En créole on dit « bèsement dans la cour Patel »… Ça commence mal et ça tombe mal ! Ça commence mal pour le nouveau gouvernement et ça tombe mal pour l’anniversaire de l’Urcoopa qui fête ses 40 ans ce vendredi 27 septembre, avec pas moins de 1 500 invités pour le gueuleton géant. Un chef de gouvernement contraint de faire carpette devant les uns et les autres, y compris devant Marine Le Pen, la patronne du Rassemblement National (RN) et le président de l’Urcoopa qui crie haut et fort que la Soficoop (la holding financière du Groupe qui compte une cinquantaine de sociétés dont de nombreuses en situation de monopole) mais qui, dans le même temps, va régaler 1 500 convives au cours d’une soirée où le champagne devrait certainement couler à flots. Un Premier ministre obligé de s’excuser platement en raison des maladresses verbales commises par ses ministres et une direction celle de l’Urcoopa, obligée de se justifier via un communiqué de presse bourré de fautes par rapport à la fiesta de ce vendredi. Je vous explique tout ça dans un instant.
Mais d’abord, un petit mot sur l’affaire présumée de corruption pour laquelle l’homme d’affaires François Caillé, la directrice du Groupe Caillé Nelly Darouèche, un agent communal de la mairie de Saint-Paul et David Vital, un « porteur d’affaires » ou de « clients » ont été entendus, il y a deux semaines par les policiers de la brigade financière de Malartic, avant d’être libérés, en attendant la fin des investigations et, vraisemblablement, une convocation devant la Correctionnelle. Nous n’en sommes pas encore à ce stade. L’enquête, je vous l’avais dit la semaine dernière, se poursuit. J’ai lu cette semaine sur « Zinfos 974 » que « la maison de David Vital a été saisie ».
D’après mes informations, David Vital n’a pas de maison. La villa en question est la propriété d’une SCI dont la grande majorité des parts est détenue par les parents de David Vital. Toujours d’après mes informations, c’est une maison qui a été achetée à crédit ; Elle n’a pas fini d’être remboursée et le prêt contracté auprès des banques s’élève à 500 000 €. Autrement dit, elle n’aurait pas été financée par des pots-de-vin. David Vital et François Caillé se connaissent. Ça, c’est un fait. Ils se connaissent même depuis très longtemps, de la même façon que quasiment nombre d’employés de Peugeot, la concession automobile du Groupe Caillé, connaissent David Vital comme « apporteur de clients ».
La guerre des poulets aura-t-elle lieu ? Les salariés d’Evollys parlent de « la grande manipulation de l’Urcoopa »
Voilà pour l’introduction. J’en arrive maintenant aux 40 ans de l’Urcoopa, à l’anniversaire fastueux prévu ce soir à Cambaie (Saint-Paul) que les salariés ne dissocient pas du dossier de l’abattoir de l’Etang-Salé, que l’Urcoopa souhaite reprendre à EDG (Entreprise Duchemann&Grondin). D’où la requête que l’Urcoopa a formulé auprès du Tribunal mixte de commerce de Saint-Denis. La guerre des poulets aura-t-elle lieu ? Comme vous le savez, l’Urcoopa veut remettre en cause le protocole d’accord qui avait été signé le 5 octobre 2017. L’Urcoopa estime aujourd’hui que ce protocole d’accord signé par les sociétés SOFICOOP, EVOLLYS PRODUCTION, EVOLLYS SERVICES SUPPORTS, EVOLLYS COMMERCIALISATION, ABATTOIR DUCHEMANN et GRONGIN, Monsieur Cédric DUCHEMANN et Monsieur Olivier GRONDIN et dont l’objectif était d’organiser les modalités de création d’une filiale commune ayant pour objet l’achat, la transformation, la commercialisation, la collecte, le transport pour compte propre et la logistique de tous produits de la filière avicole, « est fortement déséquilibré ».
