Martinique, 2 leaders de l’intersyndicale contre l’obligation vaccinale décèdent de la covid-19

1 min de lecture
23

Le président de la Fédération des Taxis Indépendants de Martinique(FTI 972), Alain Decaille, 61 ans, qui était l’un des leaders de l’intersyndicale contre l’obligation vaccinale pour les soignants et la vie chère, était hospitalisé depuis trois semaines touché par la Covid-19 et soigné en réanimation, selon le CHU de Martinique, il est décédé ce lundi 20 décembre 2021.

En Martinique, Alain Decaille était mobilisé contre l’obligation vaccinale pour les soignants, plusieurs syndicats d’artisans taxis, il avait organisé une opération escargot sur les routes de l’île.

Le président du syndicat pour la défense des artistes martiniquais, Aimé Agat, est aussi décédé lundi, à l’âge de 48 ans, après avoir été hospitalisé en réanimation, selon le CHU de Martinique.

Selon des sources syndicales, les deux hommes « auraient » été contaminés à l’occasion d’une réunion de travail, avec la préfecture, comme d’autres participants dont Stanislas Cazelles, le préfet de la Martinique qui d’ailleurs avait été testé positif début décembre 2021.

 

Aimé Agat et Alain Decaille s’étaient engagés dans l’intersyndicale qui avait lancé un appel à la grève générale le lundi 22 novembre 2021, pour marquer son opposition à l’obligation vaccinale et au pass sanitaire.

23 Commentaires

  1. Mdr…le parti prit des média…on ne parle pas des gens qui meurt d’avc…avec le vaccin…lé médecin dise que l’avc a la réunion est la 1ere cause se mortalité…mais kan la personne est sportif et jeune sans antécédent sa fait peur…car la publicité mangé bougé serait un fak news

  2. Certains veulent encore des preuves sur les ravages que cause cette épidémie quand ce n’est pas la mort. Eh bien les hôpitaux leur en donnent tous les jours pourtant. Ces personnes osent même mettre en doute la parole des scientifiques. Alors ceux qui se croient beaucoup plus intelligents et qui cependant ne volent pas plus haut qu’une mouche, donnez nous la solution afin de sortir de cette crise s’il vous plait.

  3. On ta fait croire qu’il y avait une crise…pas si lonten qe sa demoun té mort de la grippe de la chaleur et i continu encor mais bon covid na bon dos ou na la grippe test covid ou na mal o ventre test covid out tête i fait mal test covid volcan la pété test covid donc bana i faot croir a ou le covid le covid in moun i mett vaccin i mort cé pas le vaccin mort naturel…in moun i fait un malaise na le covid mort du covid lol tou depen comment ou veu lir ma chose…mon marmaille tavé covid a nou na pas gagné comment i fé? Médecins i di aou cé la chance haha et 4 et 5 eme dose

  4. Ils ont pris leur responsabilité de refuser le vaccin : pourquoi en faire polémique maintenant , c’était leur choix !
    Moi j’ai 66 ans je suis soigné pour l’asthme et la tachycardie : j’ai mes trois doses c’est mon choix et je me porte bien pour le moment .

  5. mes sinceres condoleances! il faut qu’ils arretent ces ultra riches avec cette crise que dieux vous maudisse, toutes ces personnes qui s’y sont opposés ont payés de leur vie, mais il y’a aussi ce qu’on appelle le retour de baton…

  6. « Dans cette vidéo (voir ci-dessous), le Pr Michaël Peyromaure, chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin à Paris et auteur de « Hôpital, ce qu’on ne vous a jamais dit » aux éditions Albin Michel, répondait à Sonia Mabrouk. Les questions portaient sur l’état de l’hôpital, le risque de saturation des hôpitaux, l’obligation vaccinale déguisée, le passe sanitaire ou passe vaccinal, le variant Omicron et la vaccination des enfants de 5 à 11 ans.

    « Moi, je considère que le passe sanitaire sur le plan fondamental est une espèce de discrimination, c’est-à-dire qu’on autorise certaines personnes à avoir recours à certaines activités sur un critère médical. Le principe me heurte et ça devrait être une mesure d’exception, or on constate que ça va durer. A titre personnel je ne suis pas très favorable au passe sanitaire. »

    Loin de la langue de bois, le Pr Peyromaure assure dans des propos explosifs que « le reproche qu’on peut faire au passe sanitaire et donc bientôt au passe vaccinal, c’est qu’il y a des millions de gens qui se sont fait vacciner pour rien parce qu’ils ne sont pas à risque. Tous les jeunes, par exemple, tous les gens qui ont 40-50 ans. […] il aurait fallu cibler les gens à risque et laisser le virus circuler chez tous les autres. »

    A la question les non-vaccinés sont-ils responsables de l’engorgement des hôpitaux, sa réponse est « Non je crois qu’il faut attribuer le délitement de l’hôpital à tous nos politiques à tous nos gouvernants successifs de droite de gauche et du centre qui n’ont rien fait pour sauver cette institution […] toutes les mesures qui ont été prises ces dernières années pour l’hôpital sont allées dans le même sens, c’est-à-dire une gestion très comptable, très rigide. Le pouvoir a imposé à l’administration la mise au pas des soignants, la mise à l’écart de notre mission de soins. »

    Le professeur pointe l’état de son service et ses conséquences catastrophiques : « Notre service d’urologie à l’hôpital Cochin a toujours 50 % de ses salles d’opération fermées, faute d’infirmières de bloc, ce qui est tout à fait considérable parce que nous déprogrammons chaque semaine des patients. On estime que ces derniers mois on a dû reporter ou annuler 380 interventions chirurgicales rien que dans notre spécialité. » »

  7. Continue manifeste contre le vaccin na tro soidizan connaisseurs i di du mal si un remede i protege a nous seye donne lesson aux autres..sete la pas compris continuer dans ce sens…..que le vaccin i tue band kouyon le comme chevrette na la taye dan la tête …vive le vaccin

Répondre à Bolo Annuler la réponse

Your email address will not be published.

Article précédent

St-Joseph : un homme retrouvé mort à proximité du collège Achille-Grondin

Article suivant

Reprise des vols commerciaux en provenance et à destination de Pierrefonds après 21 mois de suspension

Free Dom