Face à l’accroissement de 75% des agressions violentes contre les bus, face aux 269 incidents incidents (et le terme est faible) enregistrés depuis le début du marché des transports scolaires en août 2021, aux derniers épisodes de violence tristement quotidiens, le président du Conseil départemental Ben Issa Ousseni renouvelle « sa condamnation la plus ferme de ces « violences inacceptables qui pourrissent le quotidien des élèves, des chauffeurs et des transporteurs.
« Mon empathie est totale à l’endroit des victimes ou des cibles de ces agressions insupportables » indique le président, qui ne souhaite pas en rester là. Les réunions partenariales se multiplient avec l’ensemble des partenaires pour rechercher des solutions. Le Département va d’ailleurs délibérer à nouveau lors de la prochaine Assemblée Plénière du 22 novembre 2022 pour préciser les modalités de répartition de l’enveloppe financière des 53 450 euros concernant l’ensemble des bus. Un accord de principe est acté pour une indemnisation des prestations à 80% sur une durée de 48H, le temps d’une remise en l’état des véhicules caillassés. Au-delà des mesures concrètes déjà entérinées, le Conseil départemental s’engage à travailler avec l’État à la mise en place d’une police des transports, qui est nécessaire. En lien avec les maires, une réunion partenariale permettra de définir les modalités d’implication des polices municipales. La mise en place d’une cellule psychologique par Transdev s’inscrit également dans les mesures déjà opérationnelles. Il est souvent rappelé que la sécurité demeure une responsabilité régalienne de l’État. Pour autant, nous prenons avec l’ensemble des acteurs concernés toutes nos responsabilités pour mettre fin à ces agissements récurrents ou pour réagir quand ils se produisent. Cela va bien au-delà des questions de compétences. Nous comprenons l’exaspération légitime des parents d’élèves et des élèves eux-mêmes. La nôtre est la même. Nous sommes mobilisés, vigilants. Nous entendons, aux côtés de tous, faire le nécessaire pour que cette situation récurrente s’améliore » indique le président du Conseil départemental Ben Issa Ousseni.
fouton leur la paix donnons leur l indépendance c bawawa
Tant que c est entr eux qu ils restent dans leur zoo
Donnons leurs des armes ,à la fin il restera peau d’ balle !
bizarrement le système ont peur des makwas et se sentent inutile a Mayotte,et ici a la Réunion le système et les oligarches et la classe dirigeante se permettent d’utiliser le système et pacte colonial contre nous les réunionnais et après ils osent dire que c’est kreol les sauvages, allez mangent in blade chaud colonialiste du dimanche et fachos au rabais
bizarrement le système ont peur des makwas et se sentent inutile a Mayotte,et ici a la Réunion le système et les oligarches et la classe dirigeante se permettent d’utiliser le système et pacte colonial contre nous les réunionnais et après ils osent dire que c’est kreol les sauvages, allez mangent in blade chaud colonialiste du dimanche et fachos au rabais
Chien de kaf , lé comme boina ! Li retrouve enfin ses frères, son cultur,son coulér…
Département inutile…na rien a faire avec ses gens là, zot ADN c’est la violence.
Rendez Mayotte aux Comores et tout ira mieux.
A Ras le bol ou na tout a fait raison
Faut fournir les armes pour qu ils s entretient la bas
Blablablabla