Selon l’Urcoopa, cet abattoir a été financé en grande partie par et grâce à elle. L’Urcoopa considère que « la valeur ajoutée de l’exploitation de l’abattoir est, en outre, actuellement et depuis l’exécution du Protocole, transférée indirectement à Monsieur Cédric DUCHEMANN, que le Protocole contient des dispositions défavorables à SOFICOOP (ndlr : qui est la banque de la cinquantaine de sociétés du Groupe) et au-delà à l’ensemble du Groupe, que cet état de fait a engendré des déséquilibres durables dans l’exploitation de la Requérante et des entités qui lui sont liées et que « ces déséquilibres pourraient être qualifiés de changements de circonstances imprévisibles qui rendent l’exécution du Protocole par SOFICOOP excessivement onéreux dans le sens de l’article 1195 du Code civil ». L’Urcoopa demande aux juges du Tribunal de commerce l’ouverture d’une procédure de mandat Ad Hoc avec désignation de Maître Maxime Langet comme administrateur judiciaire pour assister la requérante, c’est-à-dire le Groupe Urcoopa. Verdict des juges du Tribunal du commerce le jeudi 10 octobre prochain.
En attendant cette date, et pendant que les 430 salariés de l’abattoir de l’Etang-Salé stressent car ne sachant pas à quel cari ils vont être mangés, l’Urcoopa, de son côté, a décidé de faire la fête en célébrant en grandes pompes ses 40 ans. Un anniversaire qui tombe mal pour l’Urcoopa, « la requérante ».
En effet, l’Urcoopa va souffler ses 40 bougies ce vendredi soir, 27 septembre, à partir de 18 heures sur son site de Cambaie à Saint-Paul. Une grande fête sera organisée à cette occasion et l’on imagine que son président Henri Lebon ainsi que toute l’équipe de direction vont mettre les petits plats dans les grands pour accueillir, comme il se doit, les 1 500 invités. On n’a pas tous les jours 40 ans ! Sauf que, dans sa requête présentée au Tribunal de commerce pour remettre la main sur l’abattoir de l’Etang-Salé, le président de l’Urcoopa écrit noir sur blanc que la holding financière du Groupe, à savoir la Soficoop, se trouve en grande difficulté financière. En clair, qu’elle est « presqu’oki » et qu’il lui faudra reprendre la direction de l’abattoir Evollys afin de se refaire une santé. Rappelons que lorsque l’Urcoopa était à la tête de l’abattoir de l’Etang-Salé jusqu’en 2017, celui-ci était présentait, notamment pour la période 2015-2017, des pertes cumulées de l’ordre de 23 millions d’euros et que depuis 2017, depuis la prise en main par EDG, et plus précisément pour la période 2021-2023, le résultat cumulé de l’abattoir est positif à hauteur de 12millions d’euros.
Il faut savoir que la Soficoop, la holding financière de la cinquantaine de sociétés que compte le Groupe Urcoopa, a été placée en sauvegarde financière, qui généralement précède l’étape de redressement judiciaire. Dans sa requête, l’Urcoopa avance deux raisons pour expliquer cette situation : l’inflation et l’abattoir. « le contexte inflationniste impacte donc l’activité de SOFICOOP et du Groupe en général tant au niveau de ces charges d’exploitation qu’au niveau de son produit d’exploitation », écrit l’Urcoopa dans sa requête. Concernant l’abattoir, l’Urcoopa précise : « de manière plus globale, la filière régionale avicole est aujourd’hui dans une situation fragile en raison des conditions d’exécution du Protocole. Il y a urgence à régler le contentieux latent mais néanmoins nuisible entre les parties au Protocole ». Publiquement, via certains sites d’information, Henri Lebon fait totalement abstraction du facteur « inflation » pour ne se concentrer que sur l’abattoir de l’Etang-Salé et EDG.
