//

Retour en images : une marche solidaire contre la poliomyélite à L’Étang-Salé

1 min de lecture
1

Samedi 18 janvier 2025, la ville de L’Étang-Salé a vibré au rythme de la solidarité avec la marche organisée par le Rotary Club. Cet événement a rassemblé un large public, uni pour soutenir la lutte contre la poliomyélite, une maladie qui affecte principalement les enfants de moins de cinq ans.

Le maire, Mathieu Hoarau, a tenu à remercier chaleureusement toutes les personnes présentes, soulignant l’importance de ces mobilisations pour aider les plus vulnérables. Grâce à l’engagement des participants, la journée a été un véritable succès, reflétant l’esprit d’entraide et de solidarité qui anime la commune.

Découvrez les temps forts de cette marche solidaire en images, et restez mobilisés pour soutenir les initiatives qui changent des vies.

 

1 Commentaire

  1. « [Le SV40] est un virus complexe qui a été décrit comme la machine de guerre parfaite par… l’un des principaux chercheurs sur le SV40… il peut être transmis latéralement et verticalement… [et] il a probablement beaucoup à voir avec l’augmentation des taux de cancer depuis la mise en œuvre de la vaccination. »
    Suzanne Humphries (@DrSuzanneH7
    ), médecin et co-auteure de Dissolving Illusions, décrit pour Vaccine Choice Canada (
    @VaccineChoiceCA

    À quel point le virus simien 40 (alias SV40) est dangereux, comment il est présent dans les « vaccins » et comment il « a probablement beaucoup à voir avec l’augmentation des taux de cancer depuis la mise en œuvre de la vaccination ».
    Humphries, qui a passé plus d’une décennie à effectuer des recherches approfondies sur les « vaccins », note que Michele Carbone, une chercheuse de premier plan sur le SV40, a même qualifié le virus de « machine de guerre parfaite ».
    « Le virus simien 40 est un virus complexe qui a été décrit comme la machine de guerre parfaite par le Dr Michele Carbone, l’un des principaux chercheurs sur le SV40 », explique Humphries.
    « Il faisait des recherches sur les méningiomes ou autres. Il ne s’agissait probablement pas de méningiomes, mais de gliomes ou de glioblastomes du cerveau. Et ils ont découvert qu’ils pouvaient trouver le virus dans la tumeur, mais pas dans les tissus environnants, ce qui était une révélation. »
    « Ce qui s’est passé avec le SV40, c’est qu’il n’était pas présent dans la population humaine. Il existe donc de nombreux virus qui n’ont pas affecté l’humanité jusqu’à ce que nous commencions à utiliser des aiguilles et à injecter des substances fabriquées en laboratoire. Le virus simien 40 était l’un d’entre eux, [qui] n’a pas été détecté au début parce que personne ne le connaissait. Et donc, comme il faut fabriquer des vaccins sur une sorte de substrat, ils utilisaient des cellules rénales de singe vert. »

    « Si vous regardez les ingrédients d’un vaccin contre la polio sur la notice, vous verrez que des cellules rénales vertes de singe sont toujours présentes.

    On suppose qu’ils ont éliminé le SV40 de la population de singes, donc ce n’est plus un problème. Bien que certaines personnes affirment qu’il était encore présent dans certains stocks.

    [Et] une chose que j’ai déterminée, c’est que la fabrication d’un vaccin est bien plus compliquée que je n’aurais pu l’imaginer. Mais vous avez donc des solutions de réserve que vous utilisez pour inoculer vos tissus.
    « [Et] il y a un chercheur ces jours-ci qui étudie la structure génétique de ce qui se trouve réellement dans les vaccins COVID et découvre qu’il y a des morceaux d’ADN du plasmide en plus des ARNm qui étaient censés être là et qu’il y a aussi des morceaux du virus SV40 à l’intérieur. Et dans certaines conditions, cela peut être un problème pour les personnes qui sont à l’autre bout de l’aiguille. Eh bien, c’était probablement encore plus vrai dans les années 1950 avec le virus SV40 parce qu’ils ne savaient pas qu’il était là. Il y aurait eu un nombre énorme de copies. Et puis quand ils sont passés au vaccin oral, ils n’auraient pas utilisé d’agents pour tuer le virus pour l’inactiver.
    « Donc, dans certains cas, il y avait plus de copies du SV40 que de copies du vaccin antipoliomyélitique oral. Et le SV40 peut être transmis latéralement et verticalement. Vous pouvez donc le transmettre à vos enfants, et vos enfants peuvent se le transmettre entre eux. Et il fait partie de l’humanité, et il est là pour rester. Et il a probablement beaucoup à voir avec l’augmentation des taux de cancer depuis la mise en place de la vaccination. »

Laisser un commentaire

Your email address will not be published.

Article précédent

La Plaine des Palmistes : coupures d’eau ce lundi 20 janvier dès 13h30

Article suivant

Une belle compétition athlétique à Joli-Fond, Saint-Pierre, pour clôturer les vacances des marmailles

Free Dom