Le Réunionnais Nikos Typounoff publie son second roman

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Sandrine, qui a brillamment réussi toutes les épreuves et tous les tests, vient d’embarquer sur le vaisseau planète. Direction : le Soleil, Jupiter, Saturne, avant de quitter définitivement le système solaire… Elle participe à un projet hors du commun baptisé « Les voyageurs du temps ». Son objectif : découvrir une nouvelle planète habitable. Une quête tout aussi audacieuse qu’incertaine. En atten- dant, à l’intérieur du vaisseau planète, les quatre-mille volontaires doivent apprendre à unir leurs forces pour élaborer leur biosphère et réussir à subsister dans un contexte extrêmement périlleux. La tâche est ardue, mais l’espoir est leur moteur. Ils rebaptisent leur vaisseau Nadièjnéva, la nef espoir. Parviendront-ils à trouver ce qu’ils cherchent, et à fonder un nouveau monde sur des bases plus saines et plus égalitaires que celles de la vieille Terre ? Dans le tome 2 de cette saga futuriste et charnelle, Nikos Typounoff aborde une thématique très actuelle – l’espace, son exploration, sa colonisa- tion –, et sonde la psychologie de ces hommes et femmes qui optent pour l’exode volontaire.

L’auteur – Nikos Typounoff

Nikos Typounoff est né à Angers en 1942 de parents émigrés russes. Après une enfance chaotique, il fait ses débuts dans l’enseignement et la coopération militaire. Il se dirige ensuite vers l’informatique encore balbutiante où il évolue au fil de sa carrière. Marié, remarié, père de quatre enfants, grand-père de neuf petits-enfants, il rêve de liberté, d’égalité et de responsabilité individuelle et collective.

Extrait

Au mieux, ce voyage durera plusieurs dizaines d’années terrestres, peut-être quelques centaines. Ce sont vos enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants qui arriveront à destination. J’espère pour eux que nous ne nous sommes pas trompés dans nos recherches, calculs et prévisions. La survie de notre communauté représente le plus grand challenge de ce voyage est c’est pour le relever que vous avez été sélectionnés. Vous devez inventer une société sans guerre, maîtrisant une très haute technologie et les économies d’énergie. Cent mille jours sans Soleil, c’est très long et c’est le pari que nous allons faire ensemble. Tous ceux qui ne voudraient pas participer à ce projet totalement utopiste pourront nous quitter.

2 Commentaires

    • Eh oui, comme beaucoup de réunionnais, j’ai une ascendance très multi, culturelle, ethnique, sociale, etc… C’est en grande partie à cause de cela que j’ai choisi cette magnifique île comme terre d’accueil pour ma retraite.
      Réunionnais par choix, je me sens tout à fait adopté par mes amis et relations, qu’ils soient créoles ou métro ou autres et j’en éprouve un grand plaisir.
      Puissiez-vous en éprouver autant, je vous le souhaite.
      Nikos Typounoff

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