorables étant donné que les précédentes majorités ont laissé la mairie dans un état d’abandon à tous les niveaux. Oui, les agents des services techniques de la commune ont poncé récemment le parquet qui était noir de saleté. Un coin douche a été installé car la maire commence sa journée dans son bureau à la mairie à 7 heures et la termine le soir vers 21 heures voire parfois plus, avec régulièrement des sorties sur le terrain, avant de revenir à son bureau pour des rendez-vous dans le cadre des rencontres avec des acteurs économiques et autres décideurs dans l’intérêt de la commune. Il lui arrive donc de prendre une douche afin d’être présentable. Non, il n’y a pas de clic-clac, c’est toujours le même fauteuil. Non, pas de SPA… En revanche, du temps où ce monsieur était maire de Saint-Louis, il avait fait installer un lit dans son bureau. On en connaît quelques unes qui pourraient témoigner de ce qui s’est passé sur ce lit dans ce bureau. Bref, ce monsieur qui, visiblement s’ennuie, veut faire un festin avec une queue de morue ». Fermez le ban ! Cyrille Hamilcaro m’a texté peu de temps après la publication de l’édito en écrivant que « cette insinuation nauséabonde » relayée dans l’édito « est nauséabonde et fausse, juste pour salir ». Puis il a ajouté : « alors que ce que je dis est un fait avéré, vérifiable ».

Au CRR, la musique n’adoucit pas forcément les mœurs

On reste à la Région, pour finir sur une note de musique qui, manifestement, n’est pas bonne, contrairement à ce que chantait Jean-Jacques Golman. A plusieurs reprises déjà, j’ai fait écho ici même dans l’édito du vendredi de ce qui se passait au CRR (Conservatoire à rayonnement régional) notamment lors des examens. Des parents étaient montés au créneau plus d’une fois pour dénoncer certaines décisions prises par la direction de cette structure. La situation s’était calmée depuis, sans doute le temps des élections régionales. Mais force est de constater que les réactions reprennent trois mois après le changement de majorité.

« Au bout de 3 ans, quel est le bilan du directeur Thierry Boyer, recruté à la tête du CRR par Patrice Bertil, actuel, DGA à la Culture ? », s’interroge-t-on au sein de l’établissement. « Thierry Boyer a recruté Hélène Hucher en tant que coordinatrice aux études. Depuis l’arrivée de celle-ci, de nombreux élèves se sont vu signifier la fin de leurs études au CRR, même en cas de réussite aux examens. Auparavant, ils avaient la possibilité de poursuivre en cursus amateur le plus longtemps possible en parcours libre ou personnalisé. Les décisions de la direction ont été prises de manière arbitraire mettant ainsi les professeurs référents et les parents sur le fait accompli. Cela a engendré beaucoup de souffrances chez les élèves et de sentiment de dévalorisation uniquement parce que leur souhait n’était pas de poursuivre un cycle d’orientation professionnel.

Or les missions principales d’un CRR sont d’offrir au plus grand nombre un cycle amateur de qualité sachant que le cycle d’orientation professionnel ne concerne qu’une infime minorité d’élèves. En tant que parents d’élèves, on est en droit de se poser la question de savoir pourquoi on laisse des gens venir de métropole prendre des décisions abusives et inhumaines et gâcher la vie de nos enfants en leur faisant ainsi du mal. Si les élèves en cycle amateur sont traités comme des parias, on serait tenté de croire que ceux du cycle d’orientation professionnel sont bien lotis… Pourtant la réalité est bien différente et choquante. Les élèves sont soumis à des pressions de plus en plus importantes : on les oblige à participer à des projets contre leur gré avec insistance sous peine de problèmes avec la direction. Les élèves réunionnais spécifiquement se voient rabaisser lors des examens et durant leur cursus par le biais de convocations et de remontrances de manière récurrente par Mr Boyer et Mme Hucher. Ces élèves se sentent moralement détruits et ont envie d’abandonner leur cursus. A l’évidence, il y a comme une stratégie malsaine qui vise à décourager nos enfants réunionnais à accéder au plus haut niveau. Quelle est la volonté cachée de Mr Patrice Bertil qui, non seulement, couvre les agissements de Mr Thierry Boyer et de Mme Hélène Hucher mais leur laisse toute latitude pour exercer cette forme de harcèlement souterraine et masquée.

