Le 15 juillet dernier, Miguel S, 23 ans et sa compagne se disputent et il finit par la frapper. Elle quitte le domicile conjugal et se rend chez sa mère pour y passer la semaine et porte plainte. Lorsqu’elle retourne chez elle, elle remarque que Miguel a brûlé une partie de ses affaires et qu’en plus, il a passé la semaine à l’hôtel avec l’une de ses collègues.
Présenté au tribunal correction hier, Miguel écopera de huit mois de prison dont quatre avec sursis sans mandat de dépôt et a interdiction de se présenter au domicile de la victime et devra suivre un stage sur les violences conjugales.
A boina et à l’autre timbré : arrêtez vos délires. Les femmes réunionnaises comme toutes les autres femmes ainsi celle de votre culture n’apprécient pas les « bad boy » elles trouvent ça ringard nul et pathétique. Beaucoup d’entre vous feraient de prendre quelque cours de savoir vivre, d’écoute, de compréhension envers votre moitié et non pas faire travailler votre testostérone montrer vos muscles élevé la voix et brandir le poing. Apprenez à leur montrer votre douceur, votre sensualité et n’ayez pas peur de leur dévoiler votre sensibilité. Un homme ça pleure aussi, il souffre dans sa chair et son âme également. En jouant aux gros bras et à bomber vos pectoraux vous les faites fuir. C’est fini ça l’époque de l’homme des cavernes. Comportez-vous en homme sage c’est ainsi que vous le valez bien….
Pas de souci Darmanin s en occupe avec aussi le ministre des juges pas encore condamné….
ça un bon ti bad boy !
Tantine i yaime ça !
Viens pas pleurer après
Les réunionnaise elles aiment ça c’est la c’est « BON «
Ben quoi c’est la même approche que pour le vaccin il est contre. ca montre le niveau ici
Si après avoir été mise au courant des agissements de son affreux amant, la collègue continue d’avoir des rapports avec ce troudki, qu’elle ne vienne pas se plaindre quand il lui arrivera la même chose.
La collègue a pas passé la nuit de force à l’hôtel ?
Elle semblait consentante si on en dit pas plus.
Ça ne sert à rien de rester en couple si c’est pour vivre ainsi.
La collègue i vaut une monnaie aussi
Nena jument avec ti pois dans la tête