« Na poulet sous galet » (en français : il y a anguille sous roche)
Et dans un tel contexte financier pour la Soficoop, comment trouver les moyens d’organiser une méga fiesta avec 1 500 convives ? C’est la question que se posent les salariés d’Evollys. Dans un communiqué (truffé de fautes qu’on a dû corriger) qui nous a été adressé, le service Communication de l’Urcoopa justifie l’évènement de ce soir : « cet anniversaire est planifié pour le 27 septembre depuis presqu’un an. Etablir un lien direct ou indirect entre cet anniversaire et la situation actuelle de l’abattoir Evollys est hors de propos ».
Ok, admettons ! Ainsi, selon le service Com’ de l’Urcoopa, il n’y aurait pas de lien entre cet anniversaire et l’abattoir de l’Etang-Salé. Mais à en croire ce qui est mentionné noir sur blanc dans la requête de l’Urcoopa à propos de l’abattoir, il doit bien exister un lien entre la Soficoop et cet anniversaire. Comment expliquer que la Soficoop se trouve en difficulté financière (procédure de sauvegarde) mais que, dans le même, elle trouve un budget (les salariés parlent de 500 000 €) pour accueillir et nourrir pas moins de 1 500 invités le temps d’une soirée durant laquelle les convives seront directement servis à table. « Un tel évènement est exceptionnel. Il est entièrement financé par URCOOPA – Nutrition animale pour un montant confidentiel, bien éloigné du chiffre de 500 000 euros qui a été avancé par un communiqué de presse signé des salariés de l’abattoir Evollys. SOFICOOP, qui est en procédure de sauvegarde depuis août 2023, ne participe pas de manière directe ou indirecte, au financement des 40 ans de URCOOPA-Nutrition animale », insiste le communiqué de l’Urcoopa, en rappelant de façon un peu « gros doigt » que « sur les 1 200 salariés que compte les 30 sociétés du groupe URCOOPA, seuls les 190 salariés de l’Unité Economique et Sociale (UES) qui comprend Urcoopa Nutrition animale, Proval, Petfood, Irris, GESIC et Soficoop, sont conviés à cette soirée anniversaire ». Voilà qui fera plaisir au millier de salariés qui, eux, ont été « évités ». Lesquels aujourd’hui n’hésitent pas à parler de « manipulation de l’Urcoopa ». Ils suspectent l’Urcoopa de vouloir remettre la main sur Evollys « afin de puiser dans les résultats positifs de l’abattoir et détourner les flux vers les autres branches en difficulté du Groupe ».
Donc pour résumer, selon l’Urcoopa, la Soficoop se trouverait en grande difficulté financière. C’est l’Urcoopa qui finance la méga fiesta ; Laquelle Urcoopa veut reprendre l’abattoir de l’Etang-Salé qui gagne de l’argent. L’Urcoopa qui se positionne aussi pour l’acquisition de Cogedal et Gamm Vert. Les salariés de l’abattoir Evollys, qui n’en veulent plus de l’Urcoopa, crient à « la manipulation ». Il y aurait « poulet sous galet » (anguille sous roche en français).
Nouvel’ R : deux maires qui traînent encore un peu des pieds
Les salariés de l’abattoir n’en démordent pas : « il s’agit d’une manipulation dangereuse, car en mettant artificiellement la Soficoop en situation de crise, l’Urcoopa peut mettre en danger l’ensemble de son Groupe, mais aussi créer un précédent dangereux pour la sérénité du Droit des affaires ! Cela voudrait dire que, pour casser un contrat commercial en bonne et due forme, un groupe puissant comme l’Urcoopa peut créer une situation de difficulté pour une seule de ses filières (pas n’importe laquelle, c’est la « banque » du groupe !), la mettre en procédure de sauvegarde et réclamer une rupture impossible à argumenter autrement ». A suivre !