Derrière cette devanture de strass et de paillettes de l’orchestre de Région Réunion, ORR, que Mr Boyer utilise pour prétendre briller, la réalité du quotidien est bien plus brutale. On est en droit de se demander pourquoi toutes ces personnes de cette hiérarchie administrative emploient tant d’énergie pour étouffer et museler nos jeunes. Est-ce pour les empêcher de boucler leur cursus professionnel complet les privant ainsi de la possibilité de revenir enseigner à la Réunion ? Certainement dans l’objectif de réserver ces postes à d’autres…. Pourquoi Mr Bertil a-t-il recruté ces personnes ? Où sont passés les grands élèves qui peuvent participer à l’ORR ? Bien sûr, le directeur préfère faire venir une dizaine de musiciens de Métropole avec tous les frais générés comme billets d’avion, hôtels et restauration. Nous avions un dernier espoir en votant pour un changement politique aux dernières régionales. Le désarroi et la peine de nos enfants et de leurs parents seront-ils entendus par la nouvelle majorité ? ». Un témoignage signé de plusieurs parents, que nous avons reçu cette semaine. Je suis évidemment preneur de la réaction du directeur, de son assistante et du DGA à la Culture qui sont clairement pointé du doigt – à tort ou à raison ? – non pas par moi, mais par des parents, à travers ce témoignage.

Volontairement, je n’ai pas du tout évoqué la crise sanitaire parce que le coronavirus, à en croire l’ARS et la préfecture, est en train de nous faire ses adieux. Tant mieux ! Fini le masque dans les écoles à partir de lundi prochain. On va même (pas moi car j’ai passé l’âge) pouvoir repartir danser en boîte de nuit… avec le masque cette fois. Bonjour la drague ! Opération périlleuse car on ne sait jamais ce que peut cacher un masque. C’était pour rire. Bonne semaine !

Y.M.

([email protected])

 

 

 

 

Yves Mont-Rouge

[email protected]
Téléphone : 0692 85 39 64

63 Commentaires

    • YMR essaies tant bien que mal de défendre son ami Michel Fontaine

      Lequel était liquéfié hier au tribunal judiciaire dans l’affaire dite Cité des Dirigeants

      Son avocat parisien payé à prix d’or tentant de nous faire croire que Michel Fontaine voulait être jugé car il se considérait innocent oublies de dire qu’il a demandé par deux fois la scission du dossier pour ne pas être jugé avec les autres par peur de la confrontation et la peur de devoir assumer ses mensonges devant tous
      Ce même avocat passes sous silence sa demande en nullité faire la veille du procès pour tenter par des moyens juridiques d’éviter à Michel Fontaine d être jugé

      Étonnant pour une personne qui voulait être jugé !!!

      Et de ça Mont Rouge ne dit rien 🙂

    • YMR essaies tant bien que mal de défendre son ami Michel Fontaine

      Lequel était liquéfié hier au tribunal judiciaire dans l’affaire dite Cité des Dirigeants

      Son avocat parisien payé à prix d’or tentant de nous faire croire que Michel Fontaine voulait être jugé car il se considérait innocent oublies de dire qu’il a demandé par deux fois la scission du dossier pour ne pas être jugé avec les autres par peur de la confrontation et la peur de devoir assumer ses mensonges devant tous
      Ce même avocat passes sous silence sa demande en nullité faire la veille du procès pour tenter par des moyens juridiques d’éviter à Michel Fontaine d être jugé

      Étonnant pour une personne qui voulait être jugé !!!

