L’Assemblée nationale a récemment adopté en première lecture un projet de loi d’urgence pour Mayotte, une mesure saluée par le ministre d’État, ministre des Outre-mer. Cette initiative vise à répondre à la crise actuelle soumise par le cyclone Chido, qui a dévasté l’île le 14 décembre, exacerbant une situation déjà précaire. Le ministre a souligné que ce texte, enrichi par de vifs débats parlementaires, marque une étape cruciale dans les efforts de reconstruction de ce département français.
Pour faire face à l’urgence, le gouvernement a défini une méthode en trois temps : d’abord, assurer une gestion immédiate de la crise, ensuite mettre en œuvre des mesures de reconstruction, et enfin procéder à une refondation structurelle à travers un projet de loi programme intitulé « Mayotte Debout ». Ce processus a vu le nombre d’articles dans le projet de loi passer de 22 à plus de 45, reflétant ainsi la richesse des discussions et des propositions soulevées.
Les principales dispositions de ce texte incluent la création d’un établissement public dédié à la reconstruction, permettant une coordination efficace des efforts. En réponse à l’urgence éducative, le gouvernement se voit attribuer temporairement les compétences de construction et de réhabilitation des écoles publiques. Le projet de loi prévoit aussi des adaptations des règles d’urbanisme et de commande publique, facilitant ainsi la participation des entreprises mahoraises. De plus, la mise en place de mesures sociales temporaires vise à soutenir la population touchée par la crise.
Les débats au sein de l’Assemblée nationale ont également permis de introduire des mesures concrètes contre l’habitat illégal, un fléau persistant sur l’île. Cela inclut des restrictions sur la vente de tôles aux particuliers pour lutter contre la construction illicite et une ordonnance visant à combattre les bidonvilles, autorisant des interventions rapides.
L’adoption de ce projet de loi par une large majorité souligne une volonté collective de ne pas laisser Mayotte sombrer davantage dans la crise. Le gouvernement réaffirme son engagement à reconstruire l’île sur des bases solides, affirmant que cette loi n’est qu’une première étape dans une série d’initiatives à venir. Alors que le texte se prépare à être examiné au Sénat, les attentes de la population mahoraise restent élevées quant à la réponse rapide et efficace des autorités face à cette situation d’urgence.
Personne ne pourra rien faire contre l’insécurité à la réunion, quand on se réveillera il sera trop tard. qui à le droit d’arrêter ce bordel ? les députés et sénateurs, mais comme tout ce petit monde se cache , alors ont va le dire aux prochaines élections. il y à toujours une fin à tout.
mi aime biens l’assemblé nationnale i adopte mais mi éspere que dans la pratique va faire !mais mis crois pas avec ce gouvernement? pas avant 15 ans!
Il faut surtout prend toute lo band gratelle lé ici na courage et la force tape do moune sans punition envoye à zot reconstruit zot pays et attente que réunionnais y donne à zot toute