J’en arrive à la politique, à présent. D’abord la politique locale. Deux mots sur « Nouvel’ R », ce nouveau mouvement en cours de constitution et initié, entre autres, par Cyrille Melchior, le président du Département. Nouveau mouvement qui devrait être officiellement et publiquement présenté d’ici à fin octobre. Une réunion (sans doute la troisième) s’est déroulée dernièrement à la mairie de Bras-Panon, salle Raymond Barre. Comme je vous l’ai déjà dit, ce mouvement sera composé des maires de droite et du centre, de conseillers départementaux, régionaux. Sans oublier tous les autres « départementalistes » qui souhaiteraient s’encarter.
Pour l’heure, d’après mes informations, deux maires auraient tendance à un peu traîner des pieds : Juliana M’Doihoma, maire de Saint-Louis et Bruno Domen, maire de Saint-Leu. La première ne voit pas tout à fait d’un bon œil la présence de Bachil Valy, maire de l’Entre-Deux, dans ce mouvement pour la simple et bonne raison qu’elle va soutenir une de ses élus, en la personne de Camille Clain, l’actuelle conseillère départementale de Saint-Louis, aux prochaines municipales de 2026 à l’Entre-Deux contre le maire sortant Bachil Valy. Question de cohérence, paraît-il, elle se verrait mal assise autour de la même table que celui qu’elle va devoir combattre dans un peu plus d’un an.
Concernant Bruno Domen, ce dernier attend encore un peu. Il n’a pas oublié qu’il a été activement soutenu par Didier Robert lors des municipales de 2020. Faut-il rappeler également que le DGS (Directeur général des services) de la mairie de Saint-Leu n’est autre que Vincent Bègue, qui a été le dir-com de la Région sous Didier Robert. Lequel Didier Robert, dit-on, se prépare pour les municipales de 2026 à Saint-Paul en attendant les régionales de 2028. Il est dit que Robert et Melchior se sont déjà mis d’accord : le premier à la mairie de Saint-Paul et le second à la tête du TCO. Mais il est dit aussi que Melchior se verrait bien à la Région. Allez savoir ! Pour l’instant, l’une des priorités de Cyrille Melchior (qui vient de prendre quelques jours de repos), c’est d’installer « Nouvel’ R » dans le paysage politique local. Pour le reste, il verra après. Tout comme Didier Robert, qui doit encore répondre à des convocations judiciaires parme lesquelles celle de la Cour d’Appel de Saint-Denis, d’ici à octobre prochain, pour le deuxième procès de l’affaire dite « des emplois de cabinet ».
« Propos d’une incompétence crasse… »
Après la politique locale, voyons voir ce qui se passe au plan national. Rien de bon, hélas ! Le nouveau gouvernement n’arrête de se prendre les pieds dans le tapis de la contradiction et du crêpage de chignons entre ministres.
Une situation pas très confortable pour Michel Barnier, le chef du gouvernement qui, en pleine préparation de son discours de politique générale (la feuille de route du gouvernement devant être présentée devant le Parlement le 1er octobre prochain), se voit contraint, parallèlement, à jouer au « petit toutou » auprès des uns et des autres. D’abord auprès de Marine Le Pen, la cheffe du RN (Rassemblement National) pour s’excuser suite aux propos tenus par le nouveau ministre macroniste de l’Economie, Antoine Armand. Ce dernier avait déclaré sur France Inter qu’il était ouvert à collaborer avec tous les partis « dans l’arc républicain », en excluant le RN. Lequel RN représente en France, après les législatives de juin/juillet dernier, plus de 11 millions d’électeurs. Lequel RN a également donné sa bénédiction à Macron et à Barnier pour la nomination du nouveau gouvernement. Après cette bourde politique, Michel Barnier a dû prendre son téléphone pour s’aplatir devant Marine Le Pen après avoir remonté les bretelles à Armand. Le jeune ministre a lui aussi fait son mea-culpa indirectement en promettant de recevoir tous les partis représentés au Parlement, y compris donc le RN. D’où le « foutan » d’Eric Ciotti, ex-patron de LR aujourd’hui allié au RN : « On a le pouvoir de faire recadrer un ministre qui dit n’importe quoi ».
