Une auditrice nous appelle très inquiète. Son frère a appris que son collègue est atteint du variant sud-africain de la covid-19, mais aucun protocole n’est mis en place sur le chantier et surtout, il doit continuer à travailler… Pas de masques, pas de distanciations sur son lieu de travail…
Ecoutez :
C’est du grand n’importe quoi.
J’ai eté testé positive le 23 mars dernier par hasard car asymtomatique. Je travail dans une entreprise privée avec un trentaine de collegue en open space. Et AUCUN d’entre eux n’a été contacté par l’ARS. Certains se font fait depisté par conscience mais la majorité ne sont pas testé. Que fait les pouvoirs publics?
J’ai eu le variant sud africain. J’ai listé mes collègues en qualité de cas contact et j’ai remis le tout, à l’ARS, avec les coordonnées. Aucun n’a été appelé par l’ARS. Ils sont allés faire des tests parce que moi, je les ai avertis!
Le virus circule et tout le monde travaille et la maladie se propage! C’est l’économie qui prime sur nos vies!
On vous demande de rester 10 jours en isolement (ce que j’ai fait) mais combien respecte cela?
Ce virus a encore de beaux jours devant lui, avec les autorités qui protègent les intérêts des patrons! Vaccinons-nous (avec les effets secondaires) mais il faut que l’économie tourne!
J’ai envie de dire que l’ouvrier il peut se prendre en charge aussi, les masques sont en vente libre, la distanciation sur un chantier ça peut se faire plus, facilement sur un chantier que dans un bureau quand même et si il se casse une jambe il se fout en arrêt non ? Avec la covid tout est facile puisque un simple clic sur mordu est t’es en arrêt. Faut pas avoir inventé l’eau chaude quand même !