Devant l’entrée de l’hôtel RADISSON au Barachois, rue Doret, sur le front de mer de Saint-Denis ce dimanche 3 novembre 2024, un différend entre sans-abri a dégénéré, conduisant à une violente agression au couteau.
La victime, âgée entre 50 et 60 ans, a reçu plusieurs coups de couteau au thorax.
À l’arrivée de la BAC, la victime ne respirait plus. Un équipage a immédiatement entamé un massage cardiaque, tandis que l’auteur présumé de l’agression a été interpellé par une autre équipe de la BAC, en possession de la présumée « arme du crime », un grand couteau.
Réactions
Faouzia Vitry, conseillère municipale de l’opposition : « la montée de la violence à St-Denis, un constat préoccupant !
« Récemment, notre commune a été le théâtre de deux incidents violents notables.
Hier, une commerçante du centre-ville a été attaquée Julie Sidiot, et aujourd’hui, un meurtre au couteau…, des événements qui soulignent une tendance inquiétante.
Ces faits, bien que tragiques, ne doivent pas être utilisés pour créer une atmosphère de panique, mais ils mettent en lumière une réalité : la violence semble augmenter dans la Ville de Saint-Denis. Alors que la mairie ne cesse de minimiser les choses à chaque conseil municipal, il est essentiel de reconnaître que la situation évolue et que des efforts doivent être faits pour y remédier.
Il est important d’aborder ces événements avec sérieux en appelant à une prise de conscience collective. La sécurité de nos citoyens est primordiale, et il est crucial que les mesures appropriées soient mises en place pour garantir un environnement paisible et serein.
Plutôt que d’ignorer ou de minimiser ces incidents, il est temps d’engager un dialogue constructif sur les solutions possibles pour lutter contre cette montée de la violence et assurer la sécurité de tous. En fin de compte, il s’agit de travailler ensemble pour préserver la tranquillité de notre commune, tout en restant attentifs aux réalités qui se présentent à nous. Toutes mes condoléances à la famille de l’homme qui aurait été poignardé ce soir
Et tout mon soutien à Julie SIDOT- SIDIOT LINGERIE »
la VITRY, est de sortie, celle qui lisait ce que sa « petite vipère » lui dictait à la lettre à lire à la region. qu’est ce qu’on se marre avec Begue, VITRY, Farid & co. de retour les incompétents notoires. laisse Bareigts travaille siouplait
madame la maire votre vill n’est plus en sécurité alors bouger un peu pour irradier être monté de violence cessez la pédagogie passe o hose sérieuse
pourtant dernièrement madame la maire t o centre vill avec plein de policiers pourquoi i mettre pa des agents avsp ou des policiers municipaux pour sillonne la vill car st deni on est plus en sécurité avec ses sdf et pire encore avec des gens de certains communautés
te bin arete ek sarette la mem lo dodo talere nora pi kreol la reunion
Gansta ces menaces faut pas en tenir compte c’est un gamin de 14 ou 15 ans qui est derrière cela ce petit jeune à mon avis écoute trop du Rap violent c’est une façon pour lui de faire allégeance au rappeur tout simplement voila comment j »analyse la situation
Pas encore Bolo de toute façon on sait où les trouver et oû ils vivent et il y a des créoles qui ont des armes aussi mais ils ne bougent pas pour le moment je dis bien POUR LE MOMENT …
Ca y est ils sont passés a l action ? Ils voulaient s attaquer aux creoles ?
Bolo sa n’a rien avoir c’est deux hommes agés de 60 ans SDF les deux y’a eu un différent entre les deux qui à finit en agression avec arme blanche l’homme qui est décédéà étépoignardéau thorax et à l’abdoment faut arreter de stigmatiser komsa mon enfant
Bolo sa n’a rien avoir c’est deux hommes agés de 60 ans SDF les deux y’a eu un différent entre les deux qui à finit en agression avec arme blanche l’homme qui est décédéà ét époignardé au thorax et à l’abdomen faut arreter de stigmatiser komsa mon enfant
Bolo sa n’a rien avoir c’est deux hommes agés de 60 ans SDF les deux y’a eu un différent entre les deux qui à finit en agression avec arme blanche l’homme qui est décédé à été poignardé au thorax et à l’abdomen faut arreter de stigmatiser komsa mon enfant