Mais ce n’est pas tout : Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, et Didier Migaud, ministre de la Justice se sont crêpés le chignon. Retailleau a appelé à « changer une politique pénale qui, depuis très longtemps, a laissé s’installer ce droit à l’inexécution des peines ». Retailleau s’est vite fait, bien fait, remettre à sa place par Migaud, qui a répliqué : « Bruno Retailleau doit savoir que la justice est indépendante dans notre pays » et « ça n’est pas toujours exact de prétendre que la justice ne condamne pas suffisamment ».
Michel Barnier doit également se pencher sur le cas de son secrétaire d’Etat à la Francophonie et aux partenariats internationaux, Thani Mohamed Soilihi, l’ancien sénateur qui, selon le Canard Enchaîné, a embauché l’épouse de son collègue Joël Guerriau, celui là-même qui a été mis en examen pour tentative de viol.
Ça n’en finit plus ! Michel Barnier qui a dû par ailleurs recadrer sa ministre de l’Environnement, Agnès Pannier-Runacher ; Laquelle s’est montrée quelque peu « gros doigt » face à David Lisnard, maire de Cannes et président de l’Association des Maires de rance (AMF). Après les violentes inondations dont été a victime la ville de Cannes en début de semaine, la ministre de l’Environnement a déclaré : « à force d’imperméabiliser et de densifier les villes, on arrive à des dégâts de cette nature… ». Avant d’ajouter, un peu pète sec : « 50 millimètres d’eau, ce n’est pas les chutes du Niagara non plus ». Pas besoin de vous faire un dessin pour vous expliquer la réaction de Lisnard, qui a dénoncé un « propos d’une incompétence crasse, irrespectueux des réalités et du travail local ». Là encore, le pompier Barnier a dû intervenir et a présenté ses excuses au maire de Cannes et patron de l’AMF. Décidément ! Le chef du gouvernement passe son temps actuellement à éteindre les feux de broussaille allumés par ses ministres alors qu’il est attendu sur des dossiers beaucoup plus brûlants, pour ne pas dire explosifs dans les semaines, les mois qui viennent. L’hiver sera chaud ! (L’été à la Réunion).
Comme la semaine, re-monte bat’ un caré dans les hauts, aux Avirons où vendredi dernier, lors du conseil municipal, le maire Eric Ferrère a, comme prévu, coupé la tête à sa deuxième adjointe Line Baillif. Roselyne Lucas et Colette Caderby, de l’opposition municipale, n’ont pas participé au vote. A noter que trois élus de la majorité ont voté pour le maintien de Line Baillif. Un élu de la même majorité s’est abstenu. Le rapport 20 était relatif au remplacement d’une conseillère démissionnaire, mais il a été retiré, le soir même, de l’ordre du jour de la séance. En fait, cette conseillère devait être remplacée par son collègue Jean-Christophe Hoareau qui, juste avant, n’avait pas suivi Eric Ferrère dans son choix de « virer » Line Baillif comme une malpropre.
Du coup, pour le punir, Ferrère a retiré le rapport de l’ordre du jour. Il paraît qu’à plus d’un an des prochaines municipales, ça commence à chauffer sérieusement au sein du groupe majoritaire, notamment du côté des anciens pro Dennemont (Michel, l’ancien maire), qui n’avaient pas hésité à donner les clés de la mairie à Ferrère mais qui semblent de plus en plus le regretter en se rappelant qu’ils l’avaient quand même combattu durant des décennies. Je rappelle que Line Baillif a été sanctionnée par Ferrère pour avoir été, lors des dernières législatives, dans la 7ème circonscription, suppléante de Cyrille Hamilcaro (centre-droit), un candidat de même obédience politique que le maire des Avirons. Question : est-ce que Line Baillif pourrait s’encarter à Nouvel’ R, le nouveau mouvement des droites, des centres et des départementalistes de Cyrille Melchior ?
Y.M.
hamilcaro , il n’y à pas plus magouilleurs !!! on est gouverné par des n’importe qui , qui ne savent que remplir leurs poches !!! plus nul tu meurt !!!
Les analyses partielles et partiales sans grand fondement et decousues
Didier Grobert a détruit la droite et fontaine l’a mis hors jeu- vive fontaine le boss. au moins ce « petit » robert a été viré comme un malpropre par sa famille politique. la justice divine existe, il faut juste croire en Dieu. et ce n’est pas fini. il y a encore des surprises pour bientôt. missel on t’aime, on te love, nous t’adorons dinosaures fontaine. viens saint Pol, avec MELCHIOR, avec fontaine n’a couniche à vous en miette et comme toujours en dessous ti frère
Putain c’est un cagnard avec des neurones dont les politiciens s’en servent ! Plus nul tu moeurs !
Les cocos durs de la droite ont préféré rester chez LR à côté du Michel et on sait pourquoi. Vaut mieux masquer la réalité des municipales à venir … psychodrames, cocufiage, retournements de vestes explosifs, marmailles dans le dos, ti poule devient ti canard. La droite prépare son show, Michel a choisi ses acteurs…
Donc à droite, y’a que la cafrine caniard saint-Louis qui a un cerveau pour comprendre que c’est un mouvement à la con ? On félicite Julianna, la seule qui sait faire de la politique avec son cerveau apparemment
Oté Montrouge, la dit bana té voleur, la pas dit té couillon! Comme si pour 500000 euros de construction, ou sa paie toute cash! Caillé, Selly, Vital des experts de la construction express, ne vont pas se faire avoir comme ça! Les villas sont au nom des membres de la famille, il y a des apports financiers pour la banque mais tout est fait en bonne et due forme! Pour voler, il faut être vigilant, intelligent! Leur système est bien rodé et ils savent comment agir! Ce n’est pas un petit trafic, c’est une mafia organisée! Les maisons poussent comme des champignons mais c’est bien fait!
La maman d’un maire est employée communale. Il a augmenté son salaire en 2020, l’a changée de poste. Et c’est seulement maintenant qu’elle est « promouvable » à un avancement de grade, qu’elle aura probablement juste avant de partir à la retraite. Dès qu’il a été nommé maire, elle s’est acheté une voiture neuve, de la même marque que vend Caillé et elle empoisonne les collègues qui travaillent avec elle. « M’a dit mon garçon », si on ose la contredire!
Les dessous de table, les rétro-commission sont monnaie courante, sous les tropiques! C’est la monnaie de poche pour les voyages, les petits cadeaux, les bijoux mais pour les constructions, c’est la démarche officielle, un prêt banciare!!! Pas folle la guêpe! Mais le peuple i koné et la pu couillon!
On voit bien de qui on parle…
Mais y’a t-il une ou des personnes qui ont porté plainte ?
La loi et la justice n’écoutent pas les ragots.
Vive a nous !
Un l’expression supplémentaire y sera pas d’trop : à force le lait y tourne y fini par Caillé ! lol
C’est surtout que les maires de Saint-Pierre et de la Petite île ne veulent pas de Julianna et ils l’ont dit clairement à MELCHIOR.
Le maire de Saint-pierre n’est allé à aucune des réunions. Il envoie stefano. Il reste avec ses trois petites copines de chez LR, les autres peuvent chier ek li, il s’en tamponne le coquillart.
Didier robert ne pourra aller nulle part avec la malédiction qu’il porte! regardez juste sa fin… ce sera spectaculaire ! Life is just dangerous. il paiera ce qu’il a fait, nos ventres vides pensent à lui tous les jours et le maudit.
pour écrire un tel commentaire, il faut être vraiment sans cerveau. ventre vide mais porte monnaie rempli puisque vous passez votre temps payé à rien foutre devant votre ordinateur…. certainement engraissé par la gauche caviar de la Réunion…. pensez à couper ce qui pendouille en bas et de le mettre dans votre tête