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« Née sous X à l’hôpital de Saint-Pierre en 1976, je recherche mes origines ! »

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Denise Jeanne recherche ses origines. Née sous X en 1976, elle a été adoptée à l’âge de 3 mois et a quitté son île natale à l’âge d’un an. Aujourd’hui, elle recherche ses origines, ses racines et peut-être même un proche ?

« Je suis née sous X à l’hôpital de Saint-Pierre le 24/10/1976 sous le patronyme de Denise Jeanne. J’ai été adoptée à 3 mois par un couple de métropolitain et j’ai quitté l’île à 1 an. De mon histoire je ne connais rien du tout, mes recherches sont uniquement dans le but de connaitre mes origines, mes racines et certainement pas pour faire des reproches ou des critiques à qui que ce soit.
Mes recherches m’ont amenée à rencontrer un garçon également né sous X à Saint-Pierre le 27/10/1976 sous les noms et prénoms de Luc Jean. Nos identités et notre lieu de naissance ont tous les deux été modifiés au même moment heure pour heure à la mairie de Saint-Denis.

Ceci n’est pas une situation anodine. Peut-être que deux enfants abandonnés à 3 jours d’intervalle dans le même hôpital va rappeler des souvenirs à quelqu’un ? Sommes-nous des enfants Debré ou s’agit-il de réelles naissances sous X ? Si quelqu’un à un indice quelqu’il soit vous pouvez me joindre sur Facebook : Née sous X 24/10/1976 La Réunion. »

9 Commentaires

  1. Enfoiré d’ bolo ! Lol ! Vous m’faites penser au sens giratoire de Raymond Devos. Tout l’ monde va dans un même sens sauf le banquier bien évidemment et vous c’est pareil. Tout le monde est compatissant dans leur com et vous, vous êtes sarcastique. Bref, mais sarcastique tout d’ même. Ça dénote rien de particuler derrière un clavier …

  2. et personne ne décide de venir au monde,mon cœur de maman est triste de voir qu’il puisse exister des gens inhumain comme vous

  3. Parler sans savoir dire de telles choses tout en ne sachant pas l’histoire.vous devais étre bien malheureux dans votre vie mais sachez bien que Parler en mal des autres sans savoir ne vous rendra pas heureu

  4. Bolo, comment pouvez-vous dire sa. Une mère tel qu’elle soit resté une mère. Et je pense qu’en 76 ct la misere elle a choisi le meilleur pour son enfant.

  5. Les parents n’avaient pas le choix mais avec la PMA sans père c’est délibérément que l’on va priver des enfants de leur véritable filiation.

  6. A l’époque, les aides sociales n’existaient pas comme aujourd’hui, les pauvres mères abandonnaient souvent leur progéniture, sachant ne pas pouvoir subvenir à leur besoins.
    Triste époque, et aujourd’hui, c’est l’inverse qu’il se passe, on enfante pour les minimas sociaux.

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