      Et de ça Mont Rouge ne dit rien 🙂

  1. Cette Dircom’ comme indiqué dans votre édito n’avait que faire de ses journées, à part suivre son époux aux multiples femmes ! Et disons le, madame Bello, nassimah , ericka bareigts…. ( des femmes intelligentes et du peuple) sont ses proies ainsi que les minettes splendides …. Forcément hein, sa descente aux enfers a déjà commencé…. Life is just dangerous

  2. Poursuite de la NRL ? En viaduc cela aurait de la gueule et un pied de nez a l’ancienne majorité ! La barge zoirit a été vendue et alors ? On en rachete une autre. On est plus à quelques mois de retard pour en fabriquer une autre et à 75 M€ près, le prix de la barge. Quelque soit la solution retenue, on en a encore pour des années. Alors pourquoi pas en viaduc. Le temps prévu pour refabriquer une barge et les usines a béton sera récupérer dans la pose de 2 piles par mois aulieu de s’embêter à rechercher des roches massives que personne n’en veux et au détriment de notre environnement

  3. Concernant le conservatoire. Il y a énormément de problèmes en interne et ça depuis bien longtemps mais Bertile ne voit pas, où plutôt ne souhaite pas voir cette réalité qui est insensé.

    CRR = Conservatoire à Rayonnement Régional. Et non Conservatoire à Rayonnement National.

    Certains professeurs dans le département des cordes et surtout l’administration du CRR, doivent changer. Il y a une majorité d’élève et de parents qui n’acceptent pas cette situation qui dégrade bien évidemment le conservatoire et les personnes qui s’y trouvent.

    • Nous avons des personnes diplômés
      Pourquoi à avoir pris des métropolitains
      Rien de raciste mais notre île a des atouts des doctorants des intellos
      Moi je dis on les virent et on se pose pour un crr régional identité réunionnaise

    • Mme BELO ou là décide garde tout DGA didix.
      Mi t’es vois à ou plus intelligente seulement
      MME LÉNO i mange dand assiette band Robert.
      BERTIL… Et bien sûr NIRLO au carré VIP avec COCO l’ancienne présidente et mi en passe

  4. Franchement, ce CRR devrait laisser tomber son R de rayonnement pour un R de Rabaissement voire un R de racisme.
    En effet, la stratégie de l’administration Boyer passe par une exclusion des jeunes réunionnais de ses cursus… de ses jeunes réunionnais de couleur de surcroît…
    Comment la nouvelle équipe du Conseil Régional peut-elle laisser cette situation perdurer ? Elle qui s’est vantée être porteuse des valeurs de progrès alors que des comportements rétrogrades sont dénoncés depuis un certain moment contre la clique de Bertille, Boyer, Hucher…
    Garder un statu quo sera délétère pour tous les jeunes apprentis musicien, leurs parents qui pensent surtout à leur épanouissement et à l’administration publique en perte de sens…
    La gabegie Boyer ne peut mener qu’à la fermeture du Conservatoire par manque de vocations ou à sa privatisation au profit de certains nantis de l’île…

  5. Le CRR d’aujourd’hui est loin d’être à rayonnement régional, surtout lorsqu’on voit le recrutement au niveau de la direction mais aussi des professeurs.
    Des concerts organisés à la va vite avec peu de musiciens réunionnais (élèves ou non) du CRR. Je rappel que les missions du CRR sont de :

    – proposer un enseignement de qualité aux jeunes réunionnais en intégrant et développant des disciplines spécifiques à l’île (musique réunionnaise, percussions africaines, danse et musique classiques indiennes) tout en renforçant le socle de l’enseignement classique ;

    – offrir aux jeunes réunionnais qui présentent un potentiel, une formation pré-professionnelle de haut niveau donnant accès à une formation diplômante à l’extérieur et ainsi mettre en valeur un secteur porteur d’emplois dans l’île ;

    – former aux pratiques artistiques des amateurs de qualité qui constitueront le public averti de demain ;
    contribuer au développement des activités musicales, chorégraphiques et dramatiques dans l’île et dans la zone Océan Indien.

    Hors, depuis 2018 la direction du CRR est en contradiction avec ces missions !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  6. On peut dire que ce CRR fait couler l’encre depuis de nombreuses années et pour les mêmes raisons. Thierry Boyer, anciennement directeur au Conservatoire départemental de Normandie se voit attribuer des mérites qu’il ne mérite pas, d’autant plus qu’il n’était plus éligible à la direction de se même conservatoire pour les mêmes raisons citées plus haut :
    – Harcèlement sur élèves et professeurs.
    – Manipulation mentale sur élèves et professeurs.
    – Pression psychologique sur élèves et professeurs.

    A la Réunion, le raciste est présent depuis des décennies dans tous les secteurs d’activités, personne ne peut le nier. Privilégiez des métropolitains car CERTAINS professeurs du Conservatoire à Rayonnement Régional préfèrent leur amis de métropole. Car oui, la majorité des professeurs de ce Conservatoire sont métropolitains.

    • dans la mairie , lé comme la case, alors , té zanick oussa nous sava comme cà

      2026 lé loin té comment nous fait là

      ha té mounoir ou lé déçoit la population un qualité manière bras croisés, cravate droite , ha lala
      la croit zordi goute

  7. Quand on entre en politique, on a aussi une sexualité publique? C’est l’intimité des gens et cela ne concerne pas la population! Macron et son épouse, les maires précédents homosexuels, pédophiles, polygames. Tant que leur rôle d’élu est maintenu et que ce ne sont pas des élus fantômes, leur vie privée, reste privée!
    Tant que nos élus ne volent pas dans les caisses publiques, ils couchent ou font des enfants avec qui ils veulent!
    La Réunion est vraiment dans les ladi lafé!
    C’est vrai que le reste de la population est monogame et que personne n’a de maîtresse et d’amant! Qui n’a pas pêché, jette la première pierre!

    • Vous n’avez rien compris à l’édito de YMR. Ce que la population n’admet pas c’est que dans une mairie, le gendre, son beau-père (directeur de cab) et sa belle-mère commandent dans les dossiers de la mairie. La belle-mère du maire de Bras-Panon a son mot à dire dans la mairie alors qu’elle n’y travaille pas. Aujourd’hui, nous apprenons que le maire est en commérage avec la fille.

      La population a voté pour un maire et des élus, pas pour cette famille.

      • Mi parle pas de Bras Panon, ni d’une collectivité particulière. Tant que les enfants sont assumés par leurs géniteurs! Il y a déclaration de biens en début de mandat mais pas de déclaration de situation de famille! Divorce, séparation, mariage, c’est de l’ordre de la sphère privée. Les maires et présidents doivent être objectifs et impartiaux , justes et équitables! Au service de la population.

        • C’est ce qu’on vous dit. Il a le temps de fonder un nouveau ménage avec la fille du directeur cabinet mais pas d’être présent pour la population. Si ça doit rester dans la sphère privée pourquoi laisser ses beaux parents gérer la commune ? Ses commérages ne nous regardent pas. Pourquoi on subit et il ne faut rien dire ?

  8. Tout et son contraire l’éditorialiste,le petit qui denonce ou ve pas mais aou dit des conneries sa oui in!ou le pas sexologue mais ou aime bien protege les collectivités locales qui donne leuro à freedom par la pub pfff inutile ce monrouge

    • Monsieur Montrouge, le un journaliste les normal li informe la population Cossa i passe dans les communes, nous population nous les en droit de savoir comment un maire i gère en plus nous l’a fait un changement a bras panon alors même que monsieur le maire la fait la maison du peuple un maison privée et familiale merci monsieur Montrouge

  9. Mr Montrouge a été maintes fois critiqué pour ces propos sexistes ou en bas de la ceinture, le Bigart des journalistes. Il s’est amélioré mais ne peut s’en empêché, quand on des pulsions on ne peut les contenir. Sous couvert de « je ne suis pas sexologue », il lâche ses rumeurs, ses ladilafé, ses insinuations, sa bile, sans citer de noms biensur de peur d’être poursuivi pour calomnie. Mais il sait très bien que les lecteurs s’en chargeront de le faire et de donner tous les détails croustillants. On allume la mèche et on est sur d’avoir un feu de mille joies. Cela rappelle la bien sombre tragédie de radio mille collines qui mettait de l’huile sur le feu en montant les uns contre les autres jusqu’à l’élimination physique. N’est pas journaliste qui veut, propager des ragots qui plus est de la vie privée quand bien même de nos hommes politiques ne tire pas la société et nos jeunes vers le haut. J’ai honte Mr Montrouge de vos dérapages insidieux qui ne contentent que vous mêmes et quelques uns de vos semblables qui manifestent une certaine contrariété et voyeurisme intellectuel. N’est pas lanceur d’alerte qui veut, osez comme l’éditorialiste d’en face qui porte de vraies affaires devant la justice pour défendre les intérêts des réunionnais.

    • JACQUES..vous faites bien d’avancer ce que vous dites ! je pense que cela peut rendre service et faire grandir un peu plus Mr YMR ! s’il se considére intelligent ! Mais ..en ce qui me conçerne s’agissant du consevatoire « CRR » domage que la musique créole ..l’àme ..l’esprit , le fon’d ker d’ici ne soit pas représenter par un ou des des leurs !!!!domage ! si j’étais la personne d’ailleurs « métro » mis à la téte de cet institution « pas de raciste là svp. ».j’aurais proposé un créole , car il y en a de trés bon ! domage !!!

  10. Nous avons eu pendant 10 ans, des élèves en CURSUS PROFESSIONNEL au Conservatoire ( près de 10 ans de pratique instrumental) qui se voient d’arrêter leur instrument de prédilection car ils n’ont soit-disant pas le niveau pour la métropole. Le PROBLEME vient-il réellement des 593 élèves qui se sont fait, pour la plupart complètement virer du CRR sans raison/pression psychologique, ou bien des professeurs, de la direction et surtout de la RÉGION RÉUNION (Patrice Bertile, DGA de la culture depuis plus de 20 ans) qui prônent ces initiatives ?

    • Finalement, il ne faut pas être DGA de la culture, ni Présidente de Région, ni un savant fou pour voir et surtout comprendre qu’il y a de GROS PROBLEMES qui touche directement les valeurs morales d’un être humain et en particulier les réunionnais (blanc, noir, jaune ou même vert), qui se voient pour la grande majorité dans l’obligation d’arrêter â cause d’une trop grande pression psychologique mise en place pour aucune raison dans ce Conservatoire. Un CRR qui devrait mettre en valeur la culture réunionnaise et non l’exclure. Certes, il y a eu l’évènement Davy Sicar couplé à l’orchestre de la Région Réunion, mais encore faut-il avoir les compétences pour diriger un orchestre qui joue NOTRE musique.

  11. Bello va se faire avoir avec ses DGA et directeurs qui font des comptes rendus et transfèrent tous les documents aux President déchus ! si vous rodez les voitures de la region ils sont très souvent à la rue Jules Auber devant la case robert en ville. m’a envoy à où photos madame Bello!

  12. Le Conservatoire : cet article m’interpelle. En tant qu’ancien musicien de bal, je me suis toujours questionné sur ce conservatoire. A l époque, on apprenait la musique en autodidacte car il n’y avait aucune structure , mais les orchestres fusionnaient dans l’île avec de très bons musiciens. Aujourd’hui, avec autant de moyens on n’est incapable de former les musiciens reunnionais car ils ne sont pas visibles sur la scène locale. De surcroît, on fait venir deux personnes de l’hexagone dont un directeur avec des casseroles embauchées si j ai bien compris par BERTIL, la bande à Didier ROBERT, pour diriger notre conservatoire. Koman creole lé mol don!

    • En ce qui concerne le Conservatoire à « Rayonnement Régional », est ce normal que les élèves (petits comme grands) reçoivent une pression psychologique aussi énorme? Une pression injustifiée, pour au final quel résultats ? Pour avoir des élèves qui finissent par être dépressif et dégoûté de la musique? Je pense loin de là qu’un Conservatoire à Rayonnement Régionale souhaite véhiculer une telle image.
      Certes, de ce que je lis, ce Conservatoire possède de grands élèves. Mais ont-ils des professeurs compétant, qui, avant toute chose, leurs transmettent leurs amour pour la musique?
      À un certain moment, nous arrivons au point où nous nous posons toutes ces questions car, de ce que nous lisons et de ce que nous entendons, nous nous permettons de mettre en doute les réels intention de ce Conservatoire concernant notre future génération de musiciens et de musiciennes

  13. Monsieur Montrouge, le un journaliste les normal li informe la population Cossa i passe dans les communes, nous population nous les en droit de savoir comment un maire i gère en plus nous l’a fait un changement a bras panon alors même que monsieur le maire la fait la maison du peuple un maison privée et familiale merci monsieur Montrouge

  14. BERTIL était DGA à la Mobilite sous l’ère de Yolaine Costes! un incompétent notoire, vous avez vu comment il a géré les détournements de la continuite territoriale !!!! ce monsieur ne fout rien et surtout attend le travail préparé. cette équipe de robert est bonne pour aller à la retraite, tellement de copinage avec l’ancienne majorité qu’il ne produise et font rien pour faire avancer cette collectivité. foutez ça dehors monsieur Ratenon, monsieur LEBRETON, mafame bello!!!!!

    • Mr Ratenon , Mr Lebreton , mi le d’accord, mais laisse Mme Bélo, ça un femm. Va dress la région , saint Benoît aussi , saint André aussi,. Mais Baba , lo. Maire. BRAS. PANON, d’après ce qui mi entend directeur CAB, i commande , son madame, i gère toute associations. Dans BRAS PANON bras panon le mort , mort, mort

      • Excuse Amoin di sa mé Mme Bello va pa dressé rien. Li la pa fé rien la mairie St Paul. Li la pa paye 10 millions facture de lo par examp. Lé pa la région li sa fé Inn nafèr. Li profite su son vié jour su inn gro poste présidente de Région mais li la pi la semb tou sala li. 71 ans su son tete, lo monde la fini trop évolué pou li. Utiliz internet li Koné pa. Fé pitié pou la Réunion samn Inn élu lé pu a la page seulman.

  15. Lo femme CAZET directeur cabinet c’est le secrétaire lo maire bras panon au conseil général su St André ???
    Secrétaire au cabinet les gars !!! Disons toutes lés pou band famille la .
    La morale Oussa y lé ??

    Ben lé SÉRIEUX !!!!

    • Ben dans ce cas, le justice n’a ka regarder un peu le pas normal , le mari directeur CAB. Lo femme son secrétaire. Département, comment la population le content avec ce maire la fo arrêter , zeannick. Comment ou la trompe la population

  16. CRR :

    Faut-il attendre que l’image du CRR se dégrade complètement et qu’il n’y ait plus d’élèves pour réagir ? Une autre conséquence de ce « management » est à noter : nombreux départs de professeurs et peu de candidats au recrutement ainsi qu’une fuite complet des grands élèves en COP d’après les chiffres qui sont public, d’ailleurs.

    Le CRR de la Réunion est un lieu public et non privé. Mettre une telle pression sur élèves, profs, parents n’est vraiment pas souhaitable. Humainement parlant, c’est un réel désastre.

    De ce fait, nous revenons toujours au même point et cela quelques soient le domaine ciblé : que fais la région et que font leur représentants ?

    A croire qu’ils ne savent même pas s’il existe un CRR à la réunion et encore moins si tout cela fonctionne correctement.

    Un Conservatoire à Rayonnement Régional qui se voit être délaisser par une gouvernance incapable ? Ou peut-être un problème de communication entre BERTILE et Mme Bello ? Une situation qui en vient à dégoûter plus d’un.
    Bonne journée.

  17. juste une toute petite question à Monsieur Montrouge :pourquoi on ne vous entend pas du tout dans l’affaire de virapoullé Jean Paul au sujet de prise illégal d’intérêt sur l’affaire de la maison de sa famille à Saint André ?comme par hasard on dirait que ce gros fait divers ne vous intéresse pas du tout!

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