Dans un communiqué de presse, Guillaume Sellier, président des Jeunes agriculteurs de La Réunion, a exprimé une profonde inquiétude quant à deux problématiques majeures qui menacent l’avenir de l’agriculture sur l’île. Dans un courrier adressé au directeur de la Direction de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt (DAAF), l’organisation demande des mesures urgentes et des réponses claires face à des situations critiques qui pourraient impacter la viabilité des exploitations agricoles.
Incertitudes sur les paiements des aides agricoles
Les Jeunes agriculteurs craignent les conséquences de l’absence de garanties concernant le versement des aides agricoles. En plein contexte d’incertitude budgétaire nationale, l’inflation croissante et l’augmentation des coûts de production renforcent les inquiétudes. Selon Sellier, tout retard ou incertitude dans le versement de ces aides pourrait sévèrement affecter la stabilité financière des agriculteurs réunionnais, déjà sous pression.
« Nous demandons donc que la DAAF s’engage fermement à garantir le versement rapide de ces aides afin de préserver la stabilité financière de nos agriculteurs », a déclaré Sellier, soulignant l’urgence de la situation.
Pertes liées au cyclone Belal et inégalités d’indemnisation
Un autre point crucial abordé dans le communiqué concerne les conséquences du cyclone Belal, qui a causé des pertes considérables pour les agriculteurs, en particulier dans la filière canne. Les critères d’éligibilité pour les indemnisations, jugés excluants, laissent de nombreux planteurs sans soutien. Sellier a insisté sur la nécessité d’une révision des modalités d’évaluation permettant de mieux refléter la réalité des pertes subies.
« Nous réclamons une révision des critères d’indemnisation afin qu’ils prennent en compte les pertes réelles et qu’ils garantissent un accès équitable aux aides qui sont indispensables à la relance des exploitations », a-t-il ajouté.
Un appel à l’action
Les Jeunes agriculteurs de La Réunion appellent la DAAF à prendre des mesures immédiates pour prévenir une déstabilisation accrue du secteur. L’organisation se dit prête à engager un dialogue constructif pour explorer des solutions adaptées aux réalités du terrain.
Cette situation, qui pourrait avoir des répercussions dramatiques sur l’avenir des exploitations agricoles à La Réunion, nécessite une intervention rapide pour assurer la pérennité de l’agriculture insulaire. Les Jeunes agriculteurs espèrent que la DAAF répondra de manière proactive à leurs demandes cruciales.
zot vie les vraiment triste,mi trouve, un band la chiasse.
Aahah on a l’impression qu’à part raler et siroter un coktail comme on le voit si bien sur la photo, ils ne savant plus quoi faire.
Plus sérieusement, arrêtons d’utiliser toujours et depuis longtemps le même terme « sonnette d’alarme ». Ca perd tout son sens et c’est bien dommage.
L’agriculture sans subventions n’a jamais pu survivre et ça remonte à plus de 40 ans, j’ai toujours vu ça.
Donc soit on continue à subventionner soit on achete chinois et on fini comme avec les jouets : 95% viennent de chine.
Faudrait voir à arrêter à se tirer une balle dans le pied et acheter FRANCAIS ou europeen.
La responsabilité de la situation actuelle,nos politiciens en sont responsables,car au lieu de maintenue ceinture végétale en mi hauteur,on a autorisé la déforestation jusqu’au sommets des montagnes on en paie aujourd’hui les conséquences, Aujourd’hui ces mêmes hommes politiques viennent se plaindre de leurs erreurs. Aucun de ces élus proposent une végétalisation mais continuent leurs folies de tout bétonner et rasent les derniers coins de verdure qui avaient résisté aux tractopelles,sans prévoir les conséquences venir ,ils se dedouadeneront au moment de la tragédie qu ils n auraienypas anticipées,a bon entendeur salut.
La sonnette fonctionne encore ? Chaque année c’est la même chose. Alors allez acheter encore des sonnettes, vous aurez besoin pour l’année prochaine.
Pas que les agriculteurs , tout corps de métier y tire la sonnette, sauf les grandes plateformes , eux ils nous tirent le diable par la queue avec leur marge époustouflant et en prime la totale couverture du business a faire exploser les lignes budgétaires ! Merci Mr tapis local dans les années 90 a vouloir promouvoir économiquement votre île a ces envahisseurs a se féliciter que sur l’île a l’époque avec 650000 résidents plus de 30000 VN se vendaient ! Enfin c’est fait , ils ont tous pris ces grands bouffeurs hautains