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Les volontaires en service civique demandent plus de reconnaissance

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Les volontaires en service civique demande plus de reconnaissance dans le cadre de leur mission pendant cette crise sanitaire qui as bouleverser notre mode de vie et fragilisé notre pays.

Comme vous le savez, nous sommes plusieurs jeunes engagé(e)s volontairement en Service Civique pour être utile aux autres, pour servir notre nation qui fait face une crise sanitaire sans précédent. Nous risquons notre vie pour aider et soutenir les autres et sommes en majorité du temps expos directement au coronavirus.

Nous travaillons dans des associations, dans des établissements scolaires, dans des crèches, dans des Ehpad… mais pourtant nous sommes les travailleurs de l’ombre . Nous ne sommes pas reconnu notre juste valeur, au sens du devoir que nous accomplissons chaque jour et au service que nous faisons,
c’est la raison pour laquelle, j’ écris ce communiqué de presse suite aux avis que j’ai reçu de mes collègues afin d’interpeller les autorités, les élus et nos recruteurs sur le sacrifice que nous faisons quotidiennement pour eux. En dehors du devoir d’ être utile aux autres, nous participons la lutte contre la propagation du virus au sein des écoles en sensibilisant les élèves sur le port du masque et les gestes barrières. Au sein des associations, nous intervenons pour aider des personnes démunis ou fragile.

Au delà de cela, nous avons des personnes âgées des enfants, des parents, des petits frères et sœurs œ qui peuvent avoir des comorbidités et qui habitent près de nous, nous nous levons chaque matin pour prendre le chemin de la route pour nous rendre dans nos structures d’accueil. L’indemnité que nous percevons est insuffisante pour certaines d’entre-nous qui avons des enfants nourrir, des loyers payer  car ils existent des parents isolés, des protections hygiéniques acheter par nous-mêmes… Nous voulons tous simplement être reconnus notre juste valeur.

Je tiens par ailleurs ici, nous féliciter et nous encourager. Nous tiendrons ensemble en tant uni comme nous le sommes. Comme disait Georges Clemenceau Il n’y a qu’une façon d’ échouer, c’est « ç’est d’abandonner avant d’avoir réussi». Courage !

ZOUBERT Abdou-Roihmane
Volontaire en Service Civique
[email